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commentaires Faim de vous
Bon ... superficiel et faussement violent ... vais mettre mes pantouffles et me mettre un bandeau sur les yeux.
Océacide- Nombre de messages : 106
Age : 45
Date d'inscription : 17/10/2012
Faim de vous
J'ai été un peu dure sur ce coup. En fait je crois que si le lecteur se sent "interpellé" comme ça, direct au sein du texte, il peut avoir tendance à réagir assez vivement en face...Océacide a écrit:Bon ... superficiel et faussement violent ... vais mettre mes pantouffles et me mettre un bandeau sur les yeux.
Mais je n'ai pas dit que ça non plus : j'ai dit qu'il y avait quelque chose de fort à exploiter, mais que c'était exploité de manière (trop) superficielle, à mes yeux, par rapport à la force et l'étendue que l'on pourrait obtenir avec ce type de propos. Je crois que c'est le traitement que j'ai senti fait "à la légère", qui m'a fait... sortir de mes gonds.
Re: Discussions autour de nos textes
Océacide a écrit:Bon ... superficiel et faussement violent ... vais mettre mes pantouffles et me mettre un bandeau sur les yeux.
Et pour relativiser encore un peu mon commentaire... je crois aussi que comme ça m'a un peu parlé de manière personnelle, j'ai peut-être été un peu trop "vive" dans ma manière de dire.
Re: Discussions autour de nos textes
a retiré son bandeau et va garder près d'elle ses gros souliers, car il lui faudra les remettres !
Amitiés
Amitiés
Océacide- Nombre de messages : 106
Age : 45
Date d'inscription : 17/10/2012
Re : A Embellie, au sujet de V.Hugo
Merci Embellie, pour ton commentaire. A ta question "Pourquoi Victor Hugo ?..." je pourrai répondre que la ville thermale est Cauteret, dans les Pyrénées, et que dans cette ville, Hugo y a séjourné. Un place d'ailleurs porte son nom. Ainsi, peut-être à la fin de la nouvelle, devrai-je mentionner cette place en souvenir du passage de Hugo ? Qu'en penses-tu ?...
Raoulraoul- Nombre de messages : 607
Age : 63
Date d'inscription : 24/06/2011
Re: Discussions autour de nos textes
merci pour ton commentaire raoul
__________________________________________________________
< Pour la bonne compréhension des lecteurs, prière de noter le titre du texte dont vous parlez dans la zone prévue pour cela, merci.
Veillez également à respecter l'intégrité des pseudonymes.
La Modération >
.
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Chonsdevie- Nombre de messages : 124
Age : 27
Date d'inscription : 12/10/2012
Re: Discussions autour de nos textes
Vos écrits le forum où la modération est là pour faire chier les auteurs et non pour les aider.
Je demande à ce qu'on supprime mon malheureux petit texte pour des raisons tout à fait compréhensibles même si je n'ai pas à les exposer ici et on refuse sous le prétexte que le texte a reçu un commentaire et demi (ce qui n'est rien) et en plus on verrouille comme ça le texte ne sera pas commenté à nouveau ce qui aurait au moins justifié sa non-suppression.
Oui, la modération est méchante, elle a posé ses règles, elles sont sur la page d'accueil, elle croit en informer le monde lorsqu'une demande s'en écarte, mais enfin dans ce contexte précis comment ne pas refuser un bien compréhensible écart ? Un commentaire et demi ! Et qu'en est-il du droit des auteurs à disposer de leurs textes ? Et que sont les règles si elles ne tolèrent pas des pas côté ? Ce sont des pantins mécanique, elles finissent par tomber.
Il va sans dire que je suis CHOQUE par le comportement de la modération ici. Ce n'est pas un modérateur c'est un CHIEN DE GARDE.
CORDIALEMENT.
Je demande à ce qu'on supprime mon malheureux petit texte pour des raisons tout à fait compréhensibles même si je n'ai pas à les exposer ici et on refuse sous le prétexte que le texte a reçu un commentaire et demi (ce qui n'est rien) et en plus on verrouille comme ça le texte ne sera pas commenté à nouveau ce qui aurait au moins justifié sa non-suppression.
Oui, la modération est méchante, elle a posé ses règles, elles sont sur la page d'accueil, elle croit en informer le monde lorsqu'une demande s'en écarte, mais enfin dans ce contexte précis comment ne pas refuser un bien compréhensible écart ? Un commentaire et demi ! Et qu'en est-il du droit des auteurs à disposer de leurs textes ? Et que sont les règles si elles ne tolèrent pas des pas côté ? Ce sont des pantins mécanique, elles finissent par tomber.
Il va sans dire que je suis CHOQUE par le comportement de la modération ici. Ce n'est pas un modérateur c'est un CHIEN DE GARDE.
CORDIALEMENT.
Vladimimi- Nombre de messages : 21
Age : 30
Date d'inscription : 26/09/2012
Re: Discussions autour de nos textes
Au revoir.Vladimimi a écrit:Vos écrits le forum où la modération est là pour faire chier les auteurs et non pour les aider.
Modération- Nombre de messages : 1362
Age : 18
Date d'inscription : 08/11/2008
Avec le clou des crucifixions, j'écris
Le commentaire de Jano a sa pertinence. Il est évident, que ce je a quelque chose de totalitaire et cruel pour le lecteur, mais j'ose à dire que mon exigence, comme je l'ai rappelé citant Genet, est exigeante, on y vient pas comme au spectacle ou un spectacle de fauves sans pitié pour le public, sans barrière pour l'en séparer. Ca fait très prétentieux et ce n'est pas une façon malhabile de rendre inaudible toute critique. Tout l'inverse, je ne veux pas être critiqué pour une mauvaise raison, parce que j'aurai été mal lu. Ca ne s'adresse pas à tout le monde, ça ne peut pas s'adresser à tout le monde, et non exclusivement par l'intimité du sujet.
