Discussions autour de nos textes
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L'érotomanie est un vilain défaut
Bonjour Plotine, très beau texte (en seconde version vriament bien).
Mais te rappelles-tu de moi ? Je suis Pascalino de "i". Je n'ai plus de nouvelles, j'attendrais que tu te réinscrives sur "i" si le coeur t'en dit un jour, mais je comprendrais que tu veuilles plutôt continuer comme tu as décidé d'instaurer les choses.
Continu à nous étonner avec tes écrits... En ce moment je suis sur la prose de Baudelaire, c'est quand même étonnant, bouleversant... Tu nous manque, à plus.
< frivole : Plotine est persona non grata sur VE où elle a causé suffisamment de dégâts.
Prière de ne pas l'inciter à y revenir.
A bon entendeur, salut.
La Modération >
.
Mais te rappelles-tu de moi ? Je suis Pascalino de "i". Je n'ai plus de nouvelles, j'attendrais que tu te réinscrives sur "i" si le coeur t'en dit un jour, mais je comprendrais que tu veuilles plutôt continuer comme tu as décidé d'instaurer les choses.
Continu à nous étonner avec tes écrits... En ce moment je suis sur la prose de Baudelaire, c'est quand même étonnant, bouleversant... Tu nous manque, à plus.
< frivole : Plotine est persona non grata sur VE où elle a causé suffisamment de dégâts.
Prière de ne pas l'inciter à y revenir.
A bon entendeur, salut.
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frivole- Nombre de messages : 16
Age : 49
Date d'inscription : 09/10/2009
à Coline
Merci :-)Pour moi, si tu es rouillée, ça ne se voit pas. Au contraire, j'aurais presque tendance à dire que c'est trop travaillé. A ce thème, il aurait fallu du plus brut, il me semble
Mais j'ai beaucoup aimé J’ai encore, j’aurai toujours, un semblant d’humour qui tiendra comme un fil mes os en forme de « non », en forme de pantin imperturbable, inébranlable.
"à ce thème" : tu m'as donc comprise ? (apparemment tu serais la seule)
Sinon, on dirait que j'ai toujours dû mal à faire la part entre le "tout dire en ne disant rien" et le "ne rien dire en disant tout".
A Louis, pour Rédemption par le récit
Merci Louis, une fois encore pour ton analyse. Je constate comment l'utilisation précise que tu as des mots apporte un éclairage, une cohérence, une justification de chacun des éléments du texte. A chaque fois, en te lisant, je me dis "c'est exactement ce que j'ai voulu exprimer". Et j'ai le sentiment d'avoir été compris... Je ne me sens pas flatté, ce qui serait vaniteux, je me dis que j'ai affaire à un lecteur attentif, passionné de textes, et généreux par ses "retours" qui sont de véritables phares de lumière pour moi dans ma nuit d'écriture. Je dois ajouter aussi que tes commentaires par ailleurs peuvent m'ouvrir des "sens" des "pistes" que j'avais totalement ignorés, comme cela a été le cas dans mes deux derniers textes précédents que tu as commentés, et auxquels je n'ai pas eu le temps de répondre, ce dont je m'excuse. Amicalement.
RaoulRaoul
RaoulRaoul
Raoulraoul- Nombre de messages : 607
Age : 63
Date d'inscription : 24/06/2011
Quelques synapses, et hop ! Réponse à Sahkti et Jano
Voilà ce que j'appelle des critiques constructives ! Merci à tous les deux :-)))
Re: Discussions autour de nos textes
Oups, j'ai oublié d'aller sur "conversation autour de nos textes".
Je me repends, je me répands. Voudrez-vous bien me pardonner, chers modérateurs ? J'ferai plus, promis.
C'est réparé.
Et pardonné.
La Modération
Je me repends, je me répands. Voudrez-vous bien me pardonner, chers modérateurs ? J'ferai plus, promis.
C'est réparé.
Et pardonné.
La Modération
Re: Discussions autour de nos textes
Parce que tu ne savais pas toi non plus? (vous lisez jamais des articles de Wikipedia sur le cerveau ou quoi? :-))Raoulraoul a écrit:Synaspe : "région de contact entre deux neurones" dit le dico.
J'ai expliqué ce que c’était à mentor hier justement, mais c'est bien de le rappeler, il ne doit plus s'en souvenir, c'est comme le mot "ud" Ü
à Janis
Aurais-je l'audace de te demander de préciser ? Tu me semble fort intéressante (toujours, einh, mais là encore plus).Janis a écrit:je disais donc (avant que tout fiche le camp je ne sais où, mystère des machines)
de beaux moments dans ce texte. Comme dans le texte précédemment commenté, j'aime quand le corps dérape, perd pied, mange la maison, a la peur comme appui.
Après en effet, c'est encore trop démonstratif, et la voix de l'enfant ne passe pas toujours bien
À mon humble avis, le sillon que tu peux creuser (à te lire) c'est justement celui des corps perdus, qui vacillent, avec quelqu'un à l'intérieur, dans une sorte de prose poétique, sans forcément chercher à délivrer un message ou à expliquer un truc, ni chercher une chute - sauf la chute des corps (!)
toi comprendre ?
