Discussions autour de nos textes (prose-poésie)
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Re: Discussions autour de nos textes (prose-poésie)
de maths ?
meuh non ! juste instit tardive, j'ai donc dû réviser mes maths pour passer le concours
Néanmoins sache que les matheux sont souvent poètes, et musiciens
Paul Klee par exemple
meuh non ! juste instit tardive, j'ai donc dû réviser mes maths pour passer le concours
Néanmoins sache que les matheux sont souvent poètes, et musiciens
Paul Klee par exemple
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Maggy et Agathe
Je comprends !
Mais... "aurais eu" permet-il de sous-entendre qu'Agathe ne va pas l'avoir ? :-) Ou pas du tout ?
Mais... "aurais eu" permet-il de sous-entendre qu'Agathe ne va pas l'avoir ? :-) Ou pas du tout ?
Lifewithwords- Nombre de messages : 785
Age : 32
Localisation : Hauts de Seine
Date d'inscription : 27/08/2007
Le chemin des oliviers
MDR boss!!!Mentor a écrit:cette interruption :-))))Terrains vagues a écrit:pardon Denis pour cet interruption
il va plutôt être content, Denis, son texte remonte ;-)
Jeu reuliret myeux la prochenne phoi. Mé G kompri hou kif allai posseté C Dja bi1.
Terrains Vagues- Nombre de messages : 292
Age : 58
Date d'inscription : 10/09/2011
Re: Discussions autour de nos textes (prose-poésie)
Non, "aurais eu" indique que l'action (hypothétique) appartient au passé, ce qui n'est pas le cas ici puisque tes personnages se projettent dans le futur. Par exemple : "tu aurais eu ce courage si tu avais su que c'était une question de vie ou de mort."Lifewithwords a écrit:Je comprends !
Mais... "aurais eu" permet-il de sous-entendre qu'Agathe ne va pas l'avoir ? :-) Ou pas du tout ?
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes (prose-poésie)
G trouvais ca supR coul caumen ta ecri la.Terrains Vagues a écrit:MDR boss!!!
Jeu reuliret myeux la prochenne phoi. Mé G kompri hou kif allai posseté C Dja bi1.
Le Greico- Nombre de messages : 206
Age : 30
Localisation : Là où le soleil brille encore.
Date d'inscription : 08/11/2009
L'autre
Merci pour vos commentaires, Le Greico et Coline !
Coline, je te réponds selon mes très maigres connaissances en matière de grammaire : pour ta première proposition, il me semble que je peux tout aussi bien mettre du présent que du conditionnel, mais je n'en sais pas grand-chose... donc sûrement as-tu raison !
En ce qui concerne cette phrase : "Nous nous laissons tomber à la renverse sur l'épaule de l'autre, la tête molle, la nuque brisée, et les mains de l'autre, si vieilles, qui lentement s’approchent de nos pupilles entrouvertes après que nous nous fûmes évanouis et qu'il soit parvenu à se faire maintenir droit notre corps désarticulé." il y a effectivement une faute grossière dans le régime temporel, et tu l'as bien remarqué, mais ce n'est pas celle que tu indiques, je crois. Il n'y a pas de subjonctif après "après que", donc ce n'est pas "après que nous nous fûmes" qu'il faut changer en "après que nous nous soyons", mais bien "[...] et qu'il soit" (qui se reporte donc aussi à "après que") qu'il faut transformer ainsi "[...] et qu'il fut". Enfin, je crois. Et je n'y connais vraiment que dalle.
J'attends les commentaires des grands techniciens comme alex ou Easter, que je convoque un peu honteusement, pour de si petites erreurs...
Coline, je te réponds selon mes très maigres connaissances en matière de grammaire : pour ta première proposition, il me semble que je peux tout aussi bien mettre du présent que du conditionnel, mais je n'en sais pas grand-chose... donc sûrement as-tu raison !
En ce qui concerne cette phrase : "Nous nous laissons tomber à la renverse sur l'épaule de l'autre, la tête molle, la nuque brisée, et les mains de l'autre, si vieilles, qui lentement s’approchent de nos pupilles entrouvertes après que nous nous fûmes évanouis et qu'il soit parvenu à se faire maintenir droit notre corps désarticulé." il y a effectivement une faute grossière dans le régime temporel, et tu l'as bien remarqué, mais ce n'est pas celle que tu indiques, je crois. Il n'y a pas de subjonctif après "après que", donc ce n'est pas "après que nous nous fûmes" qu'il faut changer en "après que nous nous soyons", mais bien "[...] et qu'il soit" (qui se reporte donc aussi à "après que") qu'il faut transformer ainsi "[...] et qu'il fut". Enfin, je crois. Et je n'y connais vraiment que dalle.
J'attends les commentaires des grands techniciens comme alex ou Easter, que je convoque un peu honteusement, pour de si petites erreurs...
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes (prose-poésie)
Putain je crois que je dis n'importe quoi, aidez-moi, je suis nul en conjugaison mais je fais des études de lettres, ça craint, merde, la honte, oh.
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes (prose-poésie)
Mais non tu ne dis pas n'importe quoi, lu-k, pas ici en tout cas. Pas de subjonctif suivant "après que" et donc : nous fûmes et (...) qu'il fut. Cela me paraît correct.lu-k a écrit:Putain je crois que je dis n'importe quoi, aidez-moi, je suis nul en conjugaison mais je fais des études de lettres, ça craint, merde, la honte, oh.