Ainsi, si le début, vraiment, comme moi même je l'ai fait remarquer se perd trop dans son narcissisme, s'amuse à mettre des miroirs de mots en face d'autres miroirs, et à compter le nombre de reflet ainsi vus, le reste désespère autrement. Prend sa lumière ailleurs qu'aux images fictives. J'essaye d'ancrer le soleil dans mes mots, d'en faire une porte, un lieu, un seuil à franchir. Il y a une vraie tentative littéraire, comme je l'ai dit avec ma façon "d'entailler le texte".
Je ne dis pas que j'y parviens ou que je rends bien, je dis qu'il ne faut pas prendre ce texte pour n'importe quoi, ainsi on ne va pas vraiment avec les mêmes yeux au Quai Branly qu'au Louvre, ni même au Grand Palais qu'au Musée d'Orsay. On ne saurait reprocher à Caillebotte de n'avoir peint un grand drame, mais le banal formidable ; on ne saurait me reprocher de ne pas avoir une narration linéaire. De vouloir m'approcher au plus près des "nerfs", traduire des ondes cérébrales, les mouvements sismiques d'une pensée; Traduire comment ça se passe quand on est dans le huis clos de soi même. Mon écriture a toujours été une tentative de faire une littérature, et si très souvent elle a ressemblé à ces nombreux jardins plein de fleurs odorantes, fragiles mais inutiles, j'y ai mis autre chose, je les ai faites poussées dans ma boue intérieure.
Je veux dire, vraiment, il ne faut pas lire ça comme une histoire, et je voudrais qu'on ait, au moins pour ces cinq premières pages la même patience que lorsqu'on sait que "ah c'est Genet", je ne dis pas que c'est aussi bien, je ne dis même pas que c'est bien, je dis qu'il y a quelque chose qui s'essaie, un objet étrange et assez neuf pour qu'on ne se trompe pas d'angle d'approche. Ne le prenez pas s'il vous plaît par sa face banale et déformée je veux dire : sa langue; Il y a autre chose.
Et j'aurais aimé des commentaires d'autres personnes, ce n'est pas quelque chose que je réclame souvent, j'ai vingt ans je le dis assez, et l'arrogance, et la fierté et les cheveux longs et les crachats et après les crachats la bouche sèche qui vont avec, mais qu'Easter, par exemple, ou Lu-k(enfin même si lu-k m'a déjà reproché de ne faire une poésie qui n'est que poésie, et c'est à ça que je prétends, une sorte de globalité du langage, de confusion de tout récit, personnages, membres dans une seule boule très parfumée), des gens dont le jugement me concernerait, parce que mon texte s'adresse davantage à eux qu'à vous par exemple Jano.
Je ne raconte pas d'histoire, je laisse ça aux projectionnistes de cinéma et aux feux des conteurs.
Ainsi, si le début, vraiment, comme moi même je l'ai fait remarquer se perd trop dans son narcissisme, s'amuse à mettre des miroirs de mots en face d'autres miroirs, et à compter le nombre de reflet ainsi vus, le reste désespère autrement. Prend sa lumière ailleurs qu'aux images fictives. J'essaye d'ancrer le soleil dans mes mots, d'en faire une porte, un lieu, un seuil à franchir. Il y a une vraie tentative littéraire, comme je l'ai dit avec ma façon "d'entailler le texte".
Je ne dis pas que j'y parviens ou que je rends bien, je dis qu'il ne faut pas prendre ce texte pour n'importe quoi, ainsi on ne va pas vraiment avec les mêmes yeux au Quai Branly qu'au Louvre, ni même au Grand Palais qu'au Musée d'Orsay. On ne saurait reprocher à Caillebotte de n'avoir peint un grand drame, mais le banal formidable ; on ne saurait me reprocher de ne pas avoir une narration linéaire. De vouloir m'approcher au plus près des "nerfs", traduire des ondes cérébrales, les mouvements sismiques d'une pensée; Traduire comment ça se passe quand on est dans le huis clos de soi même. Mon écriture a toujours été une tentative de faire une littérature, et si très souvent elle a ressemblé à ces nombreux jardins plein de fleurs odorantes, fragiles mais inutiles, j'y ai mis autre chose, je les ai faites poussées dans ma boue intérieure.
Je veux dire, vraiment, il ne faut pas lire ça comme une histoire, et je voudrais qu'on ait, au moins pour ces cinq premières pages la même patience que lorsqu'on sait que "ah c'est Genet", je ne dis pas que c'est aussi bien, je ne dis même pas que c'est bien, je dis qu'il y a quelque chose qui s'essaie, un objet étrange et assez neuf pour qu'on ne se trompe pas d'angle d'approche. Ne le prenez pas s'il vous plaît par sa face banale et déformée je veux dire : sa langue; Il y a autre chose.
Et j'aurais aimé des commentaires d'autres personnes, ce n'est pas quelque chose que je réclame souvent, j'ai vingt ans je le dis assez, et l'arrogance, et la fierté et les cheveux longs et les crachats et après les crachats la bouche sèche qui vont avec, mais qu'Easter, par exemple, ou Lu-k(enfin même si lu-k m'a déjà reproché de ne faire une poésie qui n'est que poésie, et c'est à ça que je prétends, une sorte de globalité du langage, de confusion de tout récit, personnages, membres dans une seule boule très parfumée), des gens dont le jugement me concernerait, parce que mon texte s'adresse davantage à eux qu'à vous par exemple Jano.
Je ne raconte pas d'histoire, je laisse ça aux projectionnistes de cinéma et aux feux des conteurs.
