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phoena
l'homme qui tombe à pic, je viens de te lire, enfin (j'attendais d'avoir la tête claire)
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Re: Discussions autour de nos textes
Hi !
Merci pour tout Janis ma plus fidèle lectrice :-D
Merci pour tout Janis ma plus fidèle lectrice :-D
Phoenamandre- Nombre de messages : 2423
Age : 33
Date d'inscription : 08/03/2009
cornichon
bah c'est que j'aime vraiment !
je suis ta suiveuse
tout comme je suis, par exemple, le travail de lu-k
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
pour Sahkti, à propos de "Souvenir de vaquances"
merci beaucoup à toi...!
:-)))
tu sais en fait, quand je l'ai écrit c'était dans ce -blanc- surtout. donc: anesthésie. c'est pourquoi la distance, le neutre, et même pas une attente, malgré tout ce qui peut couver d'avant, d'après. c'est une extinction des feux dans la rétention, et donc "cela" est froid, "cela" est contrôle, limite chirurgical voire, à défaut, pilote automatique. la description d'un "programme" de maintien mécanique, option enfoncer la barrière pour retrouver autre chose de plus "palpitant".
c'est l'état d'esprit que j'ai voulu transcrire dans ce texte, par conséquent ça ne peut être plus "spontané", parce que je ne l'ai pas voulu ainsi en tout cas.
:-)))
tu sais en fait, quand je l'ai écrit c'était dans ce -blanc- surtout. donc: anesthésie. c'est pourquoi la distance, le neutre, et même pas une attente, malgré tout ce qui peut couver d'avant, d'après. c'est une extinction des feux dans la rétention, et donc "cela" est froid, "cela" est contrôle, limite chirurgical voire, à défaut, pilote automatique. la description d'un "programme" de maintien mécanique, option enfoncer la barrière pour retrouver autre chose de plus "palpitant".
c'est l'état d'esprit que j'ai voulu transcrire dans ce texte, par conséquent ça ne peut être plus "spontané", parce que je ne l'ai pas voulu ainsi en tout cas.
Invité- Invité
À propos de ''Ze t'aime (Théâtre)''
Polixène a écrit:Je vais être désagréable, désolée.
Je n'avais déjà pas aimé le premier que je m'étais forcée à lire, mais le second c'est encore pire.
Le théâtre est un genre difficile, déjà, quand on a quelque chose à dire, mais là?
Explique-moi les tenants et aboutissants, car quelque chose m'échappe. Le but, c'est faire rire? Quel public? La pièce va être jouée?
C'est pas désagréable. C'est direct, mais j'ai l'habitude, j'aime ça comme ça.
En fait, c'est une pièce sur laquelle je travaille depuis un peu plus d'un an. Je dois avoir écrit près de 500 pages, mais j'ai du mal à aboutir ce projet, je reviens toujours au début. Après avoir écrit plusieurs versions, je me croyais sur une bonne voie avec ces trois premières scènes et je voulais tester. Apparemment, je ne serais peut-être pas sur la bonne voie...
Au départ, je l'écrivais en vue de la faire jouer oui, mais finalement, je la travaille pour tenter mes auditions dans une grande école au Québec où on donne un cours en Écriture Dramatique. Ça ne presse pas pour tout de suite, considérant que je devrai envoyer le texte qu'en mars prochain, ce qui fait que j'ai encore du temps pour explorer tout ça et retravaillé l'idée. Malgré que j'aimerais bien aboutir sur quelque chose d'avance, question de pouvoir travailler sur du concret avec un coach quelques mois avant l'audition.
Je peux peut-être te faire l'historique de ce que j'avais en tête quand même, peut-être que ça pourra t'éclairer et me permettra, du même coup, d'avancer cette idée. Enfin ! Milan Kundera et Witold Gombrowicz, deux auteurs polonais qui critiquent beaucoup le Kitsch dans leurs romans, ont été le premier point de départ. Je me suis mis à observer l'effet du Kitsch autour de moi, sur moi-même et à réfléchir là-dessus. Puis, de réflexion en réflexion est apparu un personnage, Cupidon avec une mitraillette et d'à partir de lui, j'ai commencé à penser à mille et une possibilités de scénario retrouvant toujours Cupidon avec une mitraillette dans le décor.
- Première version, la seule ayant un début qui se rend jusqu'à la fin : Ça se passait au début du monde et en gros, c'était l'histoire de Louis et d'Ella, qui avaient chacun leurs visions de l'univers et de son commencement. Tous les deux tentent de se réfugier dans leurs imaginaires et à travers, Cupidon, avec sa mitraillette et Dame Nature, avec son gros caractère, tentent de les rapprocher. Car l'important, c'est d'aimer, de procréer et surtout, de créer l'humanité. Pour la forme, j'avais décidé de partir de Louis en vieillard qui tentaient de se remémorer son passé... J'aime pas cette version, car il n'y a pas de côté comique du tout et je trouvais dommage de passer à côté de ce potentiel dans le personnage de Cupidon avec une mitraillette.
- Puis, j'ai songé à plein de possibilités, toujours en songeant à Cupidon avec sa mitraillette. Quelques scènes en sont nées, mais rien qui me satisfaisait... Cupidon, qui se trouvait à être un artiste essayant de recréer la plus belle histoire d'amour (Toujours armé de sa mitraillette, question de garder le contrôle sur les personnages)... À un autre moment, j'ai songé à plein de tableaux avec des Cupidons différents, dans des contextes et des époques différents...
- Puis, à un moment, est venu la scène centrale du premier extrait. Là, je touchais à un ton qui me plaisait bien. Quelque chose d'un peu absurde et d'éclaté... J'ai jonglé avec la scène, la changeant de contexte en contexte, pour lui trouvé refuge et me permettre de développer cet univers. Au départ, j'avais songé à un univers complètement surréaliste où Cupidon était le roi du monde et où il faisait des expériences sur des personnages que Dame Nature mettait au monde pour lui. Et les personnages qui ne servaient plus à rien se retrouvaient dans un cachot. C'est d'ailleurs là que se trouvait le vieillard de la première version qu'on a en haut et il s'apprêtait à planter une graine qui mettrait au monde le héro de l'histoire... j'ai abandonné l'idée.
- La dernière version, c'est une mise en abîme. Une pièce de théâtre pour enfant, dans une pièce de théâtre. Un univers complètement déjanté qui exagère un peu l'idée qu'on pourrait se faire des artistes. D'ailleurs, à un moment, la famille de Manon viennent s'improviser dans la pièce et finisse par tous repartir dans le pays d'où ils viennent, sous prétexte que les artistes sont trop ''Malade dans tête'' pour eux et que plus jamais, ils ne côtoieraient le monde du Théâtre... Il allait aussi y avoir l'apparition, à un moment de désespoir, les comédiens du sous-sol. Des personnages un peu morbides, enfermés dans des cages, sous prétexte de danger extrême. Et à la fin, une fois à peu près tous les personnages morts ou partis, on retrouve Pierre et Lutin seul. C'est à ce moment que le père de Pierre allait sortir de sa cage pour faire la morale à son fils...