Kilis- Nombre de messages : 6085
Age : 78
Date d'inscription : 12/12/2005
Pare-être
Pfiou, encore un sacré commentaire, Louis, ça a beau être habituel, je ne m'habitue pas ! Merci pour ça =)
Je conçois tout à fait la petitesse de mon texte sur le paraître qui cache l'être si on le compare à une recherche profonde de ce qu'est l'être et à toutes les réflexions que cela peut engendrer, notamment sur sa (non-)construction et sa libération. Seulement, je ne suis tout simplement pas en mesure d'avoir cette démarche. C'est un chantier bien trop ambitieux pour moi. Pour avoir étudié un peu l'éducation et la psychanalyse, je mesure la profondeur de la question : rien que sur la manière dont l’École bloque la construction de l'individu, il a fallu un mémoire de plus de 60 pages, alors si on parle de la société en général... Il est clair que l'idée me donne le vertige plus qu'autre chose.
Après, juste un bémol : je ne dis pas que le paraître empêche d'être, je dis que la manière dont il est utilisé empêche l'être de s'exprimer. L'être est bien là, mais caché, comme par sécurité. Par conséquent, je n'exclus pas ce que tu dis sur le fait que l'être soit une construction, une histoire, une quête perpétuelle, bien au contraire : je déplore justement qu'on n'en tienne pas compte.
Je conçois tout à fait la petitesse de mon texte sur le paraître qui cache l'être si on le compare à une recherche profonde de ce qu'est l'être et à toutes les réflexions que cela peut engendrer, notamment sur sa (non-)construction et sa libération. Seulement, je ne suis tout simplement pas en mesure d'avoir cette démarche. C'est un chantier bien trop ambitieux pour moi. Pour avoir étudié un peu l'éducation et la psychanalyse, je mesure la profondeur de la question : rien que sur la manière dont l’École bloque la construction de l'individu, il a fallu un mémoire de plus de 60 pages, alors si on parle de la société en général... Il est clair que l'idée me donne le vertige plus qu'autre chose.
Après, juste un bémol : je ne dis pas que le paraître empêche d'être, je dis que la manière dont il est utilisé empêche l'être de s'exprimer. L'être est bien là, mais caché, comme par sécurité. Par conséquent, je n'exclus pas ce que tu dis sur le fait que l'être soit une construction, une histoire, une quête perpétuelle, bien au contraire : je déplore justement qu'on n'en tienne pas compte.
Re: Discussions autour de nos textes (prose-poésie)
Mes connaissances en grammaires sont en vacances dans un passé lointain et je ne fonctionne plus qu'à l'intuition, l'habitude. ( regrettable paresse !) Mais certaines tournures me heurtent l'oreille - parfois même si correctes !lu-k a écrit:Merci pour vos commentaires, Le Greico et Coline !
Coline, je te réponds selon mes très maigres connaissances en matière de grammaire : pour ta première proposition, il me semble que je peux tout aussi bien mettre du présent que du conditionnel, mais je n'en sais pas grand-chose... donc sûrement as-tu raison !
En ce qui concerne cette phrase : "Nous nous laissons tomber à la renverse sur l'épaule de l'autre, la tête molle, la nuque brisée, et les mains de l'autre, si vieilles, qui lentement s’approchent de nos pupilles entrouvertes après que nous nous fûmes évanouis et qu'il soit parvenu à se faire maintenir droit notre corps désarticulé." il y a effectivement une faute grossière dans le régime temporel, et tu l'as bien remarqué, mais ce n'est pas celle que tu indiques, je crois. Il n'y a pas de subjonctif après "après que", donc ce n'est pas "après que nous nous fûmes" qu'il faut changer en "après que nous nous soyons", mais bien "[...] et qu'il soit" (qui se reporte donc aussi à "après que") qu'il faut transformer ainsi "[...] et qu'il fut". Enfin, je crois. Et je n'y connais vraiment que dalle.
J'attends les commentaires des grands techniciens comme alex ou Easter, que je convoque un peu honteusement, pour de si petites erreurs...
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes (prose-poésie)
lu-k a écrit:Putain je crois que je dis n'importe quoi, aidez-moi, je suis nul en conjugaison mais je fais des études de lettres, ça craint, merde, la honte, oh.
J'adore!
Dante Ifriss- Nombre de messages : 47
Age : 34
Date d'inscription : 26/11/2011
Croque-soleil
Arielle a écrit :
Pauvre Arielle, victime de la tyrannie des fans ! ;-)
Easter, cette légèreté sucrée répond un peu à Coline qui trouvait bien sombre mon précédent envoi ;-)
Pauvre Arielle, victime de la tyrannie des fans ! ;-)
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes (prose-poésie)
Mais quel plaisir de se plier à une telle tyrannie !
Les exos avec contrainte me semblent un peu de la même veine et Coline s'y entend pour corseter chacun à sa mesure !
Les exos avec contrainte me semblent un peu de la même veine et Coline s'y entend pour corseter chacun à sa mesure !
Re: Discussions autour de nos textes (prose-poésie)
(je) sais que cela ne me regarde pas... et n'ayant pas tout suivi... mais... (je) ne peux point résister... trop de t.nte à sion... le ou la ou les sujets...est-ce écriture à la française ou éducation à l'anglaise ???