Avec le clou etc.
(et avec ces précisions, ces précautions, aussi évidemment ceux qui me lisent je pense à Colline Dé, Janis, d'autres...je veux dire vraiment savoir ce que ça fait non pas ce que je vois comme une transmutation, mais un agrandissement, un éclaircissement, voilà c'est défriché et j'ai fait cette jungle)
Avec le clou etc.
boudi j'aurai pas mal de choses à dire, ce serait long et laborieux par contre
Invité- Invité
Avec le clou etc.
D'accord Boudi, je me retire et laisse la place à d'autres. Pas de rancoeur, je vous comprends tout à fait. La diversité des points de vue est indispensable pour progresser et beaucoup ici ont de bonnes analyses.
Par contre ne me cataloguez pas trop vite, je ne suis pas que conteur et j'ai aussi mes moments d'introspection, voire de déraison. Si vous avez le temps lisez ceci par exemple :
Zig Zag
Par contre ne me cataloguez pas trop vite, je ne suis pas que conteur et j'ai aussi mes moments d'introspection, voire de déraison. Si vous avez le temps lisez ceci par exemple :
Zig Zag
Jano- Nombre de messages : 1000
Age : 55
Date d'inscription : 06/01/2009
pour Boudi
"De vouloir m'approcher au plus près des "nerfs", traduire des ondes cérébrales, les mouvements sismiques d'une pensée; Traduire comment ça se passe quand on est dans le huis clos de soi même. Mon écriture a toujours été une tentative de faire une littérature, et si très souvent elle a ressemblé à ces nombreux jardins plein de fleurs odorantes, fragiles mais inutiles, j'y ai mis autre chose, je les ai faites poussées dans ma boue intérieure."
quand tu parles comme ça je te comprends très bien, je trouve ta recherche légitime et ça c'est indiscutable.
il me semble que c'est juste la galère, quand on part pour un long voyage, d'emmener toute sa maison sur son dos...
^)^
quand tu parles comme ça je te comprends très bien, je trouve ta recherche légitime et ça c'est indiscutable.
il me semble que c'est juste la galère, quand on part pour un long voyage, d'emmener toute sa maison sur son dos...
^)^
Invité- Invité
encore Boudi!
j'ai oublié de me dénoncer: je suis sans doute la première à ne pas savoir élaguer...ça c'est sûr!
(c'est plus facile de lire et dire, que de faire...!)
(c'est plus facile de lire et dire, que de faire...!)
Invité- Invité
Après
Merci Yoni pour ton commentaire, tes compliments ! Les textes que j'écris vieillissent très rapidement à mes yeux ; celui-là, j'en ai honte, déjà, je lui trouve beaucoup de défauts. Il n'a de plus jamais eu d'intérêt, ce n'est pas un vrai texte, si tu vois ce que je veux dire. A fortiori pour Un chien mort sur la route, encore plus vieux, et surtout qui a encore moins de prétention puisqu'il est écrit en vers, forme que je ne maîtrise pas et que je n'aime pas à laquelle je me suis essayé sans trop de sérieux.
Enfin bref, ce n'est pas une justification. Juste : si tu veux lire quelque chose de moi qui a potentiellement (je dis bien potentiellement) de la valeur, il ne faut pas regarder de ce côté-ci !
Enfin bref, ce n'est pas une justification. Juste : si tu veux lire quelque chose de moi qui a potentiellement (je dis bien potentiellement) de la valeur, il ne faut pas regarder de ce côté-ci !
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
Merci pour vos commentaires !
Et finalement, j'en retiens ceci de très essentiel, moins que m'être regardé écrire je me suis trop souvent laissé aller à écrire. Je n'ai pas interrompu, modulé, ménagé. C'est un défaut quasi consubstantiel de mon écriture, j'ai l'habitude pour trouver de jolies images, d'en essayer plusieurs, jusqu'à ce que "ça marche". Ici, puisqu'il s'agit d'autre chose, ça ne marche pas, et la jolie image, le joli propos plutôt qu'être mis en valeur par les perles moins bien façonnées sont engloutis par le nombre. Je ne vais pas revenir sur mes "principes d'écriture" mais découper dans ce texte les nombreuses redites, ces accumulations. Colline Dé le passage dont tu estimes qu'il devrait être élagué, et bien, je le crois aussi, mais à soi même on se ment toujours, on se dit "oh ce n'est pas si terrible". Mais oui, ça bavarde, et ça se répète. Tourner autour d'un même point, je l'ai dit, ne me gêne pas, à condition d'en changer l'approche, de changer son pas, sa voix. Là je me répète, pour redire à peine changé, à peine incliné, sur le même ton, une chose semblable. Alors je vais faire "le faucheur ivre de faucher qu'on voit ravager sa vie et son champ".
Evidemment, comme on peut s'en douter, toutes vos remarques je les soupçonnais déjà, disons il y a du travail.
Petite précision, quand je parle de Genet, ce n'est pas pour me comparer à lui, mais comme après Molière l'on put sans se justifier écrire des comédies, comme après Mallarmé, Apollinaire et les surréalistes sans plus se justifier l'on pouvait rédiger des vers libres, depuis Genet, l'on peut sans se justifier court-circuiter la narration. On peut avoir cette langue de tracas, de fatras. C'est tout ce que je veux dire par là, Genet a libéré une langue que sans lui même probablement aurais-je employé, seulement, je n'ai pas à jouer désormais la "controverse" stylistique, l'Histoire l'a retenu, alors elle lui a donné raison. Je me reconnais moins que je ne me revendique par ailleurs...