Je sais pas si ça t'éclaire sur les tenants, aboutissants. Sur le but et tout ça. Si tu peux me revenir là-dessus, me donner tes impressions, ça pourrait sûrement m'aider. Je t'avouerais que présentement, je ne suis plus certain de grand chose pour cette pièce. Comme ça fait longtemps que je travaille là-dessus et que je n'ai jamais demandé l'avis à personne, je viens à me perdre un peu dans tout ça.
Le retour
Merci aux lecteurs pour le bon accueil réservé à mon texte.
J'en ai d'autres, de la même inspiration. Mais je ne les distillerai qu'au compte-gouttes, ne tenant pas à jouer le rôle de la pleureuse de service :-)
Phylisse me demande à quoi je pensais en écrivant : Les ombres rapetissent.On finit par marcher dessus.
A la même chose que vous, je crois, qui avez compris. A savoir qu'à ce point de leurs réflexions, les personnages ne pouvaient que céder à leurs émotions et se laisser aller à la tristesse. D'où mièvrerie et pathos dans le texte. Je me suis donc servie de l'heure couperet, midi, avec son soleil en aplomb, qui rétrécit les ombres, fantômes sur lesquels on marche rageusement, par pudeur, comme on tourne une page. Vertige des sentiments qui se substitue à celui, bien réél, de la faim, de la vie. Faim de vie.
Fin du communiqué :-)
J'en ai d'autres, de la même inspiration. Mais je ne les distillerai qu'au compte-gouttes, ne tenant pas à jouer le rôle de la pleureuse de service :-)
Phylisse me demande à quoi je pensais en écrivant : Les ombres rapetissent.On finit par marcher dessus.
A la même chose que vous, je crois, qui avez compris. A savoir qu'à ce point de leurs réflexions, les personnages ne pouvaient que céder à leurs émotions et se laisser aller à la tristesse. D'où mièvrerie et pathos dans le texte. Je me suis donc servie de l'heure couperet, midi, avec son soleil en aplomb, qui rétrécit les ombres, fantômes sur lesquels on marche rageusement, par pudeur, comme on tourne une page. Vertige des sentiments qui se substitue à celui, bien réél, de la faim, de la vie. Faim de vie.
Fin du communiqué :-)
Invité- Invité
exo la parole est aux objets
mille mercis pour vos commentaires élogieux, j'en souris encore et même rosis de plaisir. une vierge effarouchée prise en flagrant délit de visionnage d'un épisode particulièrement osé d'Hélène et les garçons ne sera pas aussi gênée, bien que ravie, que ma petite personne face à tous ces compliments.
pour la petite anecdote, mon cher Aseptans, la première fois où j'ai reçu mes beaux-parents, comme pour toutes les premières fois, j'étais un tantinet tendue. Et c'est avec le plus grand des naturels que je leur ai annoncé qu'ils allaient déguster le plus succulent des crumbles aux pêches et au spéculum en dessert. Personne n'a relevé....
Ratz, puisque tu ne veux pas savoir, je ne te dirai pas que, comme pour toute jolie mécanique, tout dépend du conducteur :-D
pour la petite anecdote, mon cher Aseptans, la première fois où j'ai reçu mes beaux-parents, comme pour toutes les premières fois, j'étais un tantinet tendue. Et c'est avec le plus grand des naturels que je leur ai annoncé qu'ils allaient déguster le plus succulent des crumbles aux pêches et au spéculum en dessert. Personne n'a relevé....
Ratz, puisque tu ne veux pas savoir, je ne te dirai pas que, comme pour toute jolie mécanique, tout dépend du conducteur :-D
polgara- Nombre de messages : 1440
Age : 49
Localisation : Tournefeuille, et virevolte aussi
Date d'inscription : 27/02/2012
Re: Discussions autour de nos textes
Polgara... j'aime les anecdotes, des plus farfelues aux plus dramatiques, avec toi je vais me régaler, j'en suis certaine.
LE FIL...
Tizef... j'ai bien compris que j'allais vous déplaire, mais je vous assure que ma place est en prose, même si ce texte n'en n'est pas l'exemple le plus parlant.
Dusha : Oui, ce texte est tout frais, à peine pondu, même pas à la coque. Je ne sais pas faire autrement, je suis incapable de travailler et retravailler des mots, je ne vis que dans l'instant, juste après c'est trop tard pour moi, je ne reconnais même plus ce que j'ai commis. Je suis une mauvaise mère !
Dusha : Oui, ce texte est tout frais, à peine pondu, même pas à la coque. Je ne sais pas faire autrement, je suis incapable de travailler et retravailler des mots, je ne vis que dans l'instant, juste après c'est trop tard pour moi, je ne reconnais même plus ce que j'ai commis. Je suis une mauvaise mère !
Re: Discussions autour de nos textes
:-)polgara a écrit:mille mercis pour vos commentaires élogieux, j'en souris encore et même rosis de plaisir. une vierge effarouchée prise en flagrant délit de visionnage d'un épisode particulièrement osé d'Hélène et les garçons ne sera pas aussi gênée, bien que ravie, que ma petite personne face à tous ces compliments.
pour la petite anecdote, mon cher Aseptans, la première fois où j'ai reçu mes beaux-parents, comme pour toutes les premières fois, j'étais un tantinet tendue. Et c'est avec le plus grand des naturels que je leur ai annoncé qu'ils allaient déguster le plus succulent des crumbles aux pêches et au spéculum en dessert. Personne n'a relevé....
Ratz, puisque tu ne veux pas savoir, je ne te dirai pas que, comme pour toute jolie mécanique, tout dépend du conducteur :-D
Invité- Invité
"Ze t'aime" Théâtre
J'ai tardé à te répondre, ayant dû m'absenter.
Ratz, je trouve cette pièce faible. Sur le fond, sur le message. Pour moi, ce sont des sketches, ni plus ni moins, c'est pourquoi je te demandais des explications sur sa raison d'être, son contexte.
Je pense que le théâtre est une arme puissante pour faire réfléchir, et je râle quand ça tourne à vide! Voilà la raison de ma réaction épidermique.
Ratz, je trouve cette pièce faible. Sur le fond, sur le message. Pour moi, ce sont des sketches, ni plus ni moins, c'est pourquoi je te demandais des explications sur sa raison d'être, son contexte.
Je pense que le théâtre est une arme puissante pour faire réfléchir, et je râle quand ça tourne à vide! Voilà la raison de ma réaction épidermique.