Re: Discussions autour de nos textes (prose-poésie)
Si vous voulez goûter de ce pain-là, Frédéric, il suffit de demander gentiment à Coline de vous guider vers la salle des tortures dont elle a la clé ;-)
Bonjour Madame (3° et dernier épisode)
Bonsoir Frédéric, bonsoir Arielle, bonsoir Coline et autres Véliens
Pour ceux qui se sont amusés au 1° épisode et un peu moins au 2nd, voici le 3° et dernier Maudits mots dits. Après, mots tus.
Pour ceux qui se sont amusés au 1° épisode et un peu moins au 2nd, voici le 3° et dernier Maudits mots dits. Après, mots tus.
Re: Discussions autour de nos textes (prose-poésie)
C'est dommage de poster cela comme çaDenis a écrit: Pour ceux qui se sont amusés au 1° épisode et un peu moins au 2nd, voici le 3° et dernier Maudits mots dits. Après, mots tus.
Au beau milieu de tout et de nulle part
Moi j'aurais bien mis tous ces mots au delà
Au beau mis bleu de vous et de plume d'art.
Flowriture
J’ai lu tous les commentaires. J’ai été choqué par le ton de certains. Bon, je vais répondre à ceux me semblant pertinents ou dignes d’intérêt.
Arf : « Bonjour,
Je pense qu'avec une zyk genre RAp, ton txte brûlerait les planches, non?
Yo!! »
@ ARF : Je le pense aussi.
Kash Prex : Il y a une révolte et un pessimisme qui me plaisent, mais le texte ne me semble pas travaillé. Fautes d'orthographe, brusques changements de sujet, mots manquants... Tu sembles avoir des choses à dire, mets-les en valeur !
@ Kash Prex :
Pour les fautes d’orthographes je suis d’accord avec toi. Les changements brusques de sujet et les mots manquants sont des conséquences de ne vouloir raconter aucune histoire et de ne s’intéresser qu’aux mots seulement.
Par contre je n’ai rien à dire. Je ne représente personne à par moi-même Drayano, ni groupe social, ni politique, ni artistique, ni quoique se soit d’autre que moi-même. Je te remercie pour ton commentaire pertinent.
Alex :
Je n'ai rien contre les pamphlets, les cris du cœur, le dégoût de la société… Ce qui me rend le texte presque indigeste, c'est qu'il se complaît dans une critique somme toute très sommaire, aux arguments plus que ressassés. On s'fait enculer, tout-ça-tout-ça, oui, on connaît le refrain ! Sinon, la vulgarité ne me dérange pas, à condition de ne pas être gratuite.
Je n'aime pas « les frères féminisés » et tout ce que ça implique, ce machisme qui continue de prévaloir en toute circonstance. Pour moi, un texte-déversoir qui rate sa cible, et qui en conséquence, n'a pas le moindre intérêt. J'espère vous relire plus inspiré !
@ Alex :
Le texte n’a pas la prétention d’être un cris du cœur contre la société ou contre qui que se soit d’autre. Je répète, c’est une erreur de comprendre le fond comme un message. Le texte est totalement inutile et n’a de cible que sa forme lui-même.
« les frères féminisés » : c’est une image de dévirilisation. Il ne s’agit nullement de machiste. La preuve aucune femme ne s’est plainte de cela. Les « frères godomisés » aurait peut être été plus romantique.
Merci pour la localisation des fautes et leurs corrections !
Colinde dé : Tu n'as jamais songé, Drayano, que toi aussi, tu nourrissais un squelette ?
@ colinde dé : avant flowriture, franchement pas. C’est quand je me posé cette question que flowriture a germé. Maintenant j’suis en train d’accoucher ou de déféquer ; c’est du pareil au même, du vivant au puant.
Grieg :
« Flow » dit ton titre, et de flow je n’en perçois pas, mais suis d’accord pour la « riture »
"Flouriture", je pense, serait meilleur.
Tu as malgré tout un certain style, mais un style qui sert l’horreur.
Si c’est une posture, elle est grotesque ; une pensée, je te plains
Les idées que tu véhicules ne sont que la graine de haine dont on fait les génocides
Je suis assez d’accord avec Arielle sur le qualificatif de torchon, mais un torchon imbibé d’essence… Et je suis certain que, si d’aventure, tu le montes en torche ce ne sera pas pour nous éclairer, mais bien pour nous empaler
Doit-on donner la liberté d’expression à ceux qui ne nous la rendront pas ?
@Grieg : Bien sûr qu’il y’a un flow qui engloutit tout sur son passage dans le texte.
Je ne suis pas d’accord avec toi quand tu dis que dans ce texte le style sert l’horreur. C’est totalement faux. Il est totalement libre, il ne sert que les mots, je dis bien que les mots, la résonance des mots entre eux et leur substances communes intimes.
C’est une erreur gigantesque de lire le fond sans tenir compte de lui, à cause de son décalage intrinsèque par rapport au langage réel. Bref, il n’y’a ni message politique, ni message antipolitique, ni message humaniste, ni message antihumaniste, ni quoique se soit d’autre que de la forme, l’anarchie et la dictature des mots entre eux.
Doit-on donner la liberté d’expression à ceux qui ne nous la rendront pas ? J'aime pas ce nous. Je le redis, je ne représente personne d’autre que moi Drayano, et j’ai droit à la liberté d’expression et celle de création : c’est la Constitution qui l’exige et pas un certain [u]nous[/u].