Et finalement, j'en retiens ceci de très essentiel, moins que m'être regardé écrire je me suis trop souvent laissé aller à écrire. Je n'ai pas interrompu, modulé, ménagé. C'est un défaut quasi consubstantiel de mon écriture, j'ai l'habitude pour trouver de jolies images, d'en essayer plusieurs, jusqu'à ce que "ça marche". Ici, puisqu'il s'agit d'autre chose, ça ne marche pas, et la jolie image, le joli propos plutôt qu'être mis en valeur par les perles moins bien façonnées sont engloutis par le nombre. Je ne vais pas revenir sur mes "principes d'écriture" mais découper dans ce texte les nombreuses redites, ces accumulations. Colline Dé le passage dont tu estimes qu'il devrait être élagué, et bien, je le crois aussi, mais à soi même on se ment toujours, on se dit "oh ce n'est pas si terrible". Mais oui, ça bavarde, et ça se répète. Tourner autour d'un même point, je l'ai dit, ne me gêne pas, à condition d'en changer l'approche, de changer son pas, sa voix. Là je me répète, pour redire à peine changé, à peine incliné, sur le même ton, une chose semblable. Alors je vais faire "le faucheur ivre de faucher qu'on voit ravager sa vie et son champ".
Evidemment, comme on peut s'en douter, toutes vos remarques je les soupçonnais déjà, disons il y a du travail.
Petite précision, quand je parle de Genet, ce n'est pas pour me comparer à lui, mais comme après Molière l'on put sans se justifier écrire des comédies, comme après Mallarmé, Apollinaire et les surréalistes sans plus se justifier l'on pouvait rédiger des vers libres, depuis Genet, l'on peut sans se justifier court-circuiter la narration. On peut avoir cette langue de tracas, de fatras. C'est tout ce que je veux dire par là, Genet a libéré une langue que sans lui même probablement aurais-je employé, seulement, je n'ai pas à jouer désormais la "controverse" stylistique, l'Histoire l'a retenu, alors elle lui a donné raison. Je me reconnais moins que je ne me revendique par ailleurs...
Les bienfaits de la pub
Pardon Boudi, pour mes historiettes gentillettes. Nous ne jouons pas dans la même cour, et je viens casser tes belles envolées... :-)
@ Easter : Ce texte m'a été inspiré en partie par une histoire vécue où j'ai vu, lors d'une représentation de la Traviata, le public s'animer en entendant le chœur des bohémiennes. Et quelqu'un a dit à côté de moi : - Mais... ce n'est pas Vania pocket ?
https://www.youtube.com/watch?v=aG8gqxd5Xcs
S'en est suivi un fou-rire terrible de tous ceux qui dans le public, avaient entendu.
@ Easter : Ce texte m'a été inspiré en partie par une histoire vécue où j'ai vu, lors d'une représentation de la Traviata, le public s'animer en entendant le chœur des bohémiennes. Et quelqu'un a dit à côté de moi : - Mais... ce n'est pas Vania pocket ?
https://www.youtube.com/watch?v=aG8gqxd5Xcs
S'en est suivi un fou-rire terrible de tous ceux qui dans le public, avaient entendu.
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
(peut-être je donne cette impression de moi très sérieuse et grave, mais ce n'est pas le cas, et surtout pas en façon d'écriture, c'est la portion congrue ça. Y mettre de grands mots aux dents méchantes comme "littérature" "cruelle" ou tous les autres, c'est en vérité une façon de le tourner en dérision pas de faire pompier. C'est pour ça que je suis triste que mon bon ami dans le monde des vraies choses -Louis- se soit fait bannir d'ici...)
Re: Discussions autour de nos textes
(Boudi non, tu ne donnes pas du tout cette impression !
ni en façon d'écriture, ni de quelque façon !
Tu donnes plutôt l'impression de t'amuser, et souvent avec panache)
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Re: Discussions autour de nos textes
(de t'amuser sérieusement, pourrait-on dire)
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Re: Discussions autour de nos textes
Moi aussi, je regrette le bannissement de Louis! dont le talent manque me cruellement !
Invité- Invité
Les bienfaits de la pub
@ Coline Dé
Merci de m'avoir lue et commentée.
J'adore aussi l'opéra, et la spectatrice qui compte les spectateurs à lunettes, ce n'est pas moi ! ( je ne dirai plus je dans mes textes ! :-))
J'ai été maladroite dans la construction de ma phrase ( je m'en suis aperçue à la relecture) car je sais que la contralto a une voix plus grave que la soprano, c'est d'ailleurs la tessiture que je préfère et je regrette que dans le répertoire lyrique on la rencontre si peu.
Quant au chœur des bohémiennes, il a été utilisé par la marque citée, il y a quelques années.
Tout comme toi, j'enrage quand je vois la pub dévoyer de la grande musique pour servir des produits de consommation. Mais, ne soyons pas snob, si c'est accessoirement un moyen de donner accès à la culture à un certain nombre, ce n'est pas si mal.
Tiens, je t'offre une contralto. Ce n'est pas un air d'opéra. Je sais :-)
Et au passage, je te suis reconnaissante une fois encore de m'avoir rappelé le nom de Rokia Traoré ( tu te souviens ? ) qui m'avait échappé.
https://www.youtube.com/watch?v=gIdNBgyC88o
ps : Je ne déteste pas le violon au point où je l'ai mentionné dans le texte. Ce n'est jamais qu'un texte de fiction ! Mais il est vrai que je lui préfère l'alto. Et le papa violonneux, c'est du vrai.
Et le Willy, c'est du faux :-)
Merci de m'avoir lue et commentée.
J'adore aussi l'opéra, et la spectatrice qui compte les spectateurs à lunettes, ce n'est pas moi ! ( je ne dirai plus je dans mes textes ! :-))
J'ai été maladroite dans la construction de ma phrase ( je m'en suis aperçue à la relecture) car je sais que la contralto a une voix plus grave que la soprano, c'est d'ailleurs la tessiture que je préfère et je regrette que dans le répertoire lyrique on la rencontre si peu.
