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Re: Discussions autour de nos textes
Frédéric Prunier a écrit:longues cordes de nattes tressées
très dental tout ça, d'ailleurs tu vois toi on dirait du DDT de doigt ou du TTD de toi
La poésie D'Ailleurs
J'ai parlé de lettrisme plus tôt dans un sujet, et pour les intéressés il y a ce film -magnifique à mes sens- d'Isidore Isou Traité de bave et d'éternité dont je vous colle l'url in extenso (flemme des petites manipulations jolies) :
http://www.ubu.com/film/isou.html
On y entend au début récité un poème lettriste. Mais ceci va beaucoup plus loin que ce qui fait le débat avec l'équation d'Euler, puisque l'enjeu essentiel ici n'est pas la poésie mais le cinéma. Et plutôt que le cinéma : la vidéo. Qu'est ce qui est du cinéma, et qu'est ce qui est de la vidéo ? A une époque où les frontières entre les deux objets étaient claires ce "film" vient en bouleverser les habitudes. La vidéo étant ce qu'on projette dans une exposition, le film au cinéma, mais voilà que l'on fait face à un objet sans début, sans milieu, sans fin, projeté dans les cinémas et pourtant visibles dans certaines expositions cassant la démarcation habituelle. Aujourd'hui tout est plus confus du fait de l'équipement vidéo des individus qui peuvent décider du support où sera regardé "l'objet", quoi que l'intention de l'auteur, quand elle est connue, peut emporter la qualification de l'objet en film et en vidéo. Pour accentuer, encore, aujourd'hui le trouble à distinguer les deux on note aussi que les techniques sont devenues les mêmes. Enfin, je ne m'étale pas trop sur le sujet mais s'il y a des amateurs...
J'ai par ailleurs avec une amie étudiante à la Cambre pour son vernissage de l'an passé à Bruxelles - dont je sais qu'au moins un d'ici a eu le bonheur de témoigner (on assiste pas aux grandes choses, on y témoigne, haha) réalisé un court-métrage dans cette même veine. Dont le texte a été publié ici, dans la catégorie prose (Mon cinéma ! Quelle Tragédie pour ceux qui voudraient le relire). Nous n'avons pas encore mis notre travail en ligne pour des raisons de droit, nous en avons concédé l'exploitation (pauvre vidéo, traitée comme une esclave) à une (modeste) galerie.
http://www.ubu.com/film/isou.html
On y entend au début récité un poème lettriste. Mais ceci va beaucoup plus loin que ce qui fait le débat avec l'équation d'Euler, puisque l'enjeu essentiel ici n'est pas la poésie mais le cinéma. Et plutôt que le cinéma : la vidéo. Qu'est ce qui est du cinéma, et qu'est ce qui est de la vidéo ? A une époque où les frontières entre les deux objets étaient claires ce "film" vient en bouleverser les habitudes. La vidéo étant ce qu'on projette dans une exposition, le film au cinéma, mais voilà que l'on fait face à un objet sans début, sans milieu, sans fin, projeté dans les cinémas et pourtant visibles dans certaines expositions cassant la démarcation habituelle. Aujourd'hui tout est plus confus du fait de l'équipement vidéo des individus qui peuvent décider du support où sera regardé "l'objet", quoi que l'intention de l'auteur, quand elle est connue, peut emporter la qualification de l'objet en film et en vidéo. Pour accentuer, encore, aujourd'hui le trouble à distinguer les deux on note aussi que les techniques sont devenues les mêmes. Enfin, je ne m'étale pas trop sur le sujet mais s'il y a des amateurs...
J'ai par ailleurs avec une amie étudiante à la Cambre pour son vernissage de l'an passé à Bruxelles - dont je sais qu'au moins un d'ici a eu le bonheur de témoigner (on assiste pas aux grandes choses, on y témoigne, haha) réalisé un court-métrage dans cette même veine. Dont le texte a été publié ici, dans la catégorie prose (Mon cinéma ! Quelle Tragédie pour ceux qui voudraient le relire). Nous n'avons pas encore mis notre travail en ligne pour des raisons de droit, nous en avons concédé l'exploitation (pauvre vidéo, traitée comme une esclave) à une (modeste) galerie.
Azalées et volubilis, par moi
Vraiment merci à tous, vous avez saisi tous ce que je souhaité faire comprendre, et remarquer les erreurs que je me casse la tête à tenter de changer.