Polixène- Nombre de messages : 3298
Age : 62
Localisation : Dans un pli du temps . (sohaz@mailo.com)
Date d'inscription : 23/02/2010
à Croisic
Croisic, il ne s'agit pas de "travailler et retravailler" un texte !CROISIC a écrit: Dusha : je suis incapable de travailler et retravailler des mots, je ne vis que dans l'instant, juste après c'est trop tard pour moi, je ne reconnais même plus ce que j'ai commis.
Mais l’abandonner un temps permet le changement de regard : d'auteur, tu deviens lecteur et critique (et si tu lis à haute voix...) Tu peux alors supprimer tout ce qui gène le rythme, la musicalité du texte, ce que j'appelle les "scories".
Un poème, c'est comme un vin : c'est en vieillissant qu'ils révèlent leur âme et leur chair...
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
Dusha, je ne discuterai pas poésie avec toi car je n'en connais pas la technique.
Par contre, concernant le vin, là c'est autre chose ; les nouveaux procédés de vinification permettent de déguster de très bons vins embouteillés d'un ou deux ans, plus besoin de livre de cave !
Par contre, concernant le vin, là c'est autre chose ; les nouveaux procédés de vinification permettent de déguster de très bons vins embouteillés d'un ou deux ans, plus besoin de livre de cave !
Re : Réponse à Easter pour "La Vérité aux cheveux rouges"
Pourrais-tu me développer un peu la notion "d'étrange" que tu ressens dans mon texte "La Vérité..." ?
Est-ce de l'inexplicable, de l'incohérence, un "abus moral", une mauvaise construction ? Evidemment le référent réel contemporain parfois est traversé par l'imaginaire, souvent un clin d'oeil à la mytho grecque... J'ai constaté aussi que dans les textes d'Ovide le statut de la femme a tendance parfois a déranger notre éthique moderne "féministe", progressiste. Dans la mytho antique, les femmes peuvent être violentes, furieuses, excessives, (injustes ?), des qualificatifs un peu mysogines...
Merci aussi d'avoir passé quelques indices pour éclairer la lecture d'Iris.
Est-ce de l'inexplicable, de l'incohérence, un "abus moral", une mauvaise construction ? Evidemment le référent réel contemporain parfois est traversé par l'imaginaire, souvent un clin d'oeil à la mytho grecque... J'ai constaté aussi que dans les textes d'Ovide le statut de la femme a tendance parfois a déranger notre éthique moderne "féministe", progressiste. Dans la mytho antique, les femmes peuvent être violentes, furieuses, excessives, (injustes ?), des qualificatifs un peu mysogines...
Merci aussi d'avoir passé quelques indices pour éclairer la lecture d'Iris.
Raoulraoul- Nombre de messages : 607
Age : 63
Date d'inscription : 24/06/2011
Re : Réponse à Iris, pour "La Vérité aux cheveux rouges"
Merci Iris pour ta lecture patiente. Voici quelques éléments de réponses à ta question concernant les motivations des femmes envers le poète Orphée. Comme tu le sais peut-être maintenant celles-ci sont des Ménades (adeptes de Bacchus et Dionysos). Jessy et ses copines (Ménades) ne supportent pas que leur amie soit bernée par les belles paroles d'Orphée, illusionnant avec son langage, alors que dans son coeur il est incapable d'aimer
(regrettant toujours Eurydice, son unique amour disparu chez les morts). En somme les copines sont vengeresses, réclamant des actes et de la sincérité (ce que j'appelle la vérité aux cheveux rouges), plutôt que le bluff lyrique d'Orphée. Orphée se fait lyncher, détruire ; c'est le combat entre la fumée mensongère des mots et la vérité factuelle des actes, preuve des sentiments. Par contre le texte ce termine sur la tristesse mortifère des copines, car elles viennent de supprimer la poésie, le rêve, la transcendance de l'amour par les mots, tout ce que faisait Orphée... Elles découvrent que l'amour n'est pas seulement acte...
Bien sûr ce texte est une transposition moderne de La Mort d'Orphée dans Les Métamorphoses d'Ovide.
(regrettant toujours Eurydice, son unique amour disparu chez les morts). En somme les copines sont vengeresses, réclamant des actes et de la sincérité (ce que j'appelle la vérité aux cheveux rouges), plutôt que le bluff lyrique d'Orphée. Orphée se fait lyncher, détruire ; c'est le combat entre la fumée mensongère des mots et la vérité factuelle des actes, preuve des sentiments. Par contre le texte ce termine sur la tristesse mortifère des copines, car elles viennent de supprimer la poésie, le rêve, la transcendance de l'amour par les mots, tout ce que faisait Orphée... Elles découvrent que l'amour n'est pas seulement acte...
Bien sûr ce texte est une transposition moderne de La Mort d'Orphée dans Les Métamorphoses d'Ovide.
Raoulraoul- Nombre de messages : 607
Age : 63
Date d'inscription : 24/06/2011
Les choses en questions
Tizef, j'ai un mac. Sais-tu à quoi équivaut le "bloc notes" ? Tu as sans doute raison parce que ce n'est pas la première fois que ça m'arrive, donc il faudrait j'imagine que je passe par une mise en forme préalable avant de faire un copier/coller sur le forum.
Merci à toi et à Iris d'avoir ainsi perçu mon texte, vos commentaires m'ont touchée. Etant incapable d'écrire en mettant en scène des objets comme s'ils étaient des êtres de chair, c'est tout ce que j'avais été capable de produire à l'époque sur ce thème. Et je suis admirative devant certains textes commis sur ce sujet dernièrement.
< Une nouvelle fois, et pour une question de principe désormais bien connue ici, ce commentaire est placé dans le bon fil.
La Modération >
Merci à toi et à Iris d'avoir ainsi perçu mon texte, vos commentaires m'ont touchée. Etant incapable d'écrire en mettant en scène des objets comme s'ils étaient des êtres de chair, c'est tout ce que j'avais été capable de produire à l'époque sur ce thème. Et je suis admirative devant certains textes commis sur ce sujet dernièrement.
< Une nouvelle fois, et pour une question de principe désormais bien connue ici, ce commentaire est placé dans le bon fil.
La Modération >
Phylisse- Nombre de messages : 963
Age : 62
Localisation : Provence
Date d'inscription : 05/05/2011
Re: Discussions autour de nos textes
Une discussion a eu lieu récemment (après recherche je ne retrouve pas le fil) sur le "comment et à quelle fréquence" répondre aux commentaires. J'ai le souvenir que la modération exprimait ceci : laisser passer quelques jours/une semaine ou trois ou quatre commentaires minimum. J'ai laissé passé la semaine et ma réponse est en rapport avec les commentaires de Tizef et Iris, je ne comprend pas pourquoi elle est déplacée dans le fil de discussion.