Quant au chœur des bohémiennes, il a été utilisé par la marque citée, il y a quelques années.
Tout comme toi, j'enrage quand je vois la pub dévoyer de la grande musique pour servir des produits de consommation. Mais, ne soyons pas snob, si c'est accessoirement un moyen de donner accès à la culture à un certain nombre, ce n'est pas si mal.
Tiens, je t'offre une contralto. Ce n'est pas un air d'opéra. Je sais :-)
Et au passage, je te suis reconnaissante une fois encore de m'avoir rappelé le nom de Rokia Traoré ( tu te souviens ? ) qui m'avait échappé.
https://www.youtube.com/watch?v=gIdNBgyC88o
ps : Je ne déteste pas le violon au point où je l'ai mentionné dans le texte. Ce n'est jamais qu'un texte de fiction ! Mais il est vrai que je lui préfère l'alto. Et le papa violonneux, c'est du vrai.
Et le Willy, c'est du faux :-)
Invité- Invité
La fête foraine
Juste pour vous remercier amis commentateurs. Et pour dire que les remarques (sur le temps choisi) de Janis et Narbah me semblent très pertinentes. Je vais changer tout ça.
Legone- Nombre de messages : 1121
Age : 51
Date d'inscription : 02/07/2012
Les bienfaits de la pub
Merci, Embellie, pour ta lecture bienveillante.
Pour Narbah : Ridi, Pagliaccio ! :-)))))
Ce que je traduirais par : Ris donc, Paillasse ! ( ce n'est pas une insulte ! c'est son nom. )
https://www.youtube.com/watch?v=XfRXpLp_QUc&feature=related
Ps : je n'aime pas Alagna
Pour Narbah : Ridi, Pagliaccio ! :-)))))
Ce que je traduirais par : Ris donc, Paillasse ! ( ce n'est pas une insulte ! c'est son nom. )
https://www.youtube.com/watch?v=XfRXpLp_QUc&feature=related
Ps : je n'aime pas Alagna
Invité- Invité
pour lu-k
Pour toi juste une petite anecdote:
Lorsque j'étais dans ma prime enfance, je faisais toutes sortes de constructions avec ce qui me tombait sous la main, 'vec des lego par exemple, ou des bouts de bois ou des bouchons en plastique enfin bref: je créais. Pour moi. Des structures branlantes et biscornues. De l'abstrait ce qui est normal puisque, dans l'esprit d'un tout petit ça part dans tous les sens. Ca n'est qu'après qu'on apprend à structurer ses pensées.
Le temps passe, je grandis, j'oublie de construire, je joue à d'autres jeux, et un jour, ma mère me dit qu'elle aimait beaucoup mes trucs. Ha! Pas peu fier je suis ! et me voici qui, pour elle, décide de m'y remettre. Je construit avec ce que je crois être le meilleur de moi-même. Puis j'ai fini puis je vais vers elle et la tire par la manche jusqu'à ma Grande Oeuvre.
Tu m'auras sans doute vu venir de loin. Et en effet, je pense n'avoir jamais entendu de "pasmalsansplus" aussi douloureux. hein !?? What's the fuck !?? Eh oui... Et elle ajoute: j'aime moins parce que tu as cherché à me plaire.
Dur...
Très dur...
Et surtout, incompréhensible... jusqu'à il y a quelques semaines, où je crois avoir compris ces mots. je pense donc que tout cela est une question de rythme. Ainsi, lorsque j'étais petit, je créais pour moi, sans me soucier du regard des autres, je créais "purement", sans y chercher de sens. Ma mère,, lorsqu'elle me voyait faire, se calquait sur mon rythme. Or, plus vieux je décidai de créer pour elle, c'est-à-dire de coller à son rythme, à son regard,, à la l'idée que je me faisais de sa vision u beau
Et, forcément, comme je n'étais pas elle je me plantais.
D'où un rapport au beau problématique. Et toujours cette tentative de coller au désir de l'autre, en oubliant que, parfois, même si on déconne, même si on est imbuvable, les amis les vrais se réfèrent à l'image globale de soi.
En poésie c'est un peu pareil, et je pense que tu es dans cette phase où, conscient de ton talent, tu cherches à en mettre "plein les yeux", ça se voit notamment dans la multiplication des adjectifs et dans une certaine superposition d'image choc. J'ai l'impression que tu "tires le lecteur à toi",, alors qu'il te suffit de le laisser venir, et ainsi de lui permettre de s'apprivoiser tout seul.
Le talent tu l'as. La maîtrise aussi. mais peut-être que c'est ça, l'art: retrouver, par le travail, la spontanéïté première. Pas étonnant que nos premiers souvenirs soient d'odeurs, d'ambiance, de couleurs...
Enfin, une chose que je trouve très intéressante: "inventer", en archéologie, veut dire "trouver".
What else?
Lorsque j'étais dans ma prime enfance, je faisais toutes sortes de constructions avec ce qui me tombait sous la main, 'vec des lego par exemple, ou des bouts de bois ou des bouchons en plastique enfin bref: je créais. Pour moi. Des structures branlantes et biscornues. De l'abstrait ce qui est normal puisque, dans l'esprit d'un tout petit ça part dans tous les sens. Ca n'est qu'après qu'on apprend à structurer ses pensées.
Le temps passe, je grandis, j'oublie de construire, je joue à d'autres jeux, et un jour, ma mère me dit qu'elle aimait beaucoup mes trucs. Ha! Pas peu fier je suis ! et me voici qui, pour elle, décide de m'y remettre. Je construit avec ce que je crois être le meilleur de moi-même. Puis j'ai fini puis je vais vers elle et la tire par la manche jusqu'à ma Grande Oeuvre.