Je pensé bien à Verlaine, aux haïkus, étant donné que j'apprécie les formes courtes et rapides, les instantanés... Mais j'avais peur qu'on trouve ça trop brouillon, trop mal figniolé...
Je pensé bien à Verlaine, aux haïkus, étant donné que j'apprécie les formes courtes et rapides, les instantanés... Mais j'avais peur qu'on trouve ça trop brouillon, trop mal figniolé...
humpf- Nombre de messages : 247
Age : 29
Localisation : gsilva-89@hotmail.fr
Date d'inscription : 25/09/2012
Ave Fredericus Prunius, à Easter
Tout à fait Easter, Fred est un grand monsieur, toujours curieux et concerné, respectueux des autres. En plus si j'ai bien compris il vend des bouquins anciens.
Legone, merci d'utiliser ce fil pour vos réponses individuelles aux commentaires.
La Modération
Legone, merci d'utiliser ce fil pour vos réponses individuelles aux commentaires.
La Modération
Legone- Nombre de messages : 1121
Age : 51
Date d'inscription : 02/07/2012
Ave Fredericus Prunius, à Marvejols
Merci Verjemols, j'étais un peu lacs hier.
Legone, merci d'utiliser ce fil pour vos réponses individuelles aux commentaires.
La Modération
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La Modération
Legone- Nombre de messages : 1121
Age : 51
Date d'inscription : 02/07/2012
Frédéricius Prunius
Le mot thaler ne vient pas de talent mais de Sankt-Joachimsthal, nom de la vallée où était extrait l'argent qui servait à frapper cette monnaie.
Legone, dont les vers
ne sont pas contrefaits,
brille comme un thaler
dans l'art du contrepet.
Legone, dont les vers
ne sont pas contrefaits,
brille comme un thaler
dans l'art du contrepet.
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
Thaler de quoi, j'a l'air de quoi? Oui Tizef, source TLFi (http://www.cnrtl.fr/definition/thaler). T'as d'bnnes sources tu sais. J'ai dû me confonder avec un autre fil étymo (Ah! la mémoire n'est pas encore ce qu'elle a eu été).Tizef a écrit:Le mot thaler ne vient pas de talent mais de Sankt-Joachimsthal, nom de la vallée où était extrait l'argent qui servait à frapper cette monnaie.
A propos de contrepet,Tizef ça vient de quoi? De p'tit zef? Ou de P'tit Joseph? Je sens que je vais encore me planter d'étymon.
Re: Discussions autour de nos textes
Pas de souci, Verjemols, tout le monde peut se tromper, même les donneurs de leçon.
Un tizef est un brestois, comme un gone est un lyonnais ou un chti, un nordiste.
Un tizef est un brestois, comme un gone est un lyonnais ou un chti, un nordiste.
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
Verjemols ? Tiens, je n'y avais jamais pensé...
Pascal-Claude Perrault- Nombre de messages : 5422
Age : 64
Localisation : Paris, ah Paris, ses ponts, ses monuments et ses merdes de chiens !
Date d'inscription : 20/02/2012
Re: Discussions autour de nos textes
Autant je n'avais senti aucune agressivité dans la transformation de mon nom par Legone, autant je vous remercie de bien vouloir cessez ce petit jeu tout à fait injurieux que vient de lancer Tizef. Je rappelle en outre que c'est totalement contraire à la charte du site comme à la néthiquette. Je m'étonne qu'après 1H 34 la modération n'ait pas encore réagi à cette injure.
Par ailleurs Tizef je relève chez des donneurs de leçons le mauvais emploi du suffixe -iste qui à ma connaissance signifie "partisan de". Ainsi un chti n'est pas un Nordiste, mais un natif du Nord. Et ne sont nordistes que les partisans du Nord et plus particulièrement les supporters des clubs de foot du Nord-Pas de Calais (bonjour les références littéraires).
Par ailleurs Tizef je relève chez des donneurs de leçons le mauvais emploi du suffixe -iste qui à ma connaissance signifie "partisan de". Ainsi un chti n'est pas un Nordiste, mais un natif du Nord. Et ne sont nordistes que les partisans du Nord et plus particulièrement les supporters des clubs de foot du Nord-Pas de Calais (bonjour les références littéraires).
