Réponses aux commentaires "Poésie"

"La bêtise n'est pas mon fort". P.V.

Arielle j'ai omis de te dire que j'aimais bien ton avatar.
Réponse générale pour le sérieux des matures ? Je confirme, plus on avance dans le temps relatif qui use plus sûrement la carne que la cervelle ( enfin en général ) plus on se marre des effets de manches, de slips et autres gorges en avant sur la scène très rudimentaire et menteuse de notre jeu ici.
Et puis de voir mines professorales et tons doctes me sont délice permanent.
Sans doute la seule que je regretterai de mes contemporains.

Ba a écrit: Et puis de voir mines professorales et tons doctes me sont délice permanent.
Sans doute la seule que je regretterai de mes contemporains.

Tu badines? Me sont délices permanentes, mieux accordé.
Pour le fond, à ton avis, j'opine. Che bella comedia!

Arielle,
Merci d'avoir pris la peine de lire mon poème dont tu décrètes...pardon... tu écris que les marches seraient un peu..."convenues". Tu te trompes. Elles ne le sont pas. Absolument pas.

Ba,
A mon avis, tu n'auras rien à regretter puisque tu seras six pieds sous terre et je l'espère inconsciente (quoiqu' il ne soit pas exclus d'être enterrée vive) - à moins que tu ne choisisses l'incinération, mais on dit que c'est douloureux.

Madeline a écrit:Arielle,
Merci d'avoir pris la peine de lire mon poème dont tu décrètes...pardon... tu écris que les marches seraient un peu..."convenues". Tu te trompes. Elles ne le sont pas. Absolument pas.

Désolée d'avoir été si péremptoire dans ma remarque, Madeline. Elle ne visait bien évidemment que la forme de ton poème et non le fond qui laisse à chacun une grande liberté d'interprétation.

A Silène le fauve des entrechats : non, non je maintiens UN DELICE PERMANENT il ne faut pas périr sous plusieurs coups de regrets.
A Madeline : enterrée vive n'est pas pour me déplaire à condition que ce soit entre de bonne planches mais d'ici là j'ai le temps de changer d'avis.

Petre Pan au sujet de La paix

désolé mais je n'ai rien compris à votre poème.
S''il y demeure un sens caché (ou bien pas) je ne l'ai pas saisi.
Ce qui sera peut-être évident pour certains reste énigmatique pour moi.
Je n'ai pas lu énormément de livres dans ma jeune vie et je n'en ai pas honte, je préfère passer pour un imbécile aux yeux de ceux qui ont compris votre poème plutôt que de me faire passer pour quelqu'un que je ne suis pas .

Ce poème est sûrement magnifique mais, encore désolé, je ne l'ai pas compris et il ne me parle pas.

Je n'ai pas l'impression d'avoir mis un sens caché dans ce texte qui n'évoque, pour moi, qu'une possibilité d'envisager un avenir post mortem, rien de plus.
Peut-être que votre jeune vie n'imagine pas une telle perspective. Je ne vois pas pourquoi cela vous ferait passer pour un imbécile. Il y a bien d'autres fantasmes à caresser que celui de la mort et je vous encourage vivement à vous y consacrer ;-)

Peter Pan, bien sûr!

Arielle,
Merci d'avoir précisé. Comme tu le sais, celles qui choisissent de s'exprimer en alexandrins doivent écrire des vers de 12 syllabes, etc. Oui, ceci est une convention...J'aurais été navrée d'être perçue comme...disons banale par l'auteure des "Vrilles de la Nuit". Par ailleurs je tiens à préciser que je suis très loin d'être une inconditionnelle des formes traditionnelles de la poésie...sinon aimerais-je Reverdy, Jouve, Follain...et la plupart des surréalistes, d'André Breton à Joyce Mansour ?
Cordialement.

Ba a écrit:A Silène le fauve des entrechats : non, non je maintiens UN DELICE PERMANENT il ne faut pas périr sous plusieurs coups de regrets

Tout d'abord merci pour cette appellation flatteuse, dont, à la réflexion, je ne sais trop que penser.