Rebecca :
Mon problème : j'ai rien compris : shais pas kiki parle, shais pas koikidi, shais pas si c'est de l'art ou du cochon, ni si cochon s'en dédit, shais pas s'il M la N ou koi ou kesse, plane un doute sur le fond, est il pour ce qui est contre, est il contre ce qui est pour ...riture, pour moi ya de la friture sur la ligne ...d'écriture
@ Rebecca : bravo ! T’es la seule à avoir tout compris. La forme. Queue la forme !
Janis : C'est dommage Drayano, j'ai lu de toi ici et sur ton blog des textes beaucoup plus percutants. Ici, pour moi, tout est noyé dans une sorte de dégueulis qui nous tombe sur les pieds, voire dans l'assiette. Alors faut pas s'étonner.
@ Janis : le dégueulis c’est le flow ; souvent de merde, souvent d’or, l’essentiel ce n’est pas de quoi il est chargé. L’essentiel c’est le MOUVEMENT. Le reste, jetés !
À vrai dire c’est le même mouvement dans tous mes textes. Sauf qu’ici, le mouvement n’est au service de rien et de personne si ce n’est lui-même. Il n’est plus esclave de l’histoire, de la morale ou de quoique ce soit d’autre. Ici, il est totalement anarchique. Il fait sa révolution pour lui et sur lui-même. Il n’a pas d’autre prétention que ça.
MémoireDutemps
Êtes-vous certains qu'afficher un tel assortiment d'injures et d'appel à la violence est légal ? C'est plus proche du racisme de tous types... et ne mériterait en réponse qu'une chose : lui demander de ramasser les ordures qu'il a laissées traîner.
@mémoireDutemps : Je suis d’accord avec vous pour la vulgarité. Mais pas pour les appels à la haine et à la violence. Je vous met au défit de ne citer rien qu’une phrase raciste de n’importe quel type : il y a n’a aucune.
Rien qu’une phrase appelant à la violence sur personne : il y’a n’a aucune non plus.
Vous avez Surlu l’ordure comme vous dites.
Arf : « Bonjour,
Je pense qu'avec une zyk genre RAp, ton txte brûlerait les planches, non?
Yo!! »
@ ARF : Je le pense aussi.
Kash Prex : Il y a une révolte et un pessimisme qui me plaisent, mais le texte ne me semble pas travaillé. Fautes d'orthographe, brusques changements de sujet, mots manquants... Tu sembles avoir des choses à dire, mets-les en valeur !
@ Kash Prex :
Pour les fautes d’orthographes je suis d’accord avec toi. Les changements brusques de sujet et les mots manquants sont des conséquences de ne vouloir raconter aucune histoire et de ne s’intéresser qu’aux mots seulement.
Par contre je n’ai rien à dire. Je ne représente personne à par moi-même Drayano, ni groupe social, ni politique, ni artistique, ni quoique se soit d’autre que moi-même. Je te remercie pour ton commentaire pertinent.
Alex :
Je n'ai rien contre les pamphlets, les cris du cœur, le dégoût de la société… Ce qui me rend le texte presque indigeste, c'est qu'il se complaît dans une critique somme toute très sommaire, aux arguments plus que ressassés. On s'fait enculer, tout-ça-tout-ça, oui, on connaît le refrain ! Sinon, la vulgarité ne me dérange pas, à condition de ne pas être gratuite.
Je n'aime pas « les frères féminisés » et tout ce que ça implique, ce machisme qui continue de prévaloir en toute circonstance. Pour moi, un texte-déversoir qui rate sa cible, et qui en conséquence, n'a pas le moindre intérêt. J'espère vous relire plus inspiré !
@ Alex :
Le texte n’a pas la prétention d’être un cris du cœur contre la société ou contre qui que se soit d’autre. Je répète, c’est une erreur de comprendre le fond comme un message. Le texte est totalement inutile et n’a de cible que sa forme lui-même.
« les frères féminisés » : c’est une image de dévirilisation. Il ne s’agit nullement de machiste. La preuve aucune femme ne s’est plainte de cela. Les « frères godomisés » aurait peut être été plus romantique.
Merci pour la localisation des fautes et leurs corrections !
Colinde dé : Tu n'as jamais songé, Drayano, que toi aussi, tu nourrissais un squelette ?
@ colinde dé : avant flowriture, franchement pas. C’est quand je me posé cette question que flowriture a germé. Maintenant j’suis en train d’accoucher ou de déféquer ; c’est du pareil au même, du vivant au puant.
Grieg :
« Flow » dit ton titre, et de flow je n’en perçois pas, mais suis d’accord pour la « riture »
"Flouriture", je pense, serait meilleur.
Tu as malgré tout un certain style, mais un style qui sert l’horreur.
Si c’est une posture, elle est grotesque ; une pensée, je te plains
Les idées que tu véhicules ne sont que la graine de haine dont on fait les génocides
Je suis assez d’accord avec Arielle sur le qualificatif de torchon, mais un torchon imbibé d’essence… Et je suis certain que, si d’aventure, tu le montes en torche ce ne sera pas pour nous éclairer, mais bien pour nous empaler
Doit-on donner la liberté d’expression à ceux qui ne nous la rendront pas ?