Lors d'un déplacement similaire j'avais déjà exprimé le fait que je préfère voir ma réponse sous le texte, cela se reproduit alors que j'essaie de faire attention de ne pas être maladroite. Vous ne me donnez vraiment plus envie de répondre aux commentaires alors que j'y tiens, par respect pour le lecteur et le commentateur, et du coup, je crois que je vais arrêter de publier parce que ça m'agace. Je vais me contenter de lire, commenter, et participer aux exos, apparemment je n'ai encore pas fait trop d'erreurs de ce côté là.
Phylisse- Nombre de messages : 963
Age : 62
Localisation : Provence
Date d'inscription : 05/05/2011
Re: Discussions autour de nos textes
Si vous voulez exprimer une pensée particulière, c'est ailleurs.
Merci.
La Modération >
Comme me le disait justement Indurain, "el moderator a toujours raison". DADA.
Mais pourquoi déplacer un commentaire considéré comme inadéquat (merci de fournir une grille de réponses types) dans "discussions autour de nos textes", où il l'est encore plus ?
Cette question n'appelle aucune réponse particulière, car elle ne se veut aucunement polémique, c'est juste pour m'auto-réveiller.
Que d'interrogations en cette belle matinée (je mets le reste en blanc car ça n'a rien à voir avec le texte, mais c'est parce que je suis content).
Je pars à la montagne voir s'il fait plus frais que dans la plaine, mais je serai de retour dimanche.
Et comme disait mon camarade Vigny : "J'aime le son du cor le soir au fond des bois" ; il me tarde d'y être.
< Vos deux messages "commentaires" sont désormais dans le fil des "Débats, billevesées et causette" et pourront ainsi amener des réactions en rapport avec lui. Notamment la vérité des faits, peut-être ?
La Modération >
.
Merci.
La Modération >
Comme me le disait justement Indurain, "el moderator a toujours raison". DADA.
Mais pourquoi déplacer un commentaire considéré comme inadéquat (merci de fournir une grille de réponses types) dans "discussions autour de nos textes", où il l'est encore plus ?
Cette question n'appelle aucune réponse particulière, car elle ne se veut aucunement polémique, c'est juste pour m'auto-réveiller.
Que d'interrogations en cette belle matinée (je mets le reste en blanc car ça n'a rien à voir avec le texte, mais c'est parce que je suis content).
Je pars à la montagne voir s'il fait plus frais que dans la plaine, mais je serai de retour dimanche.
Et comme disait mon camarade Vigny : "J'aime le son du cor le soir au fond des bois" ; il me tarde d'y être.
< Vos deux messages "commentaires" sont désormais dans le fil des "Débats, billevesées et causette" et pourront ainsi amener des réactions en rapport avec lui. Notamment la vérité des faits, peut-être ?
La Modération >
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Invité- Invité
Salut The mec bidon
Bonjours,ton pseudo es original pourquois dis tu "the mec bidon" tu ne dois pas l'etre !!
< Prière de parcourir le forum avant de poster afin de placer vos interventions aux bons endroits.
Celle-ci est donc replacée et titrée.
Merci.
La Modération >
.
< Prière de parcourir le forum avant de poster afin de placer vos interventions aux bons endroits.
Celle-ci est donc replacée et titrée.
Merci.
La Modération >
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nanou17- Nombre de messages : 3
Age : 27
Localisation : Marseille
Date d'inscription : 24/08/2012
La vérité aux cheveux rouges
Merci, Raoulraoul, pour t'être donné la peine de m'éclairer. J'ai lu tes explications avec intérêt, et du coup, je suis allée également relire ton texte.
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
Votre humour un peu piquant m'avait tellement manqué, merci !Stune blague ?
Elle est ... presque drôle !
michel- Nombre de messages : 124
Age : 33
Localisation : Nowhere
Date d'inscription : 22/07/2009
Re: Discussions autour de nos textes
A Frédéric Prunier,
Merci beaucoup pour votre commentaire que je trouve très intéressant à plusieurs niveaux.
Permettez moi alors de répondre à votre si gentille demande.
Tout d'abord il semble nécessaire de lever une confusion terminologique. Il me semble que vous confondez croire et supposer. Je peux croire que Dieu existe et je peux supposer que Dieu existe. Et je peux supposer sans croire. Mais pas inversement. Vous me contraignez à faire cet exercice tout à fait délicieux de se citer soi même : "Pour savoir ce que serait la société post-capitaliste..."
Autrement dit je suppose, c'est à dire je fais une hypothèse sur ce qu'elle serait, sans rien dire néanmoins qui permettrait de conclure à quelqu'un que je pense que nous y soyons déjà ou encore, comme vous dites
Et vous me demander en dernier lieu d'expliquer le fond de ma pensée dans le dernier paragraphe; c'est à dire sur ce que vous n'avez pu capter que comme pris dans un tourbillon, ou une pelote, comme vous dites. Je vais donc m'appliquer à procéder à cet exercice non moins plaisant d'auto-commentaire.
Car il faut concevoir la société post-capitaliste comme composée de trois hommes seulement, les trois derniers hommes qui sont comme les trois figures du surhomme : et qui ne s’entendent pas : Nietzsche par exemple reprochant à Spinoza de tisser ses toiles à nexus sans substance partout, et de rire de ses combats d’araignée
Le surhomme chez Nietzsche est aussi l'enfant (voir les trois métamorphoses, avec le chameau, le lion et l'enfant, le tu dois, le je veux et le ça). Et Lao-Tseu signifie littéralement le Viel-Enfant. Et il va de soi que Nietzsche et Spinoza étaient eux même des surhommes, non pas par leur oeuvre, mais parce qu'ils n'incarnaient pas la forme homme qu'on connait encore beaucoup trop de nos jours, ils étaient déjà hors de leur siècle humaniste pour Spinoza, et anthropocentriste pour Nietzsche (Hegel déjà, Feuerbach surtout). C'est par leur inactualité par rapport à leur époque qu'ils étaient des surhommes, et non pas par un caractère génial de leur oeuvre. Évitons les interprétations du surhomme comme superman. Bref je crois que c'en est assez. Si vous n'avez toujours pas toutes les clefs pour comprendre suffisamment ce texte je ne pourrais plus rien pour vous, c'est que ce texte ne vous parle pas et que vous n'avez rien à en faire, à la lettre (donc sans aucune dépréciation de ma part). Au contraire, encore une fois merci beaucoup et j'espère avoir pu vous éclairer un tant soit peu dans votre lecture. Il serait bon désormais de mettre en confrontation le dernier paragraphe et le premier.
Merci beaucoup pour votre commentaire que je trouve très intéressant à plusieurs niveaux.
Permettez moi alors de répondre à votre si gentille demande.
Tout d'abord il semble nécessaire de lever une confusion terminologique. Il me semble que vous confondez croire et supposer. Je peux croire que Dieu existe et je peux supposer que Dieu existe. Et je peux supposer sans croire. Mais pas inversement. Vous me contraignez à faire cet exercice tout à fait délicieux de se citer soi même : "Pour savoir ce que serait la société post-capitaliste..."