Ma la pétité souris elle mé fait rémarqué qué:

Et puis de voir mines professorales et tons doctes me sont délice permanent.
Sans doute la seule que je regretterai de mes contemporains.

ya ouné problème: lé la, il sé rapporte bien à délice, no? Entonces il faut ouné le. Et toc.

Silène 82,
Relever toutes les fautes, c'est un travail de Titan. Ou, pour rester dans la mythologie, une entreprise à la Sisyphe. Je sais que tu sais que personne n'est à l'abri d'en commettre. Tous nous devrions les dénoncer, les nôtres comme celles des autres, mais nous y renonçons assez vite - par paresse - leur nombre accable...Toutefois j'ajoute que sur ce site on se montrerait excessif de parler de pléthore à leur sujet.

Au fils d'Hermès rien n'est impossible. Il est aussi haut qu'un Titan dans la hiérarchie des dieux.

Madeline a écrit:Au fils d'Hermès rien n'est impossible. Il est aussi haut qu'un Titan dans la hiérarchie des dieux.

Je ne serais donc pas fils de mon frère? Moi qui ait toujours appelé papa Pan-Pan, du fait de sa rapidité à dégainer.

Silène,
Il n'est pas exclus, en effet, que tu sois un fils de Pan dont le revolver...à cheveux bruns puis blancs ne fut jamais avare. On prétend même que certaines balles (sans parler du canon) s'introduisirent dans le fondement du jeune Daphnis (ton frère ?) que devaient se disputer Nomia et Chimaeria.... Ces histoires de famille me font bâiller.

Pour le Grand Zut (pour boc21):

Le grand Zut est la voix d'un créateur, qui n'est pas un Dieu mais une présence au-dessus de tout qui regarde sans régir, qui observe sans commander.

L'élastique est l'univers en expansion. Selon les astrophysiciens, il est probable qu'il s'étende à l'infini et donner ainsi une nuit de plus en plus noire et des étoiles de plus en plus loin.
Il est aussi imaginable (moins probable mais pourquoi pas), que, arrivé à un certain point, il commence à se rétracter et donc se réchauffer, donner des nuits jaunes. Réduit à un point, il se re-dilaterait. C'est le trampoline.

Ole Touroque a écrit:Pour le Grand Zut (pour boc21):

Le grand Zut est la voix d'un créateur, qui n'est pas un Dieu mais une présence au-dessus de tout qui regarde sans régir, qui observe sans commander.

L'élastique est l'univers en expansion. Selon les astrophysiciens, il est probable qu'il s'étende à l'infini et donner ainsi une nuit de plus en plus noire et des étoiles de plus en plus loin.
Il est aussi imaginable (moins probable mais pourquoi pas), que, arrivé à un certain point, il commence à se rétracter et donc se réchauffer, donner des nuits jaunes. Réduit à un point, il se re-dilaterait. C'est le trampoline.

Effectivement, on a pas trouvé...
Qu'est-ce que l'on est nuls sur VE !
Merci pour ton explication qui a le mérite de ne pas être nébuleuse;
;o)

Ole,
Pourquoi ne pas avoir fourni cette explication avec ton texte - ou à sa suite ? Par ailleurs, s'agit-il d'un poème ? A tes yeux sans doute puisque tu le publies sous la rubrique "Poésie"...

On aimerait poursuivre ad libidum les pauvres chevaux en quatre, expliquer, justifier, battre le flan mou de nos déconvenues jamais à l'heure, dire à l'autre qui s'échine à trouver au sens interdit la permission d'être :" comment mon ami(e), comment ne vois-tu rien venir sous les papilles effervescentes cette quinte, cette tierce ? mais si, mais, pose le doigt sur le sol et tends l'oreille là...décidément tu es bien sourd...etc. Mais voilà, comme toujours devant les bajoues dans la glace, la terrible lassitude lifte la renoncule de nos crevasses.
A trop vouloir l' essentiel geint.

Bravo, Ba. Magicienne. Quels effets de manches ! Auxquels ne manquent pas les lames.