Tu m'auras sans doute vu venir de loin. Et en effet, je pense n'avoir jamais entendu de "pasmalsansplus" aussi douloureux. hein !?? What's the fuck !?? Eh oui... Et elle ajoute: j'aime moins parce que tu as cherché à me plaire.
Dur...
Très dur...
Et surtout, incompréhensible... jusqu'à il y a quelques semaines, où je crois avoir compris ces mots. je pense donc que tout cela est une question de rythme. Ainsi, lorsque j'étais petit, je créais pour moi, sans me soucier du regard des autres, je créais "purement", sans y chercher de sens. Ma mère,, lorsqu'elle me voyait faire, se calquait sur mon rythme. Or, plus vieux je décidai de créer pour elle, c'est-à-dire de coller à son rythme, à son regard,, à la l'idée que je me faisais de sa vision u beau
Et, forcément, comme je n'étais pas elle je me plantais.
D'où un rapport au beau problématique. Et toujours cette tentative de coller au désir de l'autre, en oubliant que, parfois, même si on déconne, même si on est imbuvable, les amis les vrais se réfèrent à l'image globale de soi.
En poésie c'est un peu pareil, et je pense que tu es dans cette phase où, conscient de ton talent, tu cherches à en mettre "plein les yeux", ça se voit notamment dans la multiplication des adjectifs et dans une certaine superposition d'image choc. J'ai l'impression que tu "tires le lecteur à toi",, alors qu'il te suffit de le laisser venir, et ainsi de lui permettre de s'apprivoiser tout seul.
Le talent tu l'as. La maîtrise aussi. mais peut-être que c'est ça, l'art: retrouver, par le travail, la spontanéïté première. Pas étonnant que nos premiers souvenirs soient d'odeurs, d'ambiance, de couleurs...
Enfin, une chose que je trouve très intéressante: "inventer", en archéologie, veut dire "trouver".
What else?
Re: Discussions autour de nos textes
Ah! paillasse ! là je me reconnais bien ! Quand à Alagna, tu as beau dire, ce n'est pas le genre à laisser une pauvre fille sur sa faim (rire).Iris a écrit:Merci, Embellie, pour ta lecture bienveillante.
Pour Narbah : Ridi, Pagliaccio ! :-)))))
Ce que je traduirais par : Ris donc, Paillasse ! ( ce n'est pas une insulte ! c'est son nom. )
https://www.youtube.com/watch?v=XfRXpLp_QUc&feature=related
Ps : je n'aime pas Alagna
Euh ! pour ne pas rester incompris avec mon humour spécieux : j'aime bien la musique lyrique quand je l'aime, c'est à dire pas systématiquement ; et ni plus ni moins que d'autres styles musicaux, dont le jazz, la pop, la musique ancienne (j'aime spécifiquement l'opéra baroque). Ça pour ne pas rester seulement le paillasse de service.
Dis à ta copine (celle qui dit “je“ dans le texte) que la prochaine fois elle s'intéresse à un travailleur du bâtiment. Elle aura moins de déceptions (spectacle facile, restaurant copieux, lit avec de bons ressorts…)
Invité- Invité
Yoni
Yoni, j'entends tout ce que tu me dis, je t'avoue sans orgueil blessé que j'y songe depuis vraiment longtemps déjà. Effectivement, pendant longtemps je tombais totalement dans cet écueil-là, bien courant : celui de la mise en scène, de l'affectation, de la conscience perverse du regard de l'autre qui engage la dramatisation de soi, les procédés de l'écriture qui se regarde elle-même, qui cherche l'épate par la formule au détriment de l'authenticité. Je me suis bien souvent trouvé théâtral jusqu'à devenir insincère, virtuose dans la forme jusqu'à perdre l'épure. J'ai énormément travaillé à ce niveau-là et c'est encore un travail de tous les instants, qui nécessite une grande concentration introspective pour toucher le véritable ressenti, celui qui ne se pavane pas, trouver les mots vrais, en somme. Je crois avoir beaucoup progressé à ce niveau (même s'il me reste encore beaucoup de travail, donc), je crois avoir justement dépassé cette "phase" dont tu parles. Et c'est pour ces mêmes raisons que je t'invite à lire Chomina, forme la plus actuelle de mon écriture, forme qui peut-être est parvenue ne serait-ce qu'un peu à ne pas se pavaner. L'ampleur est toujours là (avec moins d'adjectifs). Mais l'ampleur n'est pas nécessairement la grandiloquence, le foisonnement peut trouver l'épure (c'est mon principal boulot). Trouver les mots les plus justes (ce ne sont pas pour moi les plus "spontanés", car la spontanéité commande aussi beaucoup de bêtises qui appartiennent au préconçu de la pensée, trouver la justesse de la pensée demande une profonde investigation comme je disais : souvent, les pensées et donc les mots qui nous viennent immédiatement sont des facilités de l'esprit, des lieux communs) ne veut pas nécessairement dire en utiliser le moins possible (c'est aussi un cliché, une école d'écriture qu'on oppose sans nuances à la phrase longue et baroque, comme s'il existait d'une part la sagesse de la simplicité et de l'élagage, de l'autre l'emphase enflammée et verbeuse de la jeunesse). Bon, ce que je veux dire sans avoir l'impression de me défendre ou de refuser la critique (je suis orgueilleux, mais j'accepte vraiment les critiques ; détrompez-moi, les autres, si jamais, parce que dans ce cas je me mens à moi-même constamment et mon écriture serait aussi alors un énorme mensonge), c'est que j'ai conscience de ce grand défaut, et je crois l'avoir relativement dépassé depuis quelque temps déjà (je me base aussi sur les retours des lecteurs auxquels je fais confiance et qui ne me font plus ce genre de reproches). Vraiment, j'aimerais que tu lises ce que j'ai pu écrire le plus récemment et que tu me dises si tu trouves toujours que je "cherche à en mettre plein les yeux". Si c'est déjà fait, bah MERDE !!