(moi pas toujours comprendre ce que j'écris, mais moi sentir ce que je veux dire)
à Janis
D'abord, Sahkti a bien raison, ça doit clocher fortement pour que vous ne compreniez pas. Mais on apprend de ses cloches, alors, quand même :
Comment je simplifie sans enlever le mystère et en étant plus clair ? Étrangement ça me paraît dur à réaliser.
Sinon, juste pour info, je parlais de la mort (j'ai mis le mot "camarde" exprès pour que ce soit clair). Pourquoi t'es-tu mélangé les patins entre personnages et narrateur ? Y'a qu'un narrateur, le "je" et deux perso "elle (la mort)" qui devient "tu" et l'enfant. ça me paraissait simple... mais apparemment je me gourais.
Merci pour vos commentaires très intéressant à tous.
Prochain texte j'essaie de tenir compte de tout ce que vous avez dit et de mieux faire :-))
Déjà, pourquoi tu penses médecin ? o_O J'écrirais jamais sur ces êtres là, j'les aime pô.Janis a écrit:je ne comprends toujours pas bien
l'écriture est belle, peut-être un peu trop explicative dans sa forme (même si je ne comprends pas)
j'aime bien la tentative de faire passer la fragilité entêtée du corps (de qui ? de l'enfant et du médecin ?)
moi si je retravaillais ce texte, je me centrerais sur ce corps défendant et j'atténuerais tout ce qui veut commenter, expliquer, comme :
je t’irrite de mon insistance à mépriser tes armes.
Non, ne disparait(s !) pas, âme trop jeune pour finir.
mon "je" - j'aime pas trop ce "mon je"
je simplifierais sans enlever le mystère. C'est-à-dire que ce qui me gêne, c'est que je ne sais pas qui parle, ni à qui, et que j'ai l'impression (fausse ?) que le narrateur n'est pas tjrs le même au long du texte
alors si j'essaye de comprendre : elle, c'est la mort ? la maladie ? c'est à elle que s'adresse le narrateur ?
c'est à mon avis ce qui empêche d'apprécier pleinement ce texte : on se triture les méninges pour comprendre. Il faudrait soit prendre le parti de faire un texte poétique, sans trop de clefs, quitte à ce que cela reste obscur mais où la langue nous emporterait dans des sensations
soit quelque chose de plus clair
ouh la la, c'est moi qui ne suis pas claire, tant pis
Comment je simplifie sans enlever le mystère et en étant plus clair ? Étrangement ça me paraît dur à réaliser.
Sinon, juste pour info, je parlais de la mort (j'ai mis le mot "camarde" exprès pour que ce soit clair). Pourquoi t'es-tu mélangé les patins entre personnages et narrateur ? Y'a qu'un narrateur, le "je" et deux perso "elle (la mort)" qui devient "tu" et l'enfant. ça me paraissait simple... mais apparemment je me gourais.
Merci pour vos commentaires très intéressant à tous.
Prochain texte j'essaie de tenir compte de tout ce que vous avez dit et de mieux faire :-))
à evanescent
ben je trouve que ton sujet récurrent, c'est le corps qui échappe, qui déconne, qui parle.
Enfin justement, ce n'est pas encore ton sujet, mais c'est ce qui m'intéresse dans ces deux textes, et ce qui me saute aux yeux !
Et tu pourrais les placer au centre de tes textes, plutôt que comme habillage autour de ton idée.
Avec le nounours, par exemple, je verrais quelque chose de beaucoup moins cérébralisé (ouche), juste le trajet de la petite (avec son corps, fôôôrcément, son corps en manque, en peur, qui mange la maison - j'aime cette image -, tout ça) depuis là où elle est - sans lui - jusqu'au moment où elle le retrouve sur le lit.
Avec en fond, en décor, les images de la chambre, du lit, de l'ours, comme des petits tableaux pour qu'on respire.
Je vois bien ce que je veux dire, je te ferai une simulation par mail de comment je vois les choses !
mais bon, je ne veux pas l'écrire à ta place !
pour l'autre texte en effet c'est confus. Je vais le relire à l'aune (l'aulne ?) de tes explications !
mais plus tard, je suis encore tomate farcie, j'ai passé toute toute toute la journée à réécrire, justement !
et je garde de l'énergie pour ton exo !
Enfin justement, ce n'est pas encore ton sujet, mais c'est ce qui m'intéresse dans ces deux textes, et ce qui me saute aux yeux !
Et tu pourrais les placer au centre de tes textes, plutôt que comme habillage autour de ton idée.
Avec le nounours, par exemple, je verrais quelque chose de beaucoup moins cérébralisé (ouche), juste le trajet de la petite (avec son corps, fôôôrcément, son corps en manque, en peur, qui mange la maison - j'aime cette image -, tout ça) depuis là où elle est - sans lui - jusqu'au moment où elle le retrouve sur le lit.
Avec en fond, en décor, les images de la chambre, du lit, de l'ours, comme des petits tableaux pour qu'on respire.
Je vois bien ce que je veux dire, je te ferai une simulation par mail de comment je vois les choses !
mais bon, je ne veux pas l'écrire à ta place !
pour l'autre texte en effet c'est confus. Je vais le relire à l'aune (l'aulne ?) de tes explications !
mais plus tard, je suis encore tomate farcie, j'ai passé toute toute toute la journée à réécrire, justement !
et je garde de l'énergie pour ton exo !