Autrement dit je suppose, c'est à dire je fais une hypothèse sur ce qu'elle serait, sans rien dire néanmoins qui permettrait de conclure à quelqu'un que je pense que nous y soyons déjà ou encore, comme vous dites
D'autre part vous proposez de rapprocher l'intention de ce texte de la polémique Rousseau Voltaire. Cette fois je pense que c'est vous qui me devez des explications, car je vous avoue que je ne vois pas du tout le lien. Je vous prie donc de bien vouloir m'éclairer là dessus."es-tu certain que nous y soyons déjà ??... ou... es-tu certain que nous y soyons encore ... ??"
Et vous me demander en dernier lieu d'expliquer le fond de ma pensée dans le dernier paragraphe; c'est à dire sur ce que vous n'avez pu capter que comme pris dans un tourbillon, ou une pelote, comme vous dites. Je vais donc m'appliquer à procéder à cet exercice non moins plaisant d'auto-commentaire.
Car il faut concevoir la société post-capitaliste comme composée de trois hommes seulement, les trois derniers hommes qui sont comme les trois figures du surhomme : et qui ne s’entendent pas : Nietzsche par exemple reprochant à Spinoza de tisser ses toiles à nexus sans substance partout, et de rire de ses combats d’araignée
et inversement, à Lao-Tseu, d’être pire[F.N., Crépuscules des idoles, l'Herme, p. 143 : Nietzsche reproche à Spinoza d'avoir mis au début ce qui devait se trouver à la fin, à savoir la Substance absolument infinie; il va de soi que Nietzsche confond ici la substance sur le plan ontologique et sa genèse sur le plan individuel; les modes spinozistes sont absolument pré-individuel et impersonnel, ce qui disconvenait sans doute à l'individualisme aristocrate de Nietzsche. Je n'abordais pas ici la question de savoir quelle est la portée réelle de l'objection de Nietzsche, je prenais cette objection telle qu'elle est (l'expression nexus sans substance revient à dire mode]
que Schopenhauer, qui n’était que l’exemple de la révolte contre son temps["pire" est donc ironique ici]
mais pas de tout les temps, bien qu’il ait eu cette tendance orientale d’abolir toute volonté ou de l’inactuel absolu[dans la IIIe Inactuelle, Nietzsche rend hommage à Schopenhauer d'avoir été le symbole de l'intempestif, mais lui reproche de ne pas avoir porté ce caractère intempestif à tout les temps, de l'avoir étendu à toutes les époques, et pas seulement la siennes [cf. par exemple les pages d'insulte de Schopenhauer, dans n'importe lequel de ses livres on en trouve des pages et des pages, contre Hegel]]
Et Spinoza rétorquerait à Nietzsche : voilà où tes surhommes nous ont mené[on connait le gout de Schopenhauer pour l'orient et les philosophies orientales, outre le fait bien plus notable encore que toute sa philosophie est la philosophie athéiste par excellence puisqu'elle sépare le monde comme volonté et comme représentation (c'est à dire comme raison)]
à n’être éternellement ou internellement plus que nous trois, mais chacun seul, n’ayant même plus d’homme pour faire une Terre des territoires de la terre ; et des Concepts ou notions communes[Autrement dit : il fallait s’arrêter à l'affirmation ou à l'actualisation de l'Etre univoque dans l'âme, et pas aller dans sa réalisation dans les corps; autrement dit, avec Nietzsche et la nouvelle forme de l'homme, c'est à dire le surhomme, l'homme va un pas trop loin et ne peut plus aller qu'à sa propre perte]
Et à Lao-Tseu, Spinoza ne dirait rien, car il le laisserait vivre selon sa complexion, pourvu qu’il le laisse vivre selon la sienne[en effet, comment concevoir l'activité conceptuelles sans sens commun à critiquer?]
ce qui est le cas, puisque Lao-Tseu ne les regardes tout deux même pas, lui, le Vieil-Enfant[citation du Traité Politique de Spinoza; d'autre part il est forcé que Spinoza ne reproche rien à Lao-Tseu, premièrement parce que Lao-Tseu est lui même l'avenir oriental; deuxièmement parce que La Grande politique révolutionnaire chez Nietzsche n'a pas d'équivalent chez Spinoza : Spinoza est Stoicien, ce qui ne peut se dire de Nietzsche avec le pole révolutionnaire en plus, cf. la différence entre l'actualisation ou l'affirmation radicale de l'être univoque chez Spinoza, et de sa réalisation chez Nietzsche, la réalisation suppose l'implication d'un plan révolutionnaire dans les corps, c'est à dire de résistance ou artistique]
Je pourrais continuer l'explication, mais ceux qui n'en peuvent plus je leur conseil d’arrêter si ce n'est pas déjà fait depuis bien longtemps.[(en effet, Lao-Tseu regarde vers l'avenir)]
Le surhomme chez Nietzsche est aussi l'enfant (voir les trois métamorphoses, avec le chameau, le lion et l'enfant, le tu dois, le je veux et le ça). Et Lao-Tseu signifie littéralement le Viel-Enfant. Et il va de soi que Nietzsche et Spinoza étaient eux même des surhommes, non pas par leur oeuvre, mais parce qu'ils n'incarnaient pas la forme homme qu'on connait encore beaucoup trop de nos jours, ils étaient déjà hors de leur siècle humaniste pour Spinoza, et anthropocentriste pour Nietzsche (Hegel déjà, Feuerbach surtout). C'est par leur inactualité par rapport à leur époque qu'ils étaient des surhommes, et non pas par un caractère génial de leur oeuvre. Évitons les interprétations du surhomme comme superman. Bref je crois que c'en est assez. Si vous n'avez toujours pas toutes les clefs pour comprendre suffisamment ce texte je ne pourrais plus rien pour vous, c'est que ce texte ne vous parle pas et que vous n'avez rien à en faire, à la lettre (donc sans aucune dépréciation de ma part). Au contraire, encore une fois merci beaucoup et j'espère avoir pu vous éclairer un tant soit peu dans votre lecture. Il serait bon désormais de mettre en confrontation le dernier paragraphe et le premier.
michel- Nombre de messages : 124
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Re: Discussions autour de nos textes
michel,
il me semble que le but de votre texte est de nous démontrer que l'on peut comprendre une société en regardant évoluer un groupe de jeunes enfants évoluant dans une classe maternelle, de petite section je pense.
C'est pourquoi je vous dis, que pour vous suivre dans vos pérégrinations philosophiques, il me faut comprendre si vous définissez l'enfantelet comme un bisounours ou un ours !!! quand il arrive dans cette classe !!!
d'où mon interrogation Rousseau-Voltaire...
sinon,
je suis désolé
le trop grand nombre de références que vous employez ne permet pas de vous suivre.