A Silene82 : j'apprécie vos commentaires, toujours critiques et pertinents ; néanmoins, vous avez déjà évoqué à deux reprises un certain "système" duquel mes textes commenceraient à être prisonniers... j'aimerais juste que vous précisiez un peu votre pensée vis-à-vis de cela afin que je puisse m'améliorer et bien sûr échapper à certaines erreurs.

Réponse à silene82 dans Dansant sous la pluie, pour ne pas polluer davantage le sujet de lu-k.

Oui, je me disais justement que les deux orthographes pouvaient être admises pour "brinquebaler", celle avec deux "l" bénéficiant de l'autorité de deux auteurs d'élite (ou de celle d'un correcteur bourré qui aurait œuvré sur les manuscrits desdits auteurs). En tout cas, il n'était pas justifié de reprendre lu-k, qui avait suivi la graphie prescrite par les dictionnaires.

à socque

Je trouve la graphie brinqueballe plus conforme à l'esprit de la langue, c'est pourquoi je la signalais, ce que je n'ai pas coutume de faire.

A tous les lecteurs du concours " y pique " c'était tellement codé que moi-même y ai perdu deux trois cheveux. Mais bon, c'est le plaisir de l'été né sans.

- Si on ne rentre pas immédiatement à la maison, on va se faire brimbaler les cloches ! dit l'enfant à son frère....
- Je ne te trimbal(l)erai plus avec moi, puisque tu as peur, répondit-il.

Un baiser du matin à tous mes commentateurs, vos posts me font chaud au coeur.
Je pars pour quelques jours . Z'allez me manquer mais la Baie des Trépassés niche dans ses rochers des muses-sirènes que j'espère bien attraper par la queue pour vous en rapporter quelques écailles ;0)

Pas besoin d'essayer de les attraper, Arielle, elles viendront toutes seules jouer avec toi !

Olala, des des " muses " dans la baie des trépassés ? Voilà les vacances qui emportent les uns et les autres.
Bon, je monte au phare allumer lanterne.

La lanterne !
Oui, et la vessie aussi pour les derniers perdus dans " l'hygrote ".

Merci aux lecteurs et commentateurs de Passé simple !

Merci à Socque, Saint Georges, Easter, Ba et Sahkti qui ont lu et commenté mon "Visage".
Easter : Comment guérir d'une allergie aux pronoms relatifs ? On soigne le mal par le mal. Aussi faut-il lire...des poètes à l'écriture très surveillée. Malherbe, Baudelaire, Mallarmé pour n'en citer que trois. Alors on s'aperçoit que ces gourmands les aiment, eux, les relatifs. Que de quoi, de qui, de que, de dont, d'où...! Ils ne s'en privent pas. Alors pourquoi voudriez-vous qu'une modeste plumitive leur témoigne de la froideur ?
Ba : Ne vous laissez pas induire en erreur par l'homophonie. Creusez le sens.
Sahkti : ne vous forcez pas à aimer si vous n'aimez pas. Ceci dit, que viennent sous votre "plume" des mots tels que "guimauve" et "désuétude" cela me paraît injustifié. Dans "Visage", le vocabulaire, s'il semble relever de celui qu'affectionnait le romantisme ou, pourquoi pas, les "bergeries" chères à Racan, désigne en fait des individus, des objets et des phénomènes qui n' étant en aucun cas liés à la mode peuvent être évoqués aujourd'hui sans qu'un parfum de naphtaline les accompagne. (Si à propos d'odeurs, justement, je n'ai pas spécifié que mes bergers sentent le bouc, c'est par souci de préserver nos narines). Les bergers, les harpes, les brises...existent toujours.
Quant à la guimauve telle que vous l'entendez, les adjectifs "fade" et "doux" la composent. Or je ne trouve pas que mon texte manque ni de saveur ni d'éclat.( Chez vous cette saveur procura de toute évidence une sensation de déplaisir voire d'écoeurement, je le regrette, mais qu'y puis-je ? c'est "physique", n'est-ce pas ?) L'éclat, c'est ce qui suscite l'admiration... l'ai-je cherchée ? Et auprès de qui ? De moi-même, avant tout, je l'avoue. Par ailleurs si la nature y est transcendée comme souvent en poésie par des artistes aussi différents que Lamartine ou Char, je conçois que cette dimension quasi panthéiste n'apparaisse qu'en filigrane, ou moins nettement encore, ou pas du tout...Reste l'harmonie, la fluidité, la musique d'un vers (de tradition cette fois, mais oui) qui, comme je l'ai déjà dit ici, "tient tout seul", et à qui le fond, la matière importent assez peu.