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
à Suzanne
Tu ne peux pas avoir "mal compris". Un texte dit ce qu'il dit, si tu as compris ça, c'est que c'était ça (même si c'était pas ça que j'avais voulu écrire). Je suis pas claire, je crois.suzannelanson a écrit:Bonjour,
Je ne sais pas si j'ai compris.
Moi, j'y ai lu le combat d'une jeune mère contre ses pulsions infanticides, un combat intérieur plutôt joliment évoqué.
Enfin je me plante peut être complétement.
Mais sommes toute, moi ce texte m'a plu peut être que c'est un texte "auberge Espagnole". On y trouve ce qu'on y apporte
Au plaisir de te lire à nouveau,
Je suis contente que ça t'ai plus ; et ton interprétation est intéressante. Merci.
réponse à aspetans sur La grande rencontre
aseptans a écrit:Cette rencontre a du chien. Si c'était "Robert", on lui donnerait "Desnos" (au chienchien), mais si c'est Queneau, appelle-le Raymond.
Raymond ...
Tu as gagné un chupachups ! Mais tu sais, Raymond ou Robert, de toutes les façons, c'est démodé !
Invité- Invité
narbah
bon je vais le lire ton texte
(mais quand ? zatizekouechtione)
et si tu me dis que mon com est nul
couic !
ou plutôt
pllaaaaf !
zzzzzzzz boum
(mais quand ? zatizekouechtione)
et si tu me dis que mon com est nul
couic !
ou plutôt
pllaaaaf !
zzzzzzzz boum
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
LA grande rencontre, réponse à Coline
coline Dé a écrit:Ah Narbah, Plotine !!!!
(…)
Mais t'as quand même de meilleurs textes qu'elle !
Là tu est vraiment xagère ! C'était une génie d'une trollerie subséquente cette gonzesse ! Et tu sais : les texte ne sont que des prétextes.
Euh ! j'ai le droit de répondre là ou pas ? Help.
Non Narbah, pas là-bas.
Mais ici.
Merci.
La Modération
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
Easter(Island) a écrit:Aucune problème Pussicat. Tu devrais arrêter de battre ta coulpe. La critique porte sur le texte pas son auteur(e). Aussi, elle se voudrait constructive dans les faiblesses qu'elle peut pointer, en aucun cas n'est-elle là pour vilipender. C'est courageux de poster et de s'exposer à la critique, de savoir l'accepter et d'avoir l'intelligence de s'en servir pour continuer à écrire.
Et sinon, j'aime bien le tutoiement réciproque, si possible.
C'est exact, j'ai tendance à me faire violence... c'est noté pour le tutoiement... merci,
Pussicat- Nombre de messages : 4846
Age : 57
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
Arrivée de Pierre Ménard
Merci pour vos remarques, je sentais bien que ce passage ne fonctionnait pas du tout mais je n'avais pas mis les mots sur ce qui clochait. Maintenant, il n'y a plus qu'à...
chris- Nombre de messages : 89
Age : 49
Date d'inscription : 25/05/2011
Merci pour le gluon
Merci pour les amis
Je suis un laborieux et chaque texte me demande du temps pour le fignoler. Surtout en prose (normal, c'est plus long)
D'où mon plaisir lorsqu'il y a reconnaissance du travail accompli. Un peu comme quand on a passé la matinée à mitonner un petit gueuleton et que les convives s'en délectent sans retenue (enfin je suppose car je suis juste bon à réchauffer un surgelé)
Ce n'est pas tout ça. Aujourd'hui c'est la Sainte tondeuse à gazon, bonne fête à toutes les tondeuse à gazon.
A+
Je suis un laborieux et chaque texte me demande du temps pour le fignoler. Surtout en prose (normal, c'est plus long)
D'où mon plaisir lorsqu'il y a reconnaissance du travail accompli. Un peu comme quand on a passé la matinée à mitonner un petit gueuleton et que les convives s'en délectent sans retenue (enfin je suppose car je suis juste bon à réchauffer un surgelé)
Ce n'est pas tout ça. Aujourd'hui c'est la Sainte tondeuse à gazon, bonne fête à toutes les tondeuse à gazon.
A+
Invité- Invité
ben oui c'est un cancer
Le trois juillet 2008,était bien réel, hélas, depuis quoi dire , les pros disent que le cancer s'est stabilisé.donc j'y crois lol, bientôt quatre ans , quand on dit que le temps passe vite et ben c'est vrai aussi
ce que j'ai écrit , c'est exactement ce que j'ai ressenti ce jour-là chez l'ORL , pas de fioritures, dialogue plié en dix minutes, et dehors cette femme qui fumait puis son mari.
merci a vous de vos commentaires
ma voix oesophagienne se porte bien
ce que j'ai écrit , c'est exactement ce que j'ai ressenti ce jour-là chez l'ORL , pas de fioritures, dialogue plié en dix minutes, et dehors cette femme qui fumait puis son mari.
merci a vous de vos commentaires
ma voix oesophagienne se porte bien
nouga- Nombre de messages : 329
Age : 72
Localisation : ou l'iode enivre
Date d'inscription : 30/05/2012
Re: Discussions autour de nos textes
Les toubibs se protègent avec cette froideur.nouga a écrit:Le trois juillet 2008,était bien réel, hélas, depuis quoi dire , les pros disent que le cancer s'est stabilisé.donc j'y crois lol, bientôt quatre ans , quand on dit que le temps passe vite et ben c'est vrai aussi
ce que j'ai écrit , c'est exactement ce que j'ai ressenti ce jour-là chez l'ORL , pas de fioritures, dialogue plié en dix minutes, et dehors cette femme qui fumait puis son mari.
merci a vous de vos commentaires
ma voix oesophagienne se porte bien
Moi c'était : " c'est vascularisé" !