Tout d'abord, parce qu'il me faudrait quelques mois pour lire et digéré ce que contient et sous-entend chaque mot référencé
et que d'autre part,
il vous faut savoir que ces mots, ces philosophies, vous les cités à l'envie, vous les assemblez et les additionnez comme on enfile des perles sur un collier, (et que chaque mot de ce type est, pour celui qui l'emploie, un résumé du savoir,filtré par sa croyance, car tout intellectuel qui se respecte est persuadé du bon sens de votre jugement)
Je lis votre texte comme une suite de lieux communs, érudits certes, mais lieux communs. Et je ne lis pas une phrase, claire et limpide, nous synthétisant et concluant votre pensée.
Vous pouvez toujours vous retrancher derrière votre savoir et votre connaissance et me dire que vous ne pouvez rien pour moi,
je suis tout à fait d'accord avec votre point de vue, je n'ai pas lu Spinoza et Nietzsche est vraiment indigeste.
pourtant je me sens tout à fait capable de réflexion sur ce qu'est le monde qui nous entoure.
Et il doit être simple, à mon humble sens,
pour celui qui détient le savoir et la connaissance,
de descendre au niveau de l'ignorant,
surce, bon trip !!!
Amitié
il me semble que le but de votre texte est de nous démontrer que l'on peut comprendre une société en regardant évoluer un groupe de jeunes enfants évoluant dans une classe maternelle, de petite section je pense.
C'est pourquoi je vous dis, que pour vous suivre dans vos pérégrinations philosophiques, il me faut comprendre si vous définissez l'enfantelet comme un bisounours ou un ours !!! quand il arrive dans cette classe !!!
d'où mon interrogation Rousseau-Voltaire...
sinon,
je suis désolé
le trop grand nombre de références que vous employez ne permet pas de vous suivre.
Tout d'abord, parce qu'il me faudrait quelques mois pour lire et digéré ce que contient et sous-entend chaque mot référencé
et que d'autre part,
il vous faut savoir que ces mots, ces philosophies, vous les cités à l'envie, vous les assemblez et les additionnez comme on enfile des perles sur un collier, (et que chaque mot de ce type est, pour celui qui l'emploie, un résumé du savoir,filtré par sa croyance, car tout intellectuel qui se respecte est persuadé du bon sens de votre jugement)
Je lis votre texte comme une suite de lieux communs, érudits certes, mais lieux communs. Et je ne lis pas une phrase, claire et limpide, nous synthétisant et concluant votre pensée.
Vous pouvez toujours vous retrancher derrière votre savoir et votre connaissance et me dire que vous ne pouvez rien pour moi,
je suis tout à fait d'accord avec votre point de vue, je n'ai pas lu Spinoza et Nietzsche est vraiment indigeste.
pourtant je me sens tout à fait capable de réflexion sur ce qu'est le monde qui nous entoure.
Et il doit être simple, à mon humble sens,
pour celui qui détient le savoir et la connaissance,
de descendre au niveau de l'ignorant,
surce, bon trip !!!
Amitié
Re: Discussions autour de nos textes
confondre la substance sur le plan ontologique et sa genèse sur le plan individuel .... vous voulez dire âme et sperme ????michel a écrit:Car il faut concevoir la société post-capitaliste comme composée de trois hommes seulement, les trois derniers hommes qui sont comme les trois figures du surhomme : et qui ne s’entendent pas : Nietzsche par exemple reprochant à Spinoza de tisser ses toiles à nexus sans substance partout, et de rire de ses combats d’araignée[F.N., Crépuscules des idoles, l'Herme, p. 143 : Nietzsche reproche à Spinoza d'avoir mis au début ce qui devait se trouver à la fin, à savoir la Substance absolument infinie; il va de soi que Nietzsche confond ici la substance sur le plan ontologique et sa genèse sur le plan individuel; les modes spinozistes sont absolument pré-individuel et impersonnel, ce qui disconvenait sans doute à l'individualisme aristocrate de Nietzsche. Je n'abordais pas ici la question de savoir quelle est la portée réelle de l'objection de Nietzsche, je prenais cette objection telle qu'elle est (l'expression nexus sans substance revient à dire mode]
les modes spinozistes sont absolument pré-individuel et impersonnel........ moi pas comprendre, surtout le fait d'être à la fois "pré-individuel" et "impersonnel".... le pré-individuel devrait pourtant posséder au moins 99% des gènes de l'individuel, et dans ce cas être complètement à l'opposer de "l'impersonnel".... car "individuel" à plus, à mon avis, "personnel" comme cousin germain que "impersonnel".........???? (mais j'ai pas fait philo en deuxième langue, moije j'avais pris option baby-foot, c'est d'ailleurs un peu pour cela que nous sommes ici tous deux à deviser...hahaha!!!)..........!!!!et je viens de lire un résumé sur la philosophie de Spinoza et je me pose des questions sur la façon dont vous l'avez assimilé !!!
Je n'abordais pas ici la question de savoir quelle est la portée réelle de l'objection de Nietzsche, je prenais cette objection telle qu'elle est ..................... c'est à dire ??? qu'elle est elle cette objection ???? que Spinoza mélangeait la fin ou le début ??? et vous... qu'en avez-vous fait ??? je ne lis rien et tout se brouille !!!! Au secours !!!!!! et quel est ce nexus... ???? un personnage de science-fiction ?????????
pou résumer:
Nietzsche par exemple reprochant à Spinoza de tisser ses toiles à nexus sans substance partout, et de rire de ses combats d’araignée ...... à la lecture de cette phrase que vous présentez comme le fruit d'une réflexion philosophique, je me pose sincèrement la question suivante: quel est ce lapin et de quel chapeau sort-il ????
bon, surce,
je vous quitte parce que vous me paraissez un peu trop embrouillaminé pour ma simple complexion d'animal aimant la vie comme une poésie.... philosophiquement, ça au moins, c'est simple à écrire ! (même si peut-être pas facile à comprendre)
........................ et je prends qu'un extrait de votre texte parce que j'ai une armoire à retaper que j'ai pourtant pas envie
Re: Discussions autour de nos textes
à michel,
et j'espère que mes réflexions ne vous blesseront pas,
ce n'est pas mon but....
amitié
et j'espère que mes réflexions ne vous blesseront pas,
ce n'est pas mon but....
amitié
Re: Discussions autour de nos textes
michel,
je viens de faire un gros effort pour relire ton texte de départ, et tous tes commentaires.
J'ai compris plein de truc à l'intérieur, tous plein de références et de pensées intérressantes
mais il me manque le principal.
Au milieu de cette grande roue démonstrative où tu parles de plein de choses,
cela m'apparait comme un jeu que je résumerai ainsi: du coq à l'âne...
parce que en fait,
de quoi parles-tu ?
et quelle est conclusion veux-tu nous faire découvrir?
bon appétit
je viens de faire un gros effort pour relire ton texte de départ, et tous tes commentaires.
