Pérégrinations : Prologue et suites

Je viens de tout relire, et ma première conclusion, c'est que j'avais même pas compris que c'était déjà fini ...
Je crois qu'il faudrait que je relise encore une fois ou deux et PEUT ÊTRE que j'aurais une chance de saisir un tiers de subtilités de ce texte, dont je n'arrive toujours pas à cerner l'intrigue.

C'est pas un peu rapide, de déjà terminer ?
Après un prologue d'un peu plus de 500 mots, je m'attendais à quelque chose de beaucoup plus long ... Mais pas à une nouvelle.

Le pouvoir de l’auteur, faire basculer les destins, choisir les futurs, tirer les ficelles et même retourner les situations si l’envie y est. Quel beau pouvoir.
Peut-être qu’on a tous cette possibilité au fond de soi, aucune rencontre n’est anodine, chaque être croisé peut influer sur le cours de notre vie, qu’on le veuille ou non.
Ce n’est pas fouillis, c’est une belle mise en abîme, qui du personnage ou de l’écrivain ou de la personne derrière l’écrivain mène vraiment la danse ?
Parfois, dans une histoire qui prend forme sous mes doigts, j’ai l’impression que c’est l’histoire qui me mène à la baguette et non l’inverse, comme si elle avait une existence propre et m’avait juste choisie pour lui donner des mots.
Mais je digresse, j’ai aimé tes pérégrinations Rebecca, pour le thème mais plus encore pour le concentré d’émotions : tristesse, douceur, mélancolie, sensualité, ironie, vie… qui les jalonnent.

je n'ai lu que trois chapitres (et les commentaires comme un imbécile)
à ce stade, et après avoir passé le prologue poussif, je dois dire que je suis enchanté. tu sais créer une atmosphère quand tu ne laisses pas les jeux de mots envahir le texte, et c'est bon.

j'aime beaucoup l'espace entre les mots, d'environ deux yeux et demi.
la respiration est ouverte et non fermée, c'est d'une politesse rare et une invitation exquise au voyage