Re: Discussions autour de nos textes
Tizef, PCP, merci de respecter le choix par chacun de leur pseudo sur le site et de ne pas le déformer sans leur consentement.
Marvejols, la Modération a aussi droit à des pauses dominicales.
Sujet clos.
Merci.
Modération- Nombre de messages : 1362
Age : 18
Date d'inscription : 08/11/2008
à Lyra, pour rien
tu as peut être bien raison, on peut enlever des choses encore.
dans ce cas je garderais la seconde version, en enlevant les 4 lignes aprèsbien
parce que de liane en rien, c'est ça pour moi l'image qui rompt
dans ce cas je garderais la seconde version, en enlevant les 4 lignes après
parce que de liane en rien, c'est ça pour moi l'image qui rompt
Invité- Invité
à Igloo
oui j'aime bien ce verre, de façon sonore aussi
Après c'est un avis, je ne sais pas, les vers plus longs peuvent aussi constituer une respiration qui peut être la bienvenue, mais c'est vrai que pour ce "rien", j'aime autant l'apnée du tout court déstructuré :0)
Après c'est un avis, je ne sais pas, les vers plus longs peuvent aussi constituer une respiration qui peut être la bienvenue, mais c'est vrai que pour ce "rien", j'aime autant l'apnée du tout court déstructuré :0)
L'dole : pour Tizef
en effet, j'ai envie de faire un sonnet dans les règles de l'art, tu peux m'expliquer ?Tizef a écrit:Est-ce seulement la rime onyx/styx, ou la quête de l'esthétique ? Je trouve à ce poème un petit air de Mallarmé
Mais on est loin du compte, car si la disposition des strophes est celle d'un sonnet, le rythme ne respecte pas la métrique.
Pour beaucoup de contemporains, ce terme est un gros mot. Comme eux, tu peux donc faire de la poésie libérée et laisser ton texte en l'état.
Mais, si tu souhaites progresser et apporter à ce poème quelques ajustement pour qu'il devienne un sonnet dans les règles de l'art, tu fais signe.
humpf- Nombre de messages : 247
Age : 29
Localisation : gsilva-89@hotmail.fr
Date d'inscription : 25/09/2012
L'idole, à Tizef
ah oui ! fautes d'inattentions lors de la dernière relecture...
ah c'est trop bête... et je me rend compte que le poème n'a de sens que pour moi, je n'ai pas était clair et en plus il y a certaines choses qui sont laides...
bon, à refaire. Merci pour le commentaire et la lecture !
Humpf, merci de venir ici répondre à chaque commentateur.
La Modération
ah c'est trop bête... et je me rend compte que le poème n'a de sens que pour moi, je n'ai pas était clair et en plus il y a certaines choses qui sont laides...
bon, à refaire. Merci pour le commentaire et la lecture !
Humpf, merci de venir ici répondre à chaque commentateur.
La Modération
humpf- Nombre de messages : 247
Age : 29
Localisation : gsilva-89@hotmail.fr
Date d'inscription : 25/09/2012
Pierre
Colline Dé, merci pour la correction ... claque claque c'est le pied chaussé du soulier qui claque.
"en allant à la maison" est effectivement plombant à l'oreille ... vais réfléchir ...
Quant aux rimes et aux pieds j'y attache beaucoup d'importance, j'aime leurs musicalités. Concernant petit Pierre, il souhaite être un gamin normal et surtout pas marginal.
Je ne pense pas être une personne aigrie, ma plume sans doute.
La semaine prochaine je mettrait un texte sur Océane, car Pierre et Océane sont les seuls protagonistes de mes écrits.
Merci à vous 2 pour votre regard extérieur.
"en allant à la maison" est effectivement plombant à l'oreille ... vais réfléchir ...
Quant aux rimes et aux pieds j'y attache beaucoup d'importance, j'aime leurs musicalités. Concernant petit Pierre, il souhaite être un gamin normal et surtout pas marginal.
Frédéric Prunier, les explications du pourquoi tant de haine, se trouvent au fil des pages de mon recueil, en fait non, il y'a constatation de haine et ce qu'elle engendre sur Pierre.Frédéric Prunier a écrit:presque gênant par l'absence d'explication du pourquoi tant de haine
... vous êtes quand même encore jeune pour être déjà aigri...:-) non?
volontaire? involontaire?
je suis impatient de lire la semaine prochaine votre prochain texte
pour mieux vous comprendre
Je ne pense pas être une personne aigrie, ma plume sans doute.