@Grieg : Bien sûr qu’il y’a un flow qui engloutit tout sur son passage dans le texte.
Je ne suis pas d’accord avec toi quand tu dis que dans ce texte le style sert l’horreur. C’est totalement faux. Il est totalement libre, il ne sert que les mots, je dis bien que les mots, la résonance des mots entre eux et leur substances communes intimes.
C’est une erreur gigantesque de lire le fond sans tenir compte de lui, à cause de son décalage intrinsèque par rapport au langage réel. Bref, il n’y’a ni message politique, ni message antipolitique, ni message humaniste, ni message antihumaniste, ni quoique se soit d’autre que de la forme, l’anarchie et la dictature des mots entre eux.
Doit-on donner la liberté d’expression à ceux qui ne nous la rendront pas ? J'aime pas ce nous. Je le redis, je ne représente personne d’autre que moi Drayano, et j’ai droit à la liberté d’expression et celle de création : c’est la Constitution qui l’exige et pas un certain [u]nous[/u].
Rebecca :
Mon problème : j'ai rien compris : shais pas kiki parle, shais pas koikidi, shais pas si c'est de l'art ou du cochon, ni si cochon s'en dédit, shais pas s'il M la N ou koi ou kesse, plane un doute sur le fond, est il pour ce qui est contre, est il contre ce qui est pour ...riture, pour moi ya de la friture sur la ligne ...d'écriture
@ Rebecca : bravo ! T’es la seule à avoir tout compris. La forme. Queue la forme !
Janis : C'est dommage Drayano, j'ai lu de toi ici et sur ton blog des textes beaucoup plus percutants. Ici, pour moi, tout est noyé dans une sorte de dégueulis qui nous tombe sur les pieds, voire dans l'assiette. Alors faut pas s'étonner.
@ Janis : le dégueulis c’est le flow ; souvent de merde, souvent d’or, l’essentiel ce n’est pas de quoi il est chargé. L’essentiel c’est le MOUVEMENT. Le reste, jetés !
À vrai dire c’est le même mouvement dans tous mes textes. Sauf qu’ici, le mouvement n’est au service de rien et de personne si ce n’est lui-même. Il n’est plus esclave de l’histoire, de la morale ou de quoique ce soit d’autre. Ici, il est totalement anarchique. Il fait sa révolution pour lui et sur lui-même. Il n’a pas d’autre prétention que ça.
MémoireDutemps
Êtes-vous certains qu'afficher un tel assortiment d'injures et d'appel à la violence est légal ? C'est plus proche du racisme de tous types... et ne mériterait en réponse qu'une chose : lui demander de ramasser les ordures qu'il a laissées traîner.
@mémoireDutemps : Je suis d’accord avec vous pour la vulgarité. Mais pas pour les appels à la haine et à la violence. Je vous met au défit de ne citer rien qu’une phrase raciste de n’importe quel type : il y a n’a aucune.
Rien qu’une phrase appelant à la violence sur personne : il y’a n’a aucune non plus.
Vous avez Surlu l’ordure comme vous dites.
Flowriture
D'accord, mais du coup j'ai une question : quelle est la démarche du texte ? Que cherches-tu à faire ?drayano a écrit:Pour les fautes d’orthographes je suis d’accord avec toi. Les changements brusques de sujet et les mots manquants sont des conséquences de ne vouloir raconter aucune histoire et de ne s’intéresser qu’aux mots seulement.Kash Prex a écrit:Il y a une révolte et un pessimisme qui me plaisent, mais le texte ne me semble pas travaillé. Fautes d'orthographe, brusques changements de sujet, mots manquants... Tu sembles avoir des choses à dire, mets-les en valeur !
Par contre je n’ai rien à dire. Je ne représente personne à par moi-même Drayano, ni groupe social, ni politique, ni artistique, ni quoique se soit d’autre que moi-même. Je te remercie pour ton commentaire pertinent.
Flowriture
flowriture
oui, c'est la bonne question !
parce que du potentiel, y en a
oui, c'est la bonne question !
parce que du potentiel, y en a
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Re: Discussions autour de nos textes (prose-poésie)
De l'impossibilité de se faire remarquer autrement que par de la provocation malsaine.
Bye.
Bye.
Chomina
Easter : tu as déjà lu tout ce passage, hein (que j'ai quelque peu modifié entre temps) ! D'ailleurs, je doute à propos d'une de tes corrections (j'ai normalement repris tout le reste, hormis le "jusque-là" du tout dernier paragraphe dont j'ai oublié d'enlever le tiret que tu m'avais justement fait remarquer) : "[...] et c’est d’ailleurs il y a peu de temps que je compris l’importance d’un autre phénomène, que j’avais jusque là négligé " où tu me proposais "que j'avais compris". Je ne suis vraiment pas bon en grammaire comme tu le sais, mais est-ce que tu veux m'indiquer par là une concordance obligée ? Sinon, je préférerais conjuguer le verbe de la deuxième relative au même temps que celui de la première, plutôt que l'inverse : "que je négligeais jusque là". Que me conseilles-tu ? Il me semble que le passé simple me convient mieux puisque c'est "il y a peu de temps" que cette "importance" a été saisie par la narratrice, peu de temps en rapport au moment où elle écrit son récit rétrospectif et non peu de temps en rapport aux événements de ce même récit qu'elle raconte.