Aujourd'hui à 12:54

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Socque : encore merci.

Aux messieurs qui ont lu et commenté "Visage" :
Une diction archaïsante, que l'on conserve ou non en poésie (il semble que ce soit davantage pour des raisons liées à l'observation du mètre que par caprice) correspond à la prononciation dite en diérèse. Par ailleurs des synérèses peuvent se muer en diérèses, et inversement (exemple : hier).
Le "compte" des syllabes m'amuse. Moi je ne compte pas, j'entends.

Madeline a écrit:Aujourd'hui à 12:54

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Socque : encore merci.

Aux messieurs qui ont lu et commenté "Visage" :
Une diction archaïsante, que l'on conserve ou non en poésie (il semble que ce soit davantage pour des raisons liées à l'observation du mètre que par caprice) correspond à la prononciation dite en diérèse. Par ailleurs des synérèses peuvent se muer en diérèses, et inversement (exemple : hier).
Le "compte" des syllabes m'amuse. Moi je ne compte pas, j'entends.

Vous parlez d'or, et c'est le simple bon sens. Mais n'étant jamais très à l'aise sur l'orthodoxie en versification, comme j'avais un doute, j'ai préféré mentionner. Ne doutant pas, en revanch, pour avoir observé l'exigence dont vous faites preuve constamment, que vous n'ayez une justification tout à fait satisfaisante à cela.
Au fait, qui vous dit que je suis un monsieur? Est-ce si transparent?Je pourrais être un silène nymphique, voire une nymphe silénique, silénienne, ou, qui sait, silènée.

Oop's ! Je n'avais pas vu que mon poème Lui avait été commenté.
Je ne pensais même pas qu'il puisse être lu vraiment . ^o^
Donc, merci à vous d'avoir critiqué ce texte.
J'ai tenu compte de toutes vos remarques constructives (pour un autre poème éventuellement) mais, je ne changerai rien à cet écrit qui est finalement trop personnel... en le relisant, je pense que je n'aurai jamais dû le poster ici.
Je ne le referai plus, promis, juré, craché ! (beurk ! )

Je tiens à préciser que je ne suis pas "Il" qui aurait pu être "Elle" ... je suis née "Elle" et je m'en porte bien. Huhu !

Silène,
En ce qui concerne votre sexe, je me fie à votre profil, lequel indique que vous seriez un homme; de plus, dans vos commentaires, vous vous exprimez en tant que tel. Evidemment cela ne prouve rien. Ce dont je doute, c'est que vous soyez un ange. Pourquoi ? je pourrais répondre "intuition féminine", mais je ne crois guère à cette...légende. Il me semble avoir lu sous votre plume que vous vous flattiez d'atrocités sans nom, et j'ai le souvenir d'un texte récent de vous dans lequel j'avais cru comprendre que vous (ou "l'indien" (?) qui monologuait) enterriez vive votre "chère" compagne, votre squaw - mais je vous aurais mal lu de votre propre aveu, ce que je ne nie pas, étant peu attentive aux autres, tout en maintenant qu'une ambiguïté existe dans les dernières lignes de votre texte, laquelle ambiguïté peut conduire comme elle l'a fait une lectrice à l'interpréter ainsi que je m'y suis employée en ma sinistre maison dont "les murs avaient froid"...
Cordialement.

Madeline a écrit:Sahkti : ne vous forcez pas à aimer si vous n'aimez pas. Ceci dit (...)

Je pense qu'il y a maldonne sur l'interprétation que je fais de certains termes. A mes yeux, la désuétude n'est pas péjorative ni négative dans le cas présent; c'est quelque chose qui aurait normalement dû m'attirer parce que j'apprécie ce trait, d'habitude, mais cela n'a pas suffi ici.