La semaine prochaine je mettrait un texte sur Océane, car Pierre et Océane sont les seuls protagonistes de mes écrits.
Merci à vous 2 pour votre regard extérieur.
Océacide- Nombre de messages : 106
Age : 45
Date d'inscription : 17/10/2012
Pierre
"Mine déconfite à la vue de sa maison" ... cela sonne mieux me semble t'il.
Pour répondre à colline Dé, claque est le bruit du soulier dont est chaussé son pied.
Concernant les rimes, je n'aime à écrire que des poèmes avec rimes et pieds, pour la musicalité qu'ils m'apportent.
Petit Pierre à une histoire, je vous ai livré là sa présentation uniquement.
Merci d'avoir pris le temps de lire.
___________________________________________________________
< Prière pour l'avenir de bien vouloir réagir ici aux commentaires, cela évitera de faire remonter ou maintenir vous-même votre texte en haut de page si vous répondez souvent aux intervenants.
La Modération >
.
Pour répondre à colline Dé, claque est le bruit du soulier dont est chaussé son pied.
Concernant les rimes, je n'aime à écrire que des poèmes avec rimes et pieds, pour la musicalité qu'ils m'apportent.
Petit Pierre à une histoire, je vous ai livré là sa présentation uniquement.
Merci d'avoir pris le temps de lire.
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Océacide- Nombre de messages : 106
Age : 45
Date d'inscription : 17/10/2012
La bosse de la poésie
Merci à Post scriptum d'avoir commenté mon petit pouem manquant d'intérêt. Pour les précieuses c'est pas vraiment le siècle de molle hier mais bon. J'eusse plutôt dit Edmond Roustons que j'adore.
Legone- Nombre de messages : 1121
Age : 51
Date d'inscription : 02/07/2012
Nos mouettes : pour Coline Dé
Merci, oui, c'est vrai il y a surement un peu trop de "plus nul", mais je ne sais pas trop encore comment rectifier le tir, c'est pourquoi je l'ai proposé (en premier, attention) à votre lecture.
Et, de plus, "cerf aux longues cornes" n'est pas tout à fait une hérésie (je viens de regarder dans le dico pour en comprendre le sens, merci de me faire en plus apprendre des mots nouveaux!!) car toute la phrase est directement inspirée de la pièce de Tchekhov La Mouette (d'où le titre de mon poème, en partie) :
"Les hommes, les lions, les aigles, les perdrix, les cerfs aux longues cornes, les oies, les araignées, les poissons, silencieux habitants des eaux, les étoiles de mer et les êtres que l'on peut distinguer à l'œil nu – en un mot toutes les vies, toutes les vies, toutes les vies, ayant achevé leur triste cycle, se sont éteintes…" (Acte I)
Voili, voilou.....
Et si dans "ta dernière phrase" tu signifies : "néant des jeux de lune et d'arène" je ne mérite pas grand succès puisque j'ai copié Garcia Lorca et le dernier vers de sa Romance de la Guardia Civil : "Juego de luna y arena" (littéralement "jeu de lune et de sable")
Aucun mérite pour moi...
Et, de plus, "cerf aux longues cornes" n'est pas tout à fait une hérésie (je viens de regarder dans le dico pour en comprendre le sens, merci de me faire en plus apprendre des mots nouveaux!!) car toute la phrase est directement inspirée de la pièce de Tchekhov La Mouette (d'où le titre de mon poème, en partie) :
"Les hommes, les lions, les aigles, les perdrix, les cerfs aux longues cornes, les oies, les araignées, les poissons, silencieux habitants des eaux, les étoiles de mer et les êtres que l'on peut distinguer à l'œil nu – en un mot toutes les vies, toutes les vies, toutes les vies, ayant achevé leur triste cycle, se sont éteintes…" (Acte I)
Voili, voilou.....
Et si dans "ta dernière phrase" tu signifies : "néant des jeux de lune et d'arène" je ne mérite pas grand succès puisque j'ai copié Garcia Lorca et le dernier vers de sa Romance de la Guardia Civil : "Juego de luna y arena" (littéralement "jeu de lune et de sable")
Aucun mérite pour moi...