Quatre ans... tu tiens le bon bout...
Difficile d'écrire avec justesse sur ce genre de trucs. Tu l'as remarquablement fait.
Invité- Invité
travellings 3
C'est pas pour annoncer avec pertes et fracas la suite
c'est pour expliquer :
je poste tout le texte + la suite, car je trouve difficile les letures et les écritures morcelées
J'ai retravaillé à partir des remarques que j'ai retenues
Ça recommence là *** la suite
je ne suis pas du tout convaincue (mais l'est-on jamais quand on écrit)
et je pose une question à la fin
c'est pour expliquer :
je poste tout le texte + la suite, car je trouve difficile les letures et les écritures morcelées
J'ai retravaillé à partir des remarques que j'ai retenues
Ça recommence là *** la suite
je ne suis pas du tout convaincue (mais l'est-on jamais quand on écrit)
et je pose une question à la fin
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
ben oui c'est un cancer
Colline les termes changent, mais l'espoir demeure lol
les deux jeunots , pour le moment ce n'est pas votre trip et c'est tant mieux
les deux jeunots , pour le moment ce n'est pas votre trip et c'est tant mieux
nouga- Nombre de messages : 329
Age : 72
Localisation : ou l'iode enivre
Date d'inscription : 30/05/2012
Re: Discussions autour de nos textes
J'peux pas tout faire non plus ;-)))nouga a écrit:Colline les termes changent, mais l'espoir demeure lol
les deux jeunots , pour le moment ce n'est pas votre trip et c'est tant mieux
Re: Discussions autour de nos textes
ben il manquerait plus que ça , et que l'on m'accuse d'esclavagiste, je rechappe d' un cancer ( je touche du bois), tu me vois inculpé
nan pas serieux
nan pas serieux
nouga- Nombre de messages : 329
Age : 72
Localisation : ou l'iode enivre
Date d'inscription : 30/05/2012
Re: Discussions autour de nos textes
tu me disais que tu ne pouvais pas tout faire , lol
nouga- Nombre de messages : 329
Age : 72
Localisation : ou l'iode enivre
Date d'inscription : 30/05/2012
Re: Discussions autour de nos textes
Ta typographie est aléatoire. Y'a un fil "typo", tu devrais aller le rechercher, c'est très intéressant.
Oui, je plaisantais... mais je n'ai toujours pas saisi.tu me disais que tu ne pouvais pas tout faire , lol
Les traqueurs
Merci à Easter(Island). J'ai fait les corrections et commencé à écrite une suite, mais je suis très lent (et perfectionniste, ce qui n'arrange rien) et j'écris un peu en aveugle sans savoir où cela me mènera (ainsi que le lecteur).
Question : dois-je (puis-je renvoyer), dans le même fil le texte corrigé suivi de sa suite ou uniquement la suite ?
Question : dois-je (puis-je renvoyer), dans le même fil le texte corrigé suivi de sa suite ou uniquement la suite ?
Invité- Invité
à luluberlu
je crois pouvoir te répondre puisque c'est ce que je fais, avec la bénédiction de la modération :
dans le même fil, à la suite, je reposte tout le texte (légèrement modifié) et sa suite. En bonus j'indique par des petites étoiles (***) l'endroit de la reprise (si c'est pas clair, va voir mon Travellings, tu comprendras mieux).
Je fais ainsi parce que je trouve ça plus facile, et pour moi et pour le lecteur, qu'un truc morcelé avec des commentaires au milieu. Tu peux aussi, comme l'a fait quelqu'un, mettre ton début en spoiler pour ceux qui voudraient le relire, et ta suite en clair.
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
ben oui c'est un cancer
pandawork
oui, il y a une distribution de points de vue assez tournoyante.
J'ai suivi, parce que le thème est simple, les personnages peu nombreux. C'est plutôt réussi;
cependant la technique est vouée à l'échec sur un éventuel texte plus étoffé.
Ajoutons-y une infirmière un cousin et la belle-mère, et un bordel -certainement intraitable, naitra pour déchiffrer qui raconte à qui
les plus agés ont bien captés, quand a toi tu fais un commentaire qui me fait rire
" technique vouée a l'échec" aucun rapport dans ce texte , c'est un fait rapporté simplement
quand a qui parle a qui, c'est facile ils ne sont que deux
, mais peut-être que cela t'as échappé
nouga- Nombre de messages : 329
Age : 72
Localisation : ou l'iode enivre
Date d'inscription : 30/05/2012
Re: Discussions autour de nos textes
A propos de Epaisseurs d’espoir
Le chameau voyage sans boire et moi je bois sans voyager.