Invité- Invité
Dé-place-ment
Merci pour vos commentaires et corrections.
elea- Nombre de messages : 4894
Age : 51
Localisation : Au bout de mes doigts
Date d'inscription : 09/04/2010
Chomina
Oui lu-k, je me souviens bien ; quand même ! :-)
La phrase que tu cites me pose problème, je la trouve biscornue : "Tous les éléments sont à lier, je crois, et c’est d’ailleurs il y a peu de temps que je compris l’importance d’un autre phénomène, que j’avais jusque-là négligé."
Pourquoi pas : "Tous les éléments sont à lier, je crois ; j'ai d’ailleurs compris (un passé composé me vient spontanément, plutôt qu'un passé simple) il y a peu de temps l’importance d’un autre phénomène, que j’avais jusque là négligé." ?
Surtout qu'il me semble avoir repéré une espèce de prédilection pour la construction "c'est...que/qui ..." : " c’est, quelque part, grâce à cette contagion que je pus véritablement prendre conscience de l’importance religieuse du quotidien passé avec Giorgio, " ou "C’est Giorgio qui prit la parole :"
Et à bien y réfléchir, il y a incompatibilité entre le passé simple et "il y a peu de temps". Parce que le passé simple indique une action révolue, qui s'est passée à un moment précis, par exemple : " Tous les éléments sont à lier, je crois, et c’est d’ailleurs ce jour-là,/à ce moment-là que je compris l’importance d’un autre phénomène, que j’avais jusque-là négligé." alors que "il y a peu de temps" indique une durée, le temps écoulé depuis un moment précis, avec, donc, effet sur le présent.
La phrase que tu cites me pose problème, je la trouve biscornue : "Tous les éléments sont à lier, je crois, et c’est d’ailleurs il y a peu de temps que je compris l’importance d’un autre phénomène, que j’avais jusque-là négligé."
Pourquoi pas : "Tous les éléments sont à lier, je crois ; j'ai d’ailleurs compris (un passé composé me vient spontanément, plutôt qu'un passé simple) il y a peu de temps l’importance d’un autre phénomène, que j’avais jusque là négligé." ?
Surtout qu'il me semble avoir repéré une espèce de prédilection pour la construction "c'est...que/qui ..." : " c’est, quelque part, grâce à cette contagion que je pus véritablement prendre conscience de l’importance religieuse du quotidien passé avec Giorgio, " ou "C’est Giorgio qui prit la parole :"
Et à bien y réfléchir, il y a incompatibilité entre le passé simple et "il y a peu de temps". Parce que le passé simple indique une action révolue, qui s'est passée à un moment précis, par exemple : " Tous les éléments sont à lier, je crois, et c’est d’ailleurs ce jour-là,/à ce moment-là que je compris l’importance d’un autre phénomène, que j’avais jusque-là négligé." alors que "il y a peu de temps" indique une durée, le temps écoulé depuis un moment précis, avec, donc, effet sur le présent.
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes (prose-poésie)
Merci beaucoup pour ton attention de grande lectrice et de grande technicienne de la langue - doublée de bienveillance et de gentillesse, toujours ! Je ne peux qu'adhérer à ta proposition. Je vais changer la phrase exactement comme tu me le conseilles, la construction est en effet plus claire, moins lourde comme ça, outre le problème du régime temporel.
Merci encore !
Merci encore !
Invité- Invité
Frimas
Merci à tous mes commentateurs.
Pour répondre à Marvejols et à ceux qui trouvent que j'ai entaché la poésie des premiers vers d'éléments triviaux qui la gâchent : pourquoi cantonner la poésie à un certain nombre de choses censées être "nobles" et poétiques et en écarter d'autres ?
Je ne vois pas la poésie ( à mon humble niveau, car je ne me prends pas pour un poète, j'ai seulement des démangeaisons auxquelles je cède !) comme une confiserie, un loukoum qui doit fondre en bouche, mais comme un heurt, un choc, le rapprochement d'éléments qu'on n'aurait pas volontiers assemblés, d'où jaillit quelque chose de nouveau si possible.
J'essaie d'écrire de la poésie qui me ressemble :j'aime bien que ce soit tendre, que ça grince, ça rigole, ça essaie de garder les yeux ouverts et si c'est plein de défauts... c'est bien moi !
Alors oui, le côté amour en gelée tremblotante, il y a de la tendresse et de la dérision -je ne vais pas me (ni vous) raconter des histoires de passion fulgurante ! Et monter le thermostat m'apparait comme une triple bonne idée: l'occasion d'être moins frileux au propre comme au figuré et éviter, par une pirouette, de s'attendrir sur le passé.
Et pour être tout à fait honnête : je crois que j'aime bien choquer un peu !
Pour répondre à Marvejols et à ceux qui trouvent que j'ai entaché la poésie des premiers vers d'éléments triviaux qui la gâchent : pourquoi cantonner la poésie à un certain nombre de choses censées être "nobles" et poétiques et en écarter d'autres ?
Je ne vois pas la poésie ( à mon humble niveau, car je ne me prends pas pour un poète, j'ai seulement des démangeaisons auxquelles je cède !) comme une confiserie, un loukoum qui doit fondre en bouche, mais comme un heurt, un choc, le rapprochement d'éléments qu'on n'aurait pas volontiers assemblés, d'où jaillit quelque chose de nouveau si possible.