Pour ce qui est de l'aspect guimauve... je sais que Les bergers, les harpes, les brises existent toujours, surtout d'où je viens :-)
C'est simplement que l'accumulation de telles images si souvent vues ne m'a pas charmée, simple question de goûts personnels et la technique a beau être maîtrisée, ça ne change rien au fond.
Vous trouvez que votre texte ne manque ni de saveur ni de goût. C'est votre avis et celui-ci n'a pas à s'imposer au mien, malgré ces convictions que vous tentez à tout prix de défendre. Je reste sur mes positions d'un texte bien maîtrisé mais manquant de relief dans son propos. A nouveau, c'est suggestif, mais c'est un droit que je revendique, tout comme vous revendiquez le droit de critiquer sévèrement certains textes, si j'en crois vos commentaires.

Madeline a écrit:Silène,
En ce qui concerne votre sexe, je me fie à votre profil, lequel indique que vous seriez un homme; de plus, dans vos commentaires, vous vous exprimez en tant que tel. Evidemment cela ne prouve rien. Ce dont je doute, c'est que vous soyez un ange. Pourquoi ? je pourrais répondre "intuition féminine", mais je ne crois guère à cette...légende. Il me semble avoir lu sous votre plume que vous vous flattiez d'atrocités sans nom, et j'ai le souvenir d'un texte récent de vous dans lequel j'avais cru comprendre que vous (ou "l'indien" (?) qui monologuait) enterriez vive votre "chère" compagne, votre squaw - mais je vous aurais mal lu de votre propre aveu, ce que je ne nie pas, étant peu attentive aux autres, tout en maintenant qu'une ambiguïté existe dans les dernières lignes de votre texte, laquelle ambiguïté peut conduire comme elle l'a fait une lectrice à l'interpréter ainsi que je m'y suis employée en ma sinistre maison dont "les murs avaient froid"...
Cordialement.

Ne serait-ce que pour le plaisir de lire une prose aisée, fine, et, oserais-je le dire, féminine, en réponse, je m'emploierai avec beaucoup de constance et d'à-propos à écrire des nonsense de ce type. Les atrocités que vous mentionnez ne me semblent en rien apanage féminin, même si une certaine délicatesse empreinte de prudence a plus souvent généré des empoisonneuses que des étripeuses, au cours des siècles. Encore que. Quant à l'enterreur de squaw, vous m'aurez mal lu, elle est admirablement, parfaitement, et indiscutablement morte, du moins selon les signes médicaux objectifs.

Silène,
Je n'ai rien lu jusqu'à présent de nonsensique sous votre signature. Tant pis si l'on m'accuse de "faire ma publicité", mais je signale que l'un de mes textes, publié ici il y a une quinzaine de jours et titré "Le Fil", est d'obédience nonsensique puisqu'il se réclame entre autres d'Edward Lear. J'ajoute que le nonsense signifie davantage absence d'un certain sens qu'absence de sens. Surréalisme aussi est un mot employé à tort et à travers.

Sahkti,
Mais oui, nous sommes d'accord. Vous restez sur vos positions et moi persuadée que "Visage" mérite des éloges - dont les vôtres (voyez comme, déjà, je vous estime ).

Madeline a écrit:Silène,
Je n'ai rien lu jusqu'à présent de nonsensique sous votre signature. Tant pis si l'on m'accuse de "faire ma publicité", mais je signale que l'un de mes textes, publié ici il y a une quinzaine de jours et titré "Le Fil", est d'obédience nonsensique puisqu'il se réclame entre autres d'Edward Lear. J'ajoute que le nonsense signifie davantage absence d'un certain sens qu'absence de sens. Surréalisme aussi est un mot employé à tort et à travers.

Ce que je classais un peu à la va-vite, je vous l'accorde, sous le terme générique et fourre-tout de nonsense étaient les loisirs sous les auspices -et, pour certains, les aruspices- desquels je me présentais. Avançant prudemment, la chapka sur les yeux, et combattant la pressante envie, car, comme vous n'êtes pas sans le savoir, loin de ses terres, point de répit. Elle le répète à l'envi, point de compromis: l'aruspice dans la Volga.