Ce n’est pas d’être ivre ou sobre qui compte mais de l’être tour à tour.
Dixit Baudelaire et Vailland, deux parmi ceux qui comptent.
Bon voilà, alors aux quelques critiques qui m’ont été adressées, il est à noter que ce texte est plus ou moins vieux de quelques années.
Oui, écrit sous l’emprise de l’alcool, non pas comme Michaux qui écrivit expérimentalement sous le pouvoir des drogues et de l’alcool, mais le subterfuge aidant, dans un état de délabrement physique et mental.
Je dois reconnaître l’immense pouvoir de l’ego, une sorte de scarification littéraire. Comme le dit Jano c’est sinistre mais je pense uniquement dans le sens où il n’y a aucune objectivité, tout est amplifié, sur-dimensionné , de l’écriture à l’état brut qu’on laisserait aller là où elle veut aller.
Et le politiquement incorrect est là, plus défouloir qu’une chose pensée, dirigée. Même s’il reste l’ego, menace l’odeur tenace et nauséabonde de la déchéance qui accompagne le désespoir. Le vrai, celui à qu’il ne reste plus que les bulles . Ce n’était pas écrit sous l’emprise d’une cuite passagère mais d’une cuite permanente. Ce truc qui ronge et vous met le cœur en boule…
Maintenant que je suis passé de l’autre côté de la barrière et débarrassé des scories, comme le dit Jano, parviendrais-je peut-être à éluder, simplifier, dépouiller mon écriture de qu’elle contient de superflu.
Reste qu’en devenant abstinent, devient-on par la force des choses meilleur littérateur ? Je ne sais pas.
Plus lucide mais pas moins violent dans le propos.
Vivre est une souffrance, il me faudra toujours, toujours, l'écrire et quelle qu'en soit la manière...
Bien à vous.
Le chameau voyage sans boire et moi je bois sans voyager.
Ce n’est pas d’être ivre ou sobre qui compte mais de l’être tour à tour.
Dixit Baudelaire et Vailland, deux parmi ceux qui comptent.
Bon voilà, alors aux quelques critiques qui m’ont été adressées, il est à noter que ce texte est plus ou moins vieux de quelques années.
Oui, écrit sous l’emprise de l’alcool, non pas comme Michaux qui écrivit expérimentalement sous le pouvoir des drogues et de l’alcool, mais le subterfuge aidant, dans un état de délabrement physique et mental.
Je dois reconnaître l’immense pouvoir de l’ego, une sorte de scarification littéraire. Comme le dit Jano c’est sinistre mais je pense uniquement dans le sens où il n’y a aucune objectivité, tout est amplifié, sur-dimensionné , de l’écriture à l’état brut qu’on laisserait aller là où elle veut aller.
Et le politiquement incorrect est là, plus défouloir qu’une chose pensée, dirigée. Même s’il reste l’ego, menace l’odeur tenace et nauséabonde de la déchéance qui accompagne le désespoir. Le vrai, celui à qu’il ne reste plus que les bulles . Ce n’était pas écrit sous l’emprise d’une cuite passagère mais d’une cuite permanente. Ce truc qui ronge et vous met le cœur en boule…
Maintenant que je suis passé de l’autre côté de la barrière et débarrassé des scories, comme le dit Jano, parviendrais-je peut-être à éluder, simplifier, dépouiller mon écriture de qu’elle contient de superflu.
Reste qu’en devenant abstinent, devient-on par la force des choses meilleur littérateur ? Je ne sais pas.
Plus lucide mais pas moins violent dans le propos.
Vivre est une souffrance, il me faudra toujours, toujours, l'écrire et quelle qu'en soit la manière...
Bien à vous.
Réponse à Lol47 sur Quick, jusqu'aux toilettes
Je suis d'accord avec tes remarques. Mais c'est volontaire, une recherche pour décrire autrement le réel. Inventer des mots "nombreusement", construire autrement les phrases, jouer avec les répétitions, quand les actions se répétent dans un Quick, d'une façon fastidieuse, la vacuité du réel, alors que dans le trou des vc meurt la vie... Je me donne le risque d'oser des recherches de style... Sortir du classique, écrire autrement pour essayer de traduire le quotidien différemment... Mais ça perturbe, ça dérange, on se fait taper sur les doigts comme un mauvais élève. Donc mon devoir est à refaire, puisque mon intention n'a pas été comprise.
Raoulraoul- Nombre de messages : 607
Age : 63
Date d'inscription : 24/06/2011
Cinq jours sur sept
Kazar sur ce coup-là j’aurais préféré que tu ne m’apprécie pas :-) (euh, juste sur ce coup-là hein, sinon c’est réciproque et ça me fait plaisir) et que tu commentes le texte sans avoir en tête ce que j’ai pu écrire avant ou pas.
D’ailleurs quel standing ? Depuis le temps que je poste ici jamais aucun de mes textes n’a fait l’unanimité, il y a toujours quelque chose qui cloche. Je connais des noms dont tu peux dire qu’ils ont un standing, mais pas moi, c'est une légende urbaine :-)
Je note que ce texte n’est pas terrible, un de plus, mais en revanche je réfute que tu me prête des intentions (non mais ! :-), il n’y en a jamais au départ d’un de mes textes, celui-ci a été écrit en 28 minutes exactement et je n’ai quasiment changé aucun mot. Je n’ai pas cherché à écrire en plein ou en creux, je ne sais pas faire, je veux dire réfléchir à la manière dont je dois écrire pour que ça fonctionne.