J'essaie d'écrire de la poésie qui me ressemble :j'aime bien que ce soit tendre, que ça grince, ça rigole, ça essaie de garder les yeux ouverts et si c'est plein de défauts... c'est bien moi !
Alors oui, le côté amour en gelée tremblotante, il y a de la tendresse et de la dérision -je ne vais pas me (ni vous) raconter des histoires de passion fulgurante ! Et monter le thermostat m'apparait comme une triple bonne idée: l'occasion d'être moins frileux au propre comme au figuré et éviter, par une pirouette, de s'attendrir sur le passé.
Et pour être tout à fait honnête : je crois que j'aime bien choquer un peu !
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes (prose-poésie)
alors là je souscris, et l'idée du heurt, des alliances improbables dans l'écriture, oui.
Et pourtant rester lisible. Et s'autoriser à la fois les heurts, les chocs, et les grands sentiments communs à tous, qui font de chaque vie quelque chose d'unique, et d'universel.
ouhlala, je vais verser une larme !
Et pourtant rester lisible. Et s'autoriser à la fois les heurts, les chocs, et les grands sentiments communs à tous, qui font de chaque vie quelque chose d'unique, et d'universel.
ouhlala, je vais verser une larme !
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Frimas
Je viens de relire votre critique, Marvejols, et je relève ceci :
Il me semble au contraire que c'est l'absolu, l'extrême de la pureté que l'on a voulu introduire dans la représentation de l'amour qui y a introduit la mort, parce que ce n'est pas tenable, parce que personne n'est à la hauteur de cet idéal et qu'il a provoqué beaucoup de souffrances et de morts. J'essaie de réhabiliter un amour vivable, plus tendre, plus généreux...qui tolère les ratés, les imperfections. Tout en gardant la nostalgie de l'archange ailé qui brandit l'amour radieux comme un glaive .
Preuve qu'il n'est pas besoin d'exister pour régner !
Ce vers ultime me fait l'effet d'un méchant gamin qui jette et brise son jouet: le plaisir, l'amour n'est pas possible, le monde est vain et noir. Ce vers efface d'un coup le caractère mélancolique du texte et introduit une rare violence, celle d'un ricanement sinistre. Quelque chose comme si ce vers était la mort elle-même...
Il me semble au contraire que c'est l'absolu, l'extrême de la pureté que l'on a voulu introduire dans la représentation de l'amour qui y a introduit la mort, parce que ce n'est pas tenable, parce que personne n'est à la hauteur de cet idéal et qu'il a provoqué beaucoup de souffrances et de morts. J'essaie de réhabiliter un amour vivable, plus tendre, plus généreux...qui tolère les ratés, les imperfections. Tout en gardant la nostalgie de l'archange ailé qui brandit l'amour radieux comme un glaive .
Preuve qu'il n'est pas besoin d'exister pour régner !
Invité- Invité
Frimas
Moi j'adore justement ce dernier vers, pour l'humour, la distance, la tendresse et le réalisme, et la petite dérision. Je n'avais pas lu les derniers commentaires, j'y vais de ce pas ! gare !
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Frimas
Tout d'accord avec toi, Coline : le dernier vers a sa place et pas qu'un peu. Une dernière cabriole pour rajouter un coup de piment à la gelée qui tremblote.
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes (prose-poésie)
Bon, ben je suis rassurée. (Je suis d'abord passée au rayon poésie !)Arielle a écrit:Sans ce dernier vers ce ne serait plus toi, Coline !
Re: Discussions autour de nos textes (prose-poésie)
Bonsoir,
Si vous ne lisez pas tous les textes et si, a fortiori, vous ne les commentez pas tous, est-ce que d'une manière générale vous vous intéressez plus particulièrement aux textes des personnes qui ont donné leur avis sur les vôtres ?
Amicalement,
midnightrambler
Si vous ne lisez pas tous les textes et si, a fortiori, vous ne les commentez pas tous, est-ce que d'une manière générale vous vous intéressez plus particulièrement aux textes des personnes qui ont donné leur avis sur les vôtres ?
Amicalement,
midnightrambler
midnightrambler- Nombre de messages : 2606
Age : 71
Localisation : Alpes de Haute-Provence laclefdeschamps66@hotmail.fr
Date d'inscription : 10/01/2010
Re: Discussions autour de nos textes (prose-poésie)
Est-ce que ceci s'adresse à quelqu'un en particulier ou est-ce une question générale , Midnightrambler ?midnightrambler a écrit:Bonsoir,
Si vous ne lisez pas tous les textes et si, a fortiori, vous ne les commentez pas tous, est-ce que d'une manière générale vous vous intéressez plus particulièrement aux textes des personnes qui ont donné leur avis sur les vôtres ?
Amicalement,
midnightrambler
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes (prose-poésie)
Bonsoir,
C'est une question générale, bien sûr !
Amicalement,
midnightrambler
C'est une question générale, bien sûr !
Amicalement,
midnightrambler
midnightrambler- Nombre de messages : 2606
Age : 71
Localisation : Alpes de Haute-Provence laclefdeschamps66@hotmail.fr
Date d'inscription : 10/01/2010
Re: Discussions autour de nos textes (prose-poésie)
Quand j'ai du temps, j'essaie de lire tous les textes. Quand je n'en ai pas trop, je donne la priorité aux auteurs que je connais déjà et qui m'intéressent.
