L’homme qui regardait passer les voitures (épisode 13)

Ah oui ok ! Et avec grand plaisir encore ! Là j'ai vraiment aimé, surtout à partir de l'arrivée d'Edmond (la deuxième partie donc). Il y a là des personnages vrais, "nature" et une scène très visuelle. J'y suis. Chouette !!

Plus tard pour les coquilles.

Je veux bien m'en charger !
D'ailleurs, je veux bien reprendre partiellement le travail de socque pendant son absence. Je ne dis pas que mes corrections seront parfaites, mais je pense que ça m'aide à m'imprégner dans le texte et à en lire davantage. Mon orthographe est assez bonne et ça ne me dérange pas...

Ah oui, j'ai bien aimé. "Nature", comme dit Easter. C'est l'une des premières fois que je te lis... ça me donne envie de rattraper tous les passages que j'ai ratés.

Cela dit, un petit effort de relecture éviterait quelques petites scories dommageables !

- à quelques détails prêts : près.
- Fini la rigolade : finie.
- De ses (soit disant) ancêtres : soit-disant.
- des rites de passage compliqués auxquels il n’avaient jamais rien compris : il n'avait.
- son ex voisin : ex-voisin.
- un délais de carence : un délai.
- malgré le sans gène : sans-gêne.
- .il commençait à en vouloir : typographie : majuscule après le point.
- (“il ne doit vraiment pas en avoir besoin!”) : typographie : un espace avant le point d'exclamation.
- presque à chaque vacances : chaque est invariable... tandis que vacances (dans le sens de "congé") demande systématiquement l'emploi pluriel. Il faut donc trouver une périphrase pour que l'expression cesse d'être fautive : chaque période de vacances, par exemple.
- - C’est à toi ce tas de ferraille : il faut employer le tiret cadratin — pour introduire un dialogue.
- . j’ai de la came à prendre : majuscule après un point.
- ce sans gène ! : même remarque que ci-dessus : sans-gêne.
- - C’est des amis qui l’on laissé là cet été, ne sut que répondre Malik . : typographie (emploi du tiret cadratin —) / l'ont laissé / pas d'espace avant le point.
- - Remarque il a de la gueule : emploi du tiret cadratin —.
- - Mais je ne sais même pas à qui il appartient répondit : idem.
- - Comment tu t’appelles, repris le propriétaire : idem + reprit.
- comme si la chose avait en soit : en soi.
- - Moi c’est Malik : tiret cadratin —.
- Mais on s’est engueulé : engueulés.
- tu veux voir? : typographie : un espace avant le point d'interrogation.
- on a re cassé : recassé.
- Je l’ai acheté !l y a plus de vingt ans à Bruxelle : il / Bruxelles.
- en dehors de l’ Égypte : en-dehors / l'Égypte.
- - Alors on en fait quoi : tiret cadratin —.
- repris Edmond : reprit.
- qu’est là dedans : là-dedans.
- Je m’en fout : fous.
- - Arrête ton bordel : tiret cadratin —.
- Oh ! et puis merde ! : majuscule : Et.
- Tu me paye le café ? : payes.
- - Oh ! mais je vous connais vous : tiret cadratin — et majuscule : Mais.
- Qu’est-ce que vous foutez avec ce camion pourri dans la cour. : point d'interrogation.
- . je voudrai bien savoir : majuscule après le point / voudrais.
- - Allô, passe moi Maurice : tiret cadratin — / passe-moi.
- grouille toi : grouille-toi.
- - Allô, Comtesse Groschka? : typographie : tiret cadratin — et espace à marquer devant le point d'interrogation.
- . je peux pas t’ amener : majuscule après le point.
- la paire de fauteuils que je t’ai dégotté : dégottée.
- cette après midi : après-midi. Par ailleurs, on dit "un midi" ; il est donc préférable de dire "un après-midi" par voie de conséquence, même si les deux formes sont acceptées.
- . je t’embrasse : majuscule après le point.
- - fais chier : tiret cadratin — et majuscule : Fais.
- Depuis qu’elle s’est dégotté : dégottée.
- de tunes : thunes.
- - Bon, je crois : tiret cadratin —.
- il indique le hors champs au dessus de l'écran : hors-champ.

@ Alex : Merci infiniment à Alex pour ses (toutes) précieuses correction !

@ Easter : merci pour la lecture. A bientôt.

Comme à chaque fois, une lecture savoureuse, tout particulièrement le passage sur Océane et la fin avec m’sieur Bonnafau.
Je crois que je vais me répéter par rapport à un précédent commentaire mais j’adore cette manière de rendre tes personnages vivants, réels, j’admire beaucoup ça.
Et puis même si ça ne plaira peut-être pas à d’autres, moi, les clins d’œil au lecteur sur les répliques agréables à écrire et sur celui qui tire les ficelles, j’en suis fan.