Ce qui me rend assez malheureuse en général et en particulier face aux commentaires, qu’ils soient positifs ou négatifs, je suis incapable de m’en servir pour le suivant qui sortira comme les autres : d’une traite et sans y penser (dans le sens prévoir ou préméditer). Et donc forcément tout aussi incapable de savoir si un texte va être plaisant à lire ou pas avant de l’avoir mis en ligne et de savoir ce que vous en pensez.
Tout ceci m’amène à douter très fortement et sérieusement de l’utilité pour moi de continuer à écrire. Si on ne maîtrise pas ce qui sort, pourquoi s’acharner ?
Ce sont ces doutes qui me bloquent depuis des semaines, je n’arrive plus à écrire et quand j’écris j’ai beaucoup de mal à oser mettre en ligne. Je me sens totalement impuissante à modifier quoi que ce soit dans mon mode de fonctionnement ce qui ne peut que me rendre tout aussi dépourvue face à vos commentaires, je les comprends bien sûr mais je suis incapable de m’en servir pour tenter de progresser. Ça me perturbe, je me sens toute perdue (bon je sais, on s’en fout).
Sinon Kazar, je n’ai effectivement aucune empathie pour moi-même ; je n’ai absolument pas cherché à éviter le pathos à tout prix (puisque tel un bulot vide quand j’écris je ne cherche rien :-) ) ; et quant au « non, je ne me mettrai pas moi-même dans ce placard » c’est vrai que je suis assez contente d’en être sortie et n’ai aucune envie d’y retourner (ce qui devrait permettre de moins intriguer Easter).
Merci à tous les autres d’avoir pris le temps de lire et de commenter et tout particulièrement à ceux qui ont été touchés de me l’avoir dit.
D’ailleurs quel standing ? Depuis le temps que je poste ici jamais aucun de mes textes n’a fait l’unanimité, il y a toujours quelque chose qui cloche. Je connais des noms dont tu peux dire qu’ils ont un standing, mais pas moi, c'est une légende urbaine :-)
Je note que ce texte n’est pas terrible, un de plus, mais en revanche je réfute que tu me prête des intentions (non mais ! :-), il n’y en a jamais au départ d’un de mes textes, celui-ci a été écrit en 28 minutes exactement et je n’ai quasiment changé aucun mot. Je n’ai pas cherché à écrire en plein ou en creux, je ne sais pas faire, je veux dire réfléchir à la manière dont je dois écrire pour que ça fonctionne.
Ce qui me rend assez malheureuse en général et en particulier face aux commentaires, qu’ils soient positifs ou négatifs, je suis incapable de m’en servir pour le suivant qui sortira comme les autres : d’une traite et sans y penser (dans le sens prévoir ou préméditer). Et donc forcément tout aussi incapable de savoir si un texte va être plaisant à lire ou pas avant de l’avoir mis en ligne et de savoir ce que vous en pensez.
Tout ceci m’amène à douter très fortement et sérieusement de l’utilité pour moi de continuer à écrire. Si on ne maîtrise pas ce qui sort, pourquoi s’acharner ?
Ce sont ces doutes qui me bloquent depuis des semaines, je n’arrive plus à écrire et quand j’écris j’ai beaucoup de mal à oser mettre en ligne. Je me sens totalement impuissante à modifier quoi que ce soit dans mon mode de fonctionnement ce qui ne peut que me rendre tout aussi dépourvue face à vos commentaires, je les comprends bien sûr mais je suis incapable de m’en servir pour tenter de progresser. Ça me perturbe, je me sens toute perdue (bon je sais, on s’en fout).
Sinon Kazar, je n’ai effectivement aucune empathie pour moi-même ; je n’ai absolument pas cherché à éviter le pathos à tout prix (puisque tel un bulot vide quand j’écris je ne cherche rien :-) ) ; et quant au « non, je ne me mettrai pas moi-même dans ce placard » c’est vrai que je suis assez contente d’en être sortie et n’ai aucune envie d’y retourner (ce qui devrait permettre de moins intriguer Easter).
Merci à tous les autres d’avoir pris le temps de lire et de commenter et tout particulièrement à ceux qui ont été touchés de me l’avoir dit.
elea- Nombre de messages : 4894
Age : 51
Localisation : Au bout de mes doigts
Date d'inscription : 09/04/2010
elea elea
elea, j'attends d'avoir une tête normale pour te bien lire
je l'ai vite parcouru hier et il m'a touchée
mais je ne veux pas faire un de ces commentaires expéditifs dont j'ai le secret
je l'ai vite parcouru hier et il m'a touchée
mais je ne veux pas faire un de ces commentaires expéditifs dont j'ai le secret
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Re: Discussions autour de nos textes
elea, une remarque comme ça en passant : je crois que là où tu excelles surtout, c'est dans les textes à suite (je pense à Tangos et Les sept doigts)
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
Je ne t'ai pas encore lue sur ton dernier coup.