J'ai compris plein de truc à l'intérieur, tous plein de références et de pensées intérressantes
mais il me manque le principal.
Au milieu de cette grande roue démonstrative où tu parles de plein de choses,
cela m'apparait comme un jeu que je résumerai ainsi: du coq à l'âne...
parce que en fait,
de quoi parles-tu ?
et quelle est conclusion veux-tu nous faire découvrir?
bon appétit
Re: Discussions autour de nos textes
Désolé, je crois quand meme qu'on est dans un salon littéraire, enfin, à ce qu'il me semble, et qu'on peux faire référence à de grand nom de manière meme très superficielle comme vous l'avez très bien remarqué sans devoir expliquer de quoi on parle, en faisant simplement référence à ce minimum de culture. Hé oui désolé je me retranche derrière mon savoir, mais si à 50 ans vous n'avez encore jamais emmagasiner un tant sois peu de produit culturel qu'ils soient philosophiques littéraire ou autre c'est sincèrement vous que je plains. Voyez la frustration que vous éprouvez maintenant, et les sordides demande que vous etes contraint de faire à un jeune homme gaillard. C'est comme si comme si on était sur un forum de baby-foot, et que je parlais de Zidane, de Ronaldo I et II, et qu'on me demandais encore "de quoi tu parles", tes bien sûr de savoir de quoi tu parles ???: allé, prouves moi que tu as bien digérer tout ces noms inconnus pour moi et ma pauvre malheureuse petite tete d'inculte misérable houhahahou me fait pas de mal stiplai stilte plait - heeeien vas y prouves le moi quoi. Vous me demandiez en gros de quel droit je pouvais prétendre parler de si grand nom, je vous ai répondu en citant les références exacte d'où j'avais emprunter leur dire. Ce que vous me semblez ne toujours pas avoir compris, c'est que le texte fait sens par lui même, enfin ou plutot, vous l'avez compris, puisque vous dites qu'il faut faudrait plusieurs mois désormais pour procéder à ces lectures.
En tout cas je vous remercie encore de m'avoir forcé à dépouillé ce texte du peu de poésie qu'il contenait toutefois, en le disséquant pour vous - tout ça pour rien.
Je ne suis pas blessé, je suis déçu de vous.
En tout cas je vous remercie encore de m'avoir forcé à dépouillé ce texte du peu de poésie qu'il contenait toutefois, en le disséquant pour vous - tout ça pour rien.
Je ne suis pas blessé, je suis déçu de vous.
michel- Nombre de messages : 124
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Localisation : Nowhere
Date d'inscription : 22/07/2009
Re: Discussions autour de nos textes
il n'y a pas de réelle conclusion et il n'y a pas à en avoir. La conclusion est peut etre la phrase centrale : il n'est pas très recommandable d'accompagner le capitalisme sur sa ligne d'abolition virtuelle. D'autre part je ne comprend toujours pas votre parallèle avec le débat Rousseau/Voltaire
michel- Nombre de messages : 124
Age : 33
Localisation : Nowhere
Date d'inscription : 22/07/2009
Re: Discussions autour de nos textes
tu as raison, nous sommes sur un forum littéraire, et à ce titre, l'orthographe aussi fait partie des éléments à ne pas laisser de coté. En outre, mettre en avant un tel potentiel intellectuel et se contenter d'agir avec tant de pédantisme, c'est sans doute ce qu'il y a de plus dommageable.
"Un pédant est un homme qui digère mal intellectuellement" : Jules Renard (oui, j'ai les références que je peux :-D).
"Un pédant est un homme qui digère mal intellectuellement" : Jules Renard (oui, j'ai les références que je peux :-D).
polgara- Nombre de messages : 1440
Age : 49
Localisation : Tournefeuille, et virevolte aussi
Date d'inscription : 27/02/2012
Re: Discussions autour de nos textes
Désolé si des références de base encore une fois vous paraisse faire montre de ma part de pédantisme ou de prétention intellectuelle excessive.
michel- Nombre de messages : 124
Age : 33
Localisation : Nowhere
Date d'inscription : 22/07/2009
Re: Discussions autour de nos textes
Je vous remercie de votre condescendance et de me permettre d'accéder au sens de votre raisonnement.michel a écrit:il n'y a pas de réelle conclusion et il n'y a pas à en avoir. La conclusion est peut etre la phrase centrale : il n'est pas très recommandable d'accompagner le capitalisme sur sa ligne d'abolition virtuelle. D'autre part je ne comprend toujours pas votre parallèle avec le débat Rousseau/Voltaire
Grâce à cette phrase donc: il n'est pas très recommandable d'accompagner le capitalisme sur sa ligne d'abolition virtuelle.
je peux recentrer votre propos.
Toutefois, je m'interroge sur le sens que vous entendez par abolition virtuelle, car il manque un mot entre abolition et virtuelle, non ?
est-ce en rapport avec l'économie virtuelle ? le travail de l'argent grâce au boursicotage ??????
et dans ce cas là, pourquoi ne pas accompagner le capitalisme sur sa ligne d'abolition d'une économie virtuelle ????????
si je me fourvoie, merci d'éclaircir le sens de ce qui est, dans votre phrase, sous-entendu ou entendu dans ou avec le mot VIRTUELLE.
.............................
pour ce qui est des connaissances,
j'exerce un métier de connaissance.
Plus le temps passe, plus j'apprends, et plus je deviens humble devant l'immensité du génie humain et de ce qu'il me faudrait en savoir.
Re: Discussions autour de nos textes
de la philosophie et du "contorsionnisme",
prenons l'exemple des philosophes qui veulent prouver l'existence de Dieu,
les plus compliqués méandres de leurs équations les plus subtiles, les plus argumentées, les mieux référencées ne combleront jamais le maillon manquant de leur chaîne de raisonnement.
prenons l'exemple des philosophes qui veulent prouver l'existence de Dieu,
les plus compliqués méandres de leurs équations les plus subtiles, les plus argumentées, les mieux référencées ne combleront jamais le maillon manquant de leur chaîne de raisonnement.
Re: Discussions autour de nos textes
"Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement"... A méditer !
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
A ce propos, j'aimerais rappeler la réponse que fit le Chanoine Kir, maire de Dijon et député, à l'un de ses collègues communistes à l'Assemblée. Ce dernier refusait d'admettre l'existence de Dieu au motif qu'il ne l'avait jamais vu. A quoi le brave ecclésiastique rétorqua : "Et mon cul, tu l'as vu ? Et pourtant il existe !" :0)Frédéric Prunier a écrit:de la philosophie et du "contorsionnisme",
prenons l'exemple des philosophes qui veulent prouver l'existence de Dieu,
les plus compliqués méandres de leurs équations les plus subtiles, les plus argumentées, les mieux référencées ne combleront jamais le maillon manquant de leur chaîne de raisonnement.