Jean Ahlmas- Nombre de messages : 21
Age : 28
Date d'inscription : 17/10/2012
Arguments
Je fais ça parce que le texte me l'a demandé. Je ne comprends pas : le blanc est-il difficile à lire ?
_____________________________________________________________________
< Prière de bien vouloir répondre aux commentaires ici, si vous désirez réagir souvent, ceci afin d'éviter de maintenir ou faire remonter votre propre texte vous-même en haut de page au détriment des autres textes. Merci.
La Modération >
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< Prière de bien vouloir répondre aux commentaires ici, si vous désirez réagir souvent, ceci afin d'éviter de maintenir ou faire remonter votre propre texte vous-même en haut de page au détriment des autres textes. Merci.
La Modération >
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Vladimimi- Nombre de messages : 21
Age : 30
Date d'inscription : 26/09/2012
Re: Discussions autour de nos textes
Bon, j'ai posté un texte, cela faisait un longtemps, j'attends vos petites flèches, impatiente ... en plus, je suis bonne élève, j'ai lu et commenté plusieurs textes en prenant sur mon temps de ... j'ai honte, je ne vous dis pas !
Pussicat- Nombre de messages : 4846
Age : 57
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
Re: Discussions autour de nos textes
cette (non) rime est cette dague et cette fouguePussicat a écrit:Bel exercice ambitieux,
et pourtant, n'y voyez-vous pas une erreur ?
+++
Quand son bouton a point et déborde de sève.
Ni avant, ni après, attente longue ou brève !
La rose ce matin a brandi quelque dague
Pour ta main trop pressée d’enfin la posséder.
Sache garder pourtant cette première fougue
Si tu veux que ton nez puisse s’y attarder.
+++
Je ne retiens que le son, et non la rime
________________________________________________________________
< Note à l'auteur : un énième fois, prière de bien vouloir répondre ici aux commentaires, si vous souhaitez intervenir souvent ou systématiquement aux messages suscités par vos oeuvres.
La Modération >
.
Nathanaël Zenou- Nombre de messages : 206
Age : 44
Date d'inscription : 02/05/2010
Re: Discussions autour de nos textes
En plus, moije me plie scrupupulululeusement au règlement !
Pussicat- Nombre de messages : 4846
Age : 57
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
A la façon de Ronsard
|quote="Nathanaël Zenou"]cette (non) rime est cette dague et cette fougue[/quote]
dans l'intention, oui, à l'oreille, non
dans l'intention, oui, à l'oreille, non
Pussicat- Nombre de messages : 4846
Age : 57
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
Re: Discussions autour de nos textes
pussinette,
si mes cordes d'algues vertes te ressemblent
c'est d'un heureux hasard que nous les écrivons ensemble...
(j'ai écrit ce texte il y a déjà quelques années... (4/5 ans ???)
amitié à toi
si mes cordes d'algues vertes te ressemblent
c'est d'un heureux hasard que nous les écrivons ensemble...
(j'ai écrit ce texte il y a déjà quelques années... (4/5 ans ???)
amitié à toi
re : les algues vertes se ramassent à la pelle
je le sais fort bien ; mes algues ont été ramassées il y a trois années et postées là où tu sais, tu m'as répondu sur ce même thème d'un poème délicieux fort ressemblant à celui que tu viens de poster ... pouf, pouf !
Pussicat- Nombre de messages : 4846
Age : 57
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
oup's
et amitiés à toi-tu égalamment,
Pussicat- Nombre de messages : 4846
Age : 57
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
Re: Discussions autour de nos textes
poussi,
j'me souviens pas de cet échange de 'r'fait l'monde,
mais par contre
je me souviens que c'est la lecture de la Loreleï du gars Polinaire qu'est la cause de c'te suite alcoolisée à pisser dans l'port et d'gueuler contr'le sort !!!
tu as toujours ton texte de not' echangisme poétique ?
tu l'copies-colle ???
j'me souviens pas de cet échange de 'r'fait l'monde,
mais par contre
je me souviens que c'est la lecture de la Loreleï du gars Polinaire qu'est la cause de c'te suite alcoolisée à pisser dans l'port et d'gueuler contr'le sort !!!
tu as toujours ton texte de not' echangisme poétique ?
tu l'copies-colle ???
Re: Discussions autour de nos textes
là, tu es dur... je vais faire un effort (je suis une vraie fourmi : j'entasse, j'entasse...) ... je t'envoie ça dès que... en revanche, si je me suis trompée (impossibeule) tu n'auras rien d'autre qu'une très grande affliction à soigner, ce n'est pas grave, je connais un remède.