Mais par rapport à tes doutes sur l'écriture ne t inquiète pas trop. Il y a quand même quelque chose d'essentiel dans l'acte d'écrire, c'est le plaisir. Je ne devrais pas trop m'en vanter mais le plus souvent je fonctionne exactement comme toi. J'écris d'un jet comme ça me vient sans construction préalable et sans réécriture le plus souvent. Le résultat est fort inégal mais au final je crois que j'apprends quand même de façon inconsciente à maitriser le flot, petit à petit à force de lire vos comm.
Je crois aussi que lire les autres est une école inégalable, au fil du temps, on voit ce qui accroche ou ce qui fait décrocher on enrichit notre panoplie de possibles on s'ouvre de nouveaux horizons même si on n'est pas toujours capable de structurer clairement ces acquis même si on n'analyse pas toujours les interactions entre nos lectures et notre écriture. Il y a une émulation .
Alors écris sans te poser de questions quand et comme tu en as envie, comme ça te fait plaisir, et il faut se convaincre je crois, qu'il ne faut pas avoir peur de tenter des expériences, parfois ça sera reçu positivement parfois non, mais ici c'est un atelier, l'erreur est formatrice, ça il faut s'en convaincre sinon effectivement au bout d'un moment on n'ose plus rien présenter soit de peur de n'être pas à la hauteur des comm précédents soit par crainte de voir se formuler à nouveau des critiques destabilisantes.
De plus elea, "ton passif" ici en matière de critique te permet de prendre des risques car tu nous as souvent envoyés des textes qui ont beaucoup plu, à moi notamment, et si tu te permettais quelques "errements" (?) j'en deduirais juste que tu es en recherche :-)))
Donc balance fais toi et fais nous plaisir et jette aux ordures ce questionnement : "Si on ne maîtrise pas ce qui sort, pourquoi s’acharner ?"
Mais par rapport à tes doutes sur l'écriture ne t inquiète pas trop. Il y a quand même quelque chose d'essentiel dans l'acte d'écrire, c'est le plaisir. Je ne devrais pas trop m'en vanter mais le plus souvent je fonctionne exactement comme toi. J'écris d'un jet comme ça me vient sans construction préalable et sans réécriture le plus souvent. Le résultat est fort inégal mais au final je crois que j'apprends quand même de façon inconsciente à maitriser le flot, petit à petit à force de lire vos comm.
Je crois aussi que lire les autres est une école inégalable, au fil du temps, on voit ce qui accroche ou ce qui fait décrocher on enrichit notre panoplie de possibles on s'ouvre de nouveaux horizons même si on n'est pas toujours capable de structurer clairement ces acquis même si on n'analyse pas toujours les interactions entre nos lectures et notre écriture. Il y a une émulation .
Alors écris sans te poser de questions quand et comme tu en as envie, comme ça te fait plaisir, et il faut se convaincre je crois, qu'il ne faut pas avoir peur de tenter des expériences, parfois ça sera reçu positivement parfois non, mais ici c'est un atelier, l'erreur est formatrice, ça il faut s'en convaincre sinon effectivement au bout d'un moment on n'ose plus rien présenter soit de peur de n'être pas à la hauteur des comm précédents soit par crainte de voir se formuler à nouveau des critiques destabilisantes.
De plus elea, "ton passif" ici en matière de critique te permet de prendre des risques car tu nous as souvent envoyés des textes qui ont beaucoup plu, à moi notamment, et si tu te permettais quelques "errements" (?) j'en deduirais juste que tu es en recherche :-)))
Donc balance fais toi et fais nous plaisir et jette aux ordures ce questionnement : "Si on ne maîtrise pas ce qui sort, pourquoi s’acharner ?"
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Discussions autour de nos textes
Mais, Rebecca, si écrire peut être un plaisir égoïste, mettre en ligne ne l’est pas et si c’est pour que ceux qui lisent ne partagent pas ce plaisir ce n’est pas la peine. Moi j’aime le plaisir de lecture, si je ne peux pas le donner aux autres j’aime autant arrêter.
Je n’écris pas tout ça pour obtenir des compliments ou être flattée ou rassurée par des retours qui diront « mais si tu écris bien ». C’est sans doute dans ma tête parce que j’oublie les compliments et ne retiens que les critiques, mais franchement j’ai plus l’impression que c’est mauvais que l’inverse, et ce de plus en plus, comme si au lieu de me bonifier avec le temps je régressais.
Par contre tu as raison, inconsciemment il est fort probable qu’on intègre les remarques et qu’on fini par les appliquer sans s’en rendre compte, mais à mon avis c’est plus sur la forme, sur le style en lui-même, sur la longueur des phrases.
Easter, je n’ai jamais compris pourquoi certains me parlaient toujours des sept doigts, preuve encore que je n’ai aucun recul sur mes textes parce que ce n’est vraiment mais alors vraiment pas mon préféré.
Je suppose que je me pose trop de questions, mais je n’arrive pas à faire autrement. Je le vis assez mal mais je vais essayer de mieux le garder pour moi.