Gobu- Nombre de messages : 2400
Age : 70
Date d'inscription : 18/06/2007
Re: Discussions autour de nos textes
bon j'ai un examen de droit dans deux jours je peux plus faire de longues phrase pédante et prétentieuse ni tout ça mais je vais quand meme essayé de vous donner un maximum d'indication pour comprendre ce texte sur lequel vous semblez vous investir, or je ne voudrais pas vous frustrez par avarices d'explications et de commentaires pour cause d'orgueil excessif ou autre vilaine manie. Bref assez parler.
possible > < réel.
virtuel > < actuel
surhomme = enfant = inactuel (=virtuel)
capitalisme = situation schizophrénisante
schizophrénie = double bind (Bateson, Vers une écologie de l'esprit).
=> surhomme mode de vie inactuel (cf. commentaire supra).
=> capitalisme impose mode de vie inactuel
donc capitalisme = situation schizophrénisante, pcq entre la pactisation avec le capitalisme et l'impossibilité de ne pas participer au capitalisme tout en étant un surhomme, c'est à dire non pas superman, ce qui conviendrait pour l'interprétation B.D. du surhomme, mais selon la définition du surhomme, suivant un mode de vie inactuel (c'est à dire qui ne cède pas à toutes les pressions de l'époque en gros ou aux modes de l'époque).
CCL : la schizophrénie est le mal du troisième millénaire, ou du capitalisme pour être précis.
D'où ce texte était là en fait pour vous dire que comme j'étais guéri de ma schizophrénie d'il y a deux ans hein vous vous rappelez, et ben en même temps j'ai pas trouver la solution contre le capitalisme. Mais je vous invitais en fait à la rechercher activement, parce qu'encore une fois :
accompagner le capitalisme sur sa ligne d'abolition virtuelle, ne me semble pas très recommandable.
L'avant veille d'un examen je me permet de pas me relire - quoi qu'en dira la modération :-) - désolé. Bien à vous.
possible > < réel.
virtuel > < actuel
surhomme = enfant = inactuel (=virtuel)
capitalisme = situation schizophrénisante
schizophrénie = double bind (Bateson, Vers une écologie de l'esprit).
=> surhomme mode de vie inactuel (cf. commentaire supra).
=> capitalisme impose mode de vie inactuel
donc capitalisme = situation schizophrénisante, pcq entre la pactisation avec le capitalisme et l'impossibilité de ne pas participer au capitalisme tout en étant un surhomme, c'est à dire non pas superman, ce qui conviendrait pour l'interprétation B.D. du surhomme, mais selon la définition du surhomme, suivant un mode de vie inactuel (c'est à dire qui ne cède pas à toutes les pressions de l'époque en gros ou aux modes de l'époque).
CCL : la schizophrénie est le mal du troisième millénaire, ou du capitalisme pour être précis.
D'où ce texte était là en fait pour vous dire que comme j'étais guéri de ma schizophrénie d'il y a deux ans hein vous vous rappelez, et ben en même temps j'ai pas trouver la solution contre le capitalisme. Mais je vous invitais en fait à la rechercher activement, parce qu'encore une fois :
accompagner le capitalisme sur sa ligne d'abolition virtuelle, ne me semble pas très recommandable.
L'avant veille d'un examen je me permet de pas me relire - quoi qu'en dira la modération :-) - désolé. Bien à vous.
michel- Nombre de messages : 124
Age : 33
Localisation : Nowhere
Date d'inscription : 22/07/2009
Re: Discussions autour de nos textes
se relire risquerait d'ajouter des fautes où y en avait pasmichel a écrit: je me permet de pas me relire - quoi qu'en dira la modération :-) - désolé.
donc c'est mieux
bon, je me sauve
Re: Discussions autour de nos textes
michel
que l'on considère l'égoïsme comme une maladie du capitalisme
ça je peux comprendre
que l'on considère la folie comme une maladie propre à l'humain
ça je peux comprendre aussi
que l'on considère la folie comme une maladie du capitalisme
ça, c'est une juste de la connerie qui ne veut rien dire.
surce
bon examen.
que l'on considère l'égoïsme comme une maladie du capitalisme
ça je peux comprendre
que l'on considère la folie comme une maladie propre à l'humain
ça je peux comprendre aussi
que l'on considère la folie comme une maladie du capitalisme
ça, c'est une juste de la connerie qui ne veut rien dire.
surce
bon examen.
viva la révolution
Merci à vous qui prenez le temps de m'encourager.
Chaque fin de semaine, je crains le bide pour le nouveau texte et le manque d'inspiration pour un éventuel suivant.
Pour samedi c'est bon. La copie est fin prête.
Mais je n'ai pas la moindre idée pour la suite. Comme d'hab.
Chaque fin de semaine, je crains le bide pour le nouveau texte et le manque d'inspiration pour un éventuel suivant.
Pour samedi c'est bon. La copie est fin prête.
Mais je n'ai pas la moindre idée pour la suite. Comme d'hab.
Invité- Invité
à Frédéric Prunier
Pourquoi devenez vous vulgaire tout à coup ? Je ne peux évidemment pas vous prouvez que j'ai raison, mais si vous trouver que le capitalisme n'est pas si mauvais, que "ca va encore comme système", que "ya eu pire", etc., si vous vous dites vraiment toutes ces choses, ce que, je crois, votre réponse laisse explicitement sous-entendre, vu la vulagrité avec laquelle vous rejetez mon opinion, alors je vous dirais, cher Monsieur, très calmement, mais très sérieusement, que nous n'avons malheureusement plus rien à nous dire; et d'autre part je me pose de sérieuse question sur la manière dont vous pensez comprendre le monde qui vous entoure, comme vous dites (ou plutot j'obtiens de sérieuse réponses).
michel- Nombre de messages : 124
Age : 33
Localisation : Nowhere
Date d'inscription : 22/07/2009
Mes textes sont "vus" mais pas commentés
Depuis quelques temps je reçois très peu de commentaires concernant mes textes. Ils sont "vus" mais pas de réaction. Pourquoi ? Sont-ils trop longs ? J'ai déjà édité sur VE plus longs. Les réactions négatives ne me dérangeraient pas, plutôt que rien, le silence, le mutisme... Offrent-ils tant d'ennui ? Mes textes sont-ils sans intérêt ? Qu'on me le dise ! A par Easter qui me lit et me commente assidûment, mes autres lecteurs me boudent. VE à présent n'est plus pour moi le partenaire enrichissant qu'il fût... Je cherche des réponses à ce désintéressement. D'autres auteurs sont-ils dans mon cas ? Merci pour vos explications.
Raoulraoul- Nombre de messages : 607
Age : 63
Date d'inscription : 24/06/2011
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