Pussicat- Nombre de messages : 4846
Age : 57
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
Re: Discussions autour de nos textes
et pis, tout doux Fred : "not' echangisme poétique" !!!
la tendance SM qui souffle sur les sorties littéraires du moment te gonflent les montgolfières ou quoi ?
la tendance SM qui souffle sur les sorties littéraires du moment te gonflent les montgolfières ou quoi ?
Pussicat- Nombre de messages : 4846
Age : 57
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
A Phylisse : Retour (l'Imprudence)
Je te remercie pour ta lecture détaillée.
Je vais répondre à tes deux interrogations :
"Ce vers : Arbres au parc légers flottant me semble un peu compliqué dans ses accords, j'ai dû le relire plusieurs fois pour le comprendre."
Je suis entièrement d'accord avec toi mais comprends qu'il m'est difficile de bouger ce texte construit d'un seul bloc,
"Arbres au parc légers flottant..." est à prendre comme une résurgence, je ne peux pas m'approcher plus près.
"Dessous le pin noir Sort du bois" : la majuscule à "sort" est-elle volontaire ?
La majuscule est volontaire. Elle est la marque d'une ponctuation non inscrite au milieu de la phrase et fait sens : "Sort du bois..." le jardinier / rupture. Imagine un point après "pin noir".
J'aimerais qu'on lise ce texte comme tu l'as fait, d'une seule traite, à la va-vite, comme un slam, et puis qu'on y revienne, si on a envie.
Encore merci Phylisse
Je vais répondre à tes deux interrogations :
"Ce vers : Arbres au parc légers flottant me semble un peu compliqué dans ses accords, j'ai dû le relire plusieurs fois pour le comprendre."
Je suis entièrement d'accord avec toi mais comprends qu'il m'est difficile de bouger ce texte construit d'un seul bloc,
"Arbres au parc légers flottant..." est à prendre comme une résurgence, je ne peux pas m'approcher plus près.
"Dessous le pin noir Sort du bois" : la majuscule à "sort" est-elle volontaire ?
La majuscule est volontaire. Elle est la marque d'une ponctuation non inscrite au milieu de la phrase et fait sens : "Sort du bois..." le jardinier / rupture. Imagine un point après "pin noir".
J'aimerais qu'on lise ce texte comme tu l'as fait, d'une seule traite, à la va-vite, comme un slam, et puis qu'on y revienne, si on a envie.
Encore merci Phylisse
Pussicat- Nombre de messages : 4846
Age : 57
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
Re: Discussions autour de nos textes
Un éclaircissement qui me va très bien, Pussicat, et dont je me doutais un peu.
Oui, il faut lire ce texte comme un slam, c'est ainsi qu'il offre son ampleur, ses couleurs, sa texture, sa poésie, et je comprends que tu ne puisses rien modifier.
Oui, il faut lire ce texte comme un slam, c'est ainsi qu'il offre son ampleur, ses couleurs, sa texture, sa poésie, et je comprends que tu ne puisses rien modifier.
Phylisse- Nombre de messages : 963
Age : 62
Localisation : Provence
Date d'inscription : 05/05/2011
RETOUR (l'Imprudence)
RETOUR (l'Imprudence)
seconde version ... pour Phylisse,
Aucune humeur mélancolique
Ne vient distraire l’immensité
Du jardin vert rasé de près
Où se griffèrent la femme et l'homme.
Aucune humeur mélancolique
Ne vient distraire l’immensité
Gavée de bleu ciel monochrome
Où se greffèrent la femme et l'homme.
L’immensité, gavée de bleu,
Rejoint la ligne amère et verte
Des tuiles mangées et rouillées
De la mer endeuillée de mousse.
Arbres au parc, légers, flottant
Sur l'onde aux brisures solitaires ;
La nature morte au tableau
Peint ses pages de mousses jaunes,
De verticalités plus qu’humaines.
Droit, massif, lisse, effeuillé, sec,
Squelettique et noueuse hauteur
Aléatoire ; pin noir, saison,
Saison des morts où l'automne est
Dessous le pin noir. Sort du bois,
Du jardin vert rasé de frais,
Comme sorti de nulle part,
Un grand fantôme, un jardinier.