Merci à vous
Je n’écris pas tout ça pour obtenir des compliments ou être flattée ou rassurée par des retours qui diront « mais si tu écris bien ». C’est sans doute dans ma tête parce que j’oublie les compliments et ne retiens que les critiques, mais franchement j’ai plus l’impression que c’est mauvais que l’inverse, et ce de plus en plus, comme si au lieu de me bonifier avec le temps je régressais.
Par contre tu as raison, inconsciemment il est fort probable qu’on intègre les remarques et qu’on fini par les appliquer sans s’en rendre compte, mais à mon avis c’est plus sur la forme, sur le style en lui-même, sur la longueur des phrases.
Easter, je n’ai jamais compris pourquoi certains me parlaient toujours des sept doigts, preuve encore que je n’ai aucun recul sur mes textes parce que ce n’est vraiment mais alors vraiment pas mon préféré.
Je suppose que je me pose trop de questions, mais je n’arrive pas à faire autrement. Je le vis assez mal mais je vais essayer de mieux le garder pour moi.
Merci à vous
elea- Nombre de messages : 4894
Age : 51
Localisation : Au bout de mes doigts
Date d'inscription : 09/04/2010
Re: Discussions autour de nos textes
Personne ne peut dire qu'il n'écrit pas un peu pour se rassurer. Tenir compte des remarques, des critiques, encore ne faut-il pas se laisser abuser. Chacun son style, sa manière de pensée, ses mots. Honnêtement, cela faisait jusqu'au mois dernier deux années ou presque que je n'avais rien écrit. Par le passé, ça m'aurait rendu malade, dépressif. Aujourd'hui, rien de tout ça.
Ecrire, c'est aussi attendre. Tout faire dans l'urgence est de nos jours devenu une maladie.
Vivre avant d'écrire.
"Quand je m'examine, je m'inquiète. Quand je me compare, je me rassure." Talleyrand
Ecrire, c'est aussi attendre. Tout faire dans l'urgence est de nos jours devenu une maladie.
Vivre avant d'écrire.
"Quand je m'examine, je m'inquiète. Quand je me compare, je me rassure." Talleyrand
Re: Discussions autour de nos textes
Elea dit :[quote]Si on ne maîtrise pas ce qui sort, pourquoi s’acharner ?[/quote]
Mais si tu maîtrisais, tu perdrais une énorme partie du plaisir, Elea ! Je suppose que tu ne vises pas l'écriture de best sellers ? Parce que ça doit être emmerdant au possible de fabriquer un bouquin comme une recette de cuisine, en appliquant bien tous les trucs dont on sait qu'ils fonctionnent ! C'est ça "maîtriser" l'écriture !
Moi, je préfère grandement les gens qui vivent l'écriture, comme toi ou Lol ou Reb, ou des tas d'autres...
Arrête de te poser des questions, écris ce qui te vient. Il y a plein de façons de progresser, comme le dit Rebecca, et ce n'est pas forcément une progression linéaire !
Mais si tu maîtrisais, tu perdrais une énorme partie du plaisir, Elea ! Je suppose que tu ne vises pas l'écriture de best sellers ? Parce que ça doit être emmerdant au possible de fabriquer un bouquin comme une recette de cuisine, en appliquant bien tous les trucs dont on sait qu'ils fonctionnent ! C'est ça "maîtriser" l'écriture !
Moi, je préfère grandement les gens qui vivent l'écriture, comme toi ou Lol ou Reb, ou des tas d'autres...
Arrête de te poser des questions, écris ce qui te vient. Il y a plein de façons de progresser, comme le dit Rebecca, et ce n'est pas forcément une progression linéaire !
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
Et puis -je mets mon grain de sel- qu'il y a un temps pour écrire et un temps pour réecrire
Laisser sortir ce qu'il y a à sortir, pour trouver les idées, les trouvailles, les bonnes choses, prendre du plaisir
Et puis gommer parce qu'il faut réfléchir, et être dans le juste
Laisser sortir ce qu'il y a à sortir, pour trouver les idées, les trouvailles, les bonnes choses, prendre du plaisir
Et puis gommer parce qu'il faut réfléchir, et être dans le juste
Re: Discussions autour de nos textes
Quant aux commentaires il me semble qu'il faut relativiser leur importance, tout d'abord parce que les lecteurs ne percevront pas le texte comme toi et parce que, même si ici les gens savent plutôt bien exprimer leur pensée, en tant que littéraires, tu ne pourras jamais percevoir à travers les critiques ce qui les a véritablement gênés ou ce qui leur a vraiment déplu dans le texte ; toi seule peut savoir vraiment ce que tu veux modifier, toi seule, avec du temps, peut trouver une harmonie entre toi-même et ton texte
"il faut exprimer vrai pour écrire fortement, naturellement, délicatement"
LA BRUYERE
"il faut exprimer vrai pour écrire fortement, naturellement, délicatement"
LA BRUYERE
Le portraitiste de fantômes
J'ai cru bien faire en recyclant un fond de tiroir pour essayer de le faire rentrer dans les contraintes de l'exo. Mais je me suis planté grave comme on dit à l'Académie.
Trop long et limite hors sujet.
J'ai donc pondu la nouvelle mouture que je viens de mettre en ligne à la suite.
Trop long et limite hors sujet.
J'ai donc pondu la nouvelle mouture que je viens de mettre en ligne à la suite.
Invité- Invité
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