Bon je cesse parce que je suis en cours (désolé pour l'expression maladroite). Mais ça c'est la fausse raison : en ce moment je viens sur le forum seulement pour parler de moi, et ça me fait me poser plein de questions sur mon égoïsme et mon narcissisme dont certains m'accusent depuis que je suis tout petit (et aujourd'hui je tends véritablement à penser qu'ils ont raison, c'est très douloureux)
Bon je cesse parce que je suis en cours (désolé pour l'expression maladroite). Mais ça c'est la fausse raison : en ce moment je viens sur le forum seulement pour parler de moi, et ça me fait me poser plein de questions sur mon égoïsme et mon narcissisme dont certains m'accusent depuis que je suis tout petit (et aujourd'hui je tends véritablement à penser qu'ils ont raison, c'est très douloureux)
Invité- Invité
à chonsdevie, et à Iris et Narbah
Merci à toi chonsdevie, de suivre mes conseils (ahah quand je relit mon commentaire, j'ai l'impression d'avoir beaucoup d'ancienneté) tu apprends vite ! Bref lis-moi, moi qui sent chaque jour l'art monter et se préciser !
Merci à toi Iris pour ton commentaire, et en effet tu as raison.
Merci à Narbah aussi pour ta lecture. Je ne connaissais pas cette divinité, et donc je ne pensais pas à elle, mais il est bon que chacun y donne son image personnel, je voulais simplement (me) montrer (à moi-même) la force des impressions poétiques dont je suis parfois subjugué (et ma capacité à les décrire formellement). J'écrit toujours par impulsion, et c'est quand je ne réfléchis pas trop que j'arrive le mieux.
Par contre ce que je trouve bizarre c'est que j'ai voulu faire "mourir" -si elle meurt, on ne sait pas- mon personnage. Il faudrait une analyse psychanalytique de mes textes pour comprendre certaines choses je pense ahah !
Mon prochain texte sera du même ordre (en beaucoup plus sombre), il est déjà prêt.
Narbah, qu'appelles-tu "incongruités" ?
autre choses, avez vous des conseils pour parer les répétiions de tes tes tes ces ces ses ses...
Merci à toi Iris pour ton commentaire, et en effet tu as raison.
Merci à Narbah aussi pour ta lecture. Je ne connaissais pas cette divinité, et donc je ne pensais pas à elle, mais il est bon que chacun y donne son image personnel, je voulais simplement (me) montrer (à moi-même) la force des impressions poétiques dont je suis parfois subjugué (et ma capacité à les décrire formellement). J'écrit toujours par impulsion, et c'est quand je ne réfléchis pas trop que j'arrive le mieux.
Par contre ce que je trouve bizarre c'est que j'ai voulu faire "mourir" -si elle meurt, on ne sait pas- mon personnage. Il faudrait une analyse psychanalytique de mes textes pour comprendre certaines choses je pense ahah !
Mon prochain texte sera du même ordre (en beaucoup plus sombre), il est déjà prêt.
Narbah, qu'appelles-tu "incongruités" ?
autre choses, avez vous des conseils pour parer les répétiions de tes tes tes ces ces ses ses...
humpf- Nombre de messages : 247
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Date d'inscription : 25/09/2012
Lu-k et Yoni
Je vous aime tous les deux, vos talents sont très différents mais procèdent d'une même sincérité et la sincérité n'implique pas qu'on renonce à la "mise en scène" mais seulement que la mise en scène ne soit pas une fin en soi, qu'elle ne soit là que pour servir une émotion, une vision de la vie, une idée.
Chacun à votre façon, vous avez cédé à un peu d'"épate" à un moment, (c'est le péché mignon !) Yoni dans la provoc, Lu-k dans la préciosité (ce n'est pas tout à fait le bon mot, mais disons comme ça pour faire vite) mais l'un comme l'autre vous avez progressé énormément , affiné, gardé ce qui est le nerf de votre écriture personnelle, et c'est beau ! Dans des directions opposées, mais tu as raison, Lu-k, il n'y a pas "la simplicité" contre " la complexité", d'ailleurs la terre est ronde !
Vous existez, c'est un bonheur ! On n'est pas égoïste quand on donne du bonheur aux autres - mais on ne peut pas en donner à tout le monde !
Je vous rappelle la définition d'un égoïste : " un égoïste, c'est quelqu'un qui ne pense pas à moi !"
Bise à tous les deux.
Chacun à votre façon, vous avez cédé à un peu d'"épate" à un moment, (c'est le péché mignon !) Yoni dans la provoc, Lu-k dans la préciosité (ce n'est pas tout à fait le bon mot, mais disons comme ça pour faire vite) mais l'un comme l'autre vous avez progressé énormément , affiné, gardé ce qui est le nerf de votre écriture personnelle, et c'est beau ! Dans des directions opposées, mais tu as raison, Lu-k, il n'y a pas "la simplicité" contre " la complexité", d'ailleurs la terre est ronde !
Vous existez, c'est un bonheur ! On n'est pas égoïste quand on donne du bonheur aux autres - mais on ne peut pas en donner à tout le monde !
Je vous rappelle la définition d'un égoïste : " un égoïste, c'est quelqu'un qui ne pense pas à moi !"
Bise à tous les deux.