Pour les commentaires , je commente d'abord en fonction du temps dont je dispose, avec la même priorité, ceux dont le travail m'intéresse. Par contre je peux ne pas poster immédiatement après lecture. J'aime revenir sur un texte avant de m'exprimer. Je peux en reporter la lecture aussi, si je ne me sens pas assez disponible mentalement pour le lire sérieusement. Ce qui fait que parfois je laisse le temps passer et je ne fais pas de comm car entretemps je suis interpellée par des textes nouvellement apparus.
Parfois je lis et ne commente pas parce que je ne sais pas quoi dire, ou que d'autres ont déjà exprimé ce que j'aurai pu dire.
Je ne pratique pas le renvoi d'ascenseur dans le sens que je ne me suis jamais obligée à commenter un texte sous pretexte que l'auteur m'a donné son avis sur l'un des miens. Et je n'attends pas que les gens que je commente viennent me lire en contrepartie. Cela me choquerait même car cela n'aurait plus rien de spontané.
Maintenant, il peut se former des cercles d'intérêt mutuels dus aux affinités ressenties et à la lecture des textes (prioritairement) et à la nature des comm et d'ailleurs cette curiosité peut être aiguisée à l'occasion de comm effectué sur d'autres textes que les miens.
Voilà.
Pour les commentaires , je commente d'abord en fonction du temps dont je dispose, avec la même priorité, ceux dont le travail m'intéresse. Par contre je peux ne pas poster immédiatement après lecture. J'aime revenir sur un texte avant de m'exprimer. Je peux en reporter la lecture aussi, si je ne me sens pas assez disponible mentalement pour le lire sérieusement. Ce qui fait que parfois je laisse le temps passer et je ne fais pas de comm car entretemps je suis interpellée par des textes nouvellement apparus.
Parfois je lis et ne commente pas parce que je ne sais pas quoi dire, ou que d'autres ont déjà exprimé ce que j'aurai pu dire.
Je ne pratique pas le renvoi d'ascenseur dans le sens que je ne me suis jamais obligée à commenter un texte sous pretexte que l'auteur m'a donné son avis sur l'un des miens. Et je n'attends pas que les gens que je commente viennent me lire en contrepartie. Cela me choquerait même car cela n'aurait plus rien de spontané.
Maintenant, il peut se former des cercles d'intérêt mutuels dus aux affinités ressenties et à la lecture des textes (prioritairement) et à la nature des comm et d'ailleurs cette curiosité peut être aiguisée à l'occasion de comm effectué sur d'autres textes que les miens.
Voilà.
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Discussions autour de nos textes (prose-poésie)
Je lis tous les textes, et je ne commente pas un auteur mais un texte. Donc peu m’importe qu’il m’ait ou non déjà commentée. Ce n’est pas ce qui me fera commenter ou pas à mon tour.
Voilà pour ma petite contribution à la question.
Ce qui m’intéresse de mon côté c’est de savoir ce qui incite à lire un texte, l’auteur ? Le titre ? Le nombre de commentaires ? Ou bien tout le monde fait comme moi et lit tout ?
Et puis ce qui incite à commenter ou pas. Ce qui rejoint peut-être un peu la question de Midnightrambler.
De mon côté je commente en fonction du texte et du temps que j’ai ou de ce que j’ai à dire. Par exemple si je ne trouve rien de positif à dire, je m’abstiens ; si je n’ai rien de plus à dire que ce qui a été dit avant moi je m’abstiens aussi, sauf si le texte m’a particulièrement plu ou touchée. Si je n’arrive pas à formuler mon ressenti je m’abstiens aussi jusqu’à trouver et parfois je ne trouve pas. Parce que je tente de faire des commentaires constructifs, si je ne parviens pas à expliquer pourquoi je n’aime pas, ce qui m’a retenue ou ce que j’ai aimé, j’évite, enfin j’essaye. Il m’arrive aussi, par manque de temps de privilégier les textes qui ont peu de commentaires et de ne pas commenter ceux qui en ont déjà beaucoup.
Voilà pour ma petite contribution à la question.
Ce qui m’intéresse de mon côté c’est de savoir ce qui incite à lire un texte, l’auteur ? Le titre ? Le nombre de commentaires ? Ou bien tout le monde fait comme moi et lit tout ?
Et puis ce qui incite à commenter ou pas. Ce qui rejoint peut-être un peu la question de Midnightrambler.
De mon côté je commente en fonction du texte et du temps que j’ai ou de ce que j’ai à dire. Par exemple si je ne trouve rien de positif à dire, je m’abstiens ; si je n’ai rien de plus à dire que ce qui a été dit avant moi je m’abstiens aussi, sauf si le texte m’a particulièrement plu ou touchée. Si je n’arrive pas à formuler mon ressenti je m’abstiens aussi jusqu’à trouver et parfois je ne trouve pas. Parce que je tente de faire des commentaires constructifs, si je ne parviens pas à expliquer pourquoi je n’aime pas, ce qui m’a retenue ou ce que j’ai aimé, j’évite, enfin j’essaye. Il m’arrive aussi, par manque de temps de privilégier les textes qui ont peu de commentaires et de ne pas commenter ceux qui en ont déjà beaucoup.
elea- Nombre de messages : 4894
Age : 51
Localisation : Au bout de mes doigts
Date d'inscription : 09/04/2010
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