Invité- Invité
à Yoni et lu-k à propos de la discussion en cours
Oui..."j'aime moins parce que tu as cherché à me plaire."
plus vieux je décidai de créer pour elle, c'est-à-dire de coller à son rythme, à son regard,, à la l'idée que je me faisais de sa vision u beau
Dans un tout autre contexte, c'est la principale (et l'une des seules...) chose que l'on nous apprend lorsqu'on arrive en école d'art
Pour Humpf et ses visions extatiques
Incongruités ? par exemple tout ce qu'a relevé Iris.humpf a écrit:(…)
Merci à Narbah aussi pour ta lecture. Je ne connaissais pas cette divinité, et donc je ne pensais pas à elle, mais il est bon que chacun y donne son image personnel, je voulais simplement (me) montrer (à moi-même) la force des impressions poétiques dont je suis parfois subjugué (et ma capacité à les décrire formellement). J'écrit toujours par impulsion, et c'est quand je ne réfléchis pas trop que j'arrive le mieux.
Par contre ce que je trouve bizarre c'est que j'ai voulu faire "mourir" -si elle meurt, on ne sait pas- mon personnage. Il faudrait une analyse psychanalytique de mes textes pour comprendre certaines choses je pense ahah !
Mon prochain texte sera du même ordre (en beaucoup plus sombre), il est déjà prêt.
Narbah, qu'appelles-tu "incongruités" ?
autre choses, avez vous des conseils pour parer les répétiions de tes tes tes ces ces ses ses...
Pour les répétitions, on s'en fout à mon avis. L'affaire c'est le rythme des phrases. Les répétitions, si elles sont au service de la pensée n'ont aucune importance. Le problème est ailleurs, dans le rythme.
Laisse toi “subjuguer par tes impressions“ et pense comme Verlaine “De la musique avant toutes chose…“ et comme tu dis “réfléchis pas trop“. ÉCRIS. On verra plus tard.
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
Ah pardon, à Yoni et Lu-K, je ne sais pas à propos de quel texte, plutôt à propos de la discussion en cours :0)Lyra will a écrit:Oui..."j'aime moins parce que tu as cherché à me plaire."
plus vieux je décidai de créer pour elle, c'est-à-dire de coller à son rythme, à son regard,, à la l'idée que je me faisais de sa vision u beau
Dans un tout autre contexte, c'est la principale (et l'une des seules...) chose que l'on nous apprend lorsqu'on arrive en école d'art
Lyra, quel titre et à qui ?
Merci.
La Modération
C'est bien noté, merci.
La Modération
Dans un éclair
Je remercie très fort Louis, ne l'ayant pas fait la fois précédente, pour ses lectures passionnées et passionnantes.
Invité- Invité
A la modération
Qu'y a t'il avec mon texte ?
Merci de contacter la Modération via son mail.
La Modération
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La Modération
Miranda-Baasama- Nombre de messages : 21
Age : 78
Date d'inscription : 25/10/2012
Re: Discussions autour de nos textes
cela a éveillé ma curiosité.Miranda-Baasama a écrit:Qu'y a t'il avec mon texte ?
Merci de contacter la Modération via son mail.
La Modération
Chonsdevie- Nombre de messages : 124
Age : 27
Date d'inscription : 12/10/2012
Re: Discussions autour de nos textes
Je pense que c'est le côté “apologie“ de la drogue et de l'amour libre qui doit déranger un peu. Personnellement, je trouve un côté naïf là dedans que j'ai tendance à aimer. Toutefois, la grosse morale de la fin —tout rentre dans l'ordre quand on devient grande— me semble une fumisterie. Mais c'est peut être du vécu dans ton cas. Il est vrais que les drogués ne meurent pas absolument tous d'overdose et que les partisans de l'amour libre sans entraves (ni capote évidemment) ne sont pas tous atteint par le sida. En tous cas, je ne comprends pas pourquoi ça bloque avant même commentaires. A moins que tu ne sois le fantôme de quelqu'un déguisée pour halloween : oui, c'est peut-être ça ! Comment n'y avais-je pas pensé ? Si c'est ça : salut la vieille clopine !Chonsdevie a écrit:cela a éveillé ma curiosité.Miranda-Baasama a écrit:Qu'y a t'il avec mon texte ?
Merci de contacter la Modération via son mail.
La Modération
< Cette demande de la Modération n'a strictement RIEN à voir avec le contenu du texte de l'auteur.
Prière d'éviter d'échafauder des hypothèses farfelues sur un point qui ne regarde que l'auteur et l'administration du site, merci.
La Modération >
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Invité- Invité
A Jano
Je ne me suis pas moquée de votre silure dans mon commentaire, je me suis amusée. J'ai tablé sur votre sens de l'humour, et voyant votre signe : :-), je pense que vous n'êtes pas fâché. Si je me trompe, excusez-moi ! Mais vraiment, mon intention n'était pas de vous être désagréable.
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
Il n'y a pas de problème Iris, au contraire, ça m'a bien plu de revoir le silure où on ne l'attend pas.
Jano- Nombre de messages : 1000
Age : 55
Date d'inscription : 06/01/2009
Re: Discussions autour de nos textes
Je ne viens pas dire cela pour ramener des commentaires, mais j'aimerais savoir pourquoi la suite de mon texte passe aussi inaperçu, je pense avoir déçu un petit peu, j'essaierai de faire mieux la prochaine fois.
Narbah: Tu as sans doute raison mais je ne voyais pas ça comme ça, m'enfin bon, je vais cesser de me mêler de ce qui ne me regarde pas.
Narbah: Tu as sans doute raison mais je ne voyais pas ça comme ça, m'enfin bon, je vais cesser de me mêler de ce qui ne me regarde pas.
Chonsdevie- Nombre de messages : 124
Age : 27
Date d'inscription : 12/10/2012
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