Puis il s'assied sur le banc blanc
Face au grand peuplier fourbu.
Ses pieds s'enfoncent dans la terre
Ocre du parc.
Ses mains caressent la surface.
L'usure du banc blanc
Lisse sa vallée.
Chaque jour, il regarde au loin
L'aube fichée sous l'horizon,
l'Aurore à peine déchirée,
Et le soleil, enfin, monter, ruinant d'un rayon ses espoirs.
Il est temps, dit-il, de couper,
De soigner mon âme distraite
Et de partir.
seconde version ... pour Phylisse,
Aucune humeur mélancolique
Ne vient distraire l’immensité
Du jardin vert rasé de près
Où se griffèrent la femme et l'homme.
Aucune humeur mélancolique
Ne vient distraire l’immensité
Gavée de bleu ciel monochrome
Où se greffèrent la femme et l'homme.
L’immensité, gavée de bleu,
Rejoint la ligne amère et verte
Des tuiles mangées et rouillées
De la mer endeuillée de mousse.
Arbres au parc, légers, flottant
Sur l'onde aux brisures solitaires ;
La nature morte au tableau
Peint ses pages de mousses jaunes,
De verticalités plus qu’humaines.
Droit, massif, lisse, effeuillé, sec,
Squelettique et noueuse hauteur
Aléatoire ; pin noir, saison,
Saison des morts où l'automne est
Dessous le pin noir. Sort du bois,
Du jardin vert rasé de frais,
Comme sorti de nulle part,
Un grand fantôme, un jardinier.
Puis il s'assied sur le banc blanc
Face au grand peuplier fourbu.
Ses pieds s'enfoncent dans la terre
Ocre du parc.
Ses mains caressent la surface.
L'usure du banc blanc
Lisse sa vallée.
Chaque jour, il regarde au loin
L'aube fichée sous l'horizon,
l'Aurore à peine déchirée,
Et le soleil, enfin, monter, ruinant d'un rayon ses espoirs.
Il est temps, dit-il, de couper,
De soigner mon âme distraite
Et de partir.
Pussicat- Nombre de messages : 4846
Age : 57
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
Du lait chaud pour les enfants de personne
Merci.
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Au sujet des titres
Certains titres sont des poèmes à part entière.
Phylisse, qui nous avait composé un joli texte en y insérant des titres, en faisant un ensemble très cohérent, trouvera sûrement matière à inspiration.
J'en ai relevé trois :
Ce que dit le souffle des rivières (art-ri)
Soleil amer, lueurs mouillées,rayons gelés (art-ri)
Le ciel fait gueuler des refrains en détresse (Frédéric Prunier)
Phylisse, qui nous avait composé un joli texte en y insérant des titres, en faisant un ensemble très cohérent, trouvera sûrement matière à inspiration.
J'en ai relevé trois :
Ce que dit le souffle des rivières (art-ri)
Soleil amer, lueurs mouillées,rayons gelés (art-ri)
Le ciel fait gueuler des refrains en détresse (Frédéric Prunier)
Invité- Invité
Nos mouettes : pour Pussicat
Apparemment, on en apprends tous les jours, je ne connaissais pas cette "anaphore de notre président" (j'ai donc fait une recherche et maintenant je la connais). je ne pense pas m'en être inspiré, mais si tu le pense, c'est peut-être bien mon subconscient qui me l'a dicté...
Jean Ahlmas- Nombre de messages : 21
Age : 28
Date d'inscription : 17/10/2012
Nos mouettes : pour Phylisse
"Chant du bouc" est en fait l'étymologie du mot "tragédie" puisqu'en grec cela se dit "τραγῳδία" (tragôidía) composé de "τράγος" (tragos) "bouc" et de "ᾠδή" (ôidế) "chant".
Donc littéralement, tragédie se dit en grec "chant du bouc" (on pense au sacrifice d'un bouc, et de son cri d'agonie, en l'honneur de Dionysos)
Te voilà donc éclairée sur ce mystérieux "chant du bouc" ^^
Donc littéralement, tragédie se dit en grec "chant du bouc" (on pense au sacrifice d'un bouc, et de son cri d'agonie, en l'honneur de Dionysos)
Te voilà donc éclairée sur ce mystérieux "chant du bouc" ^^
Jean Ahlmas- Nombre de messages : 21
Age : 28
Date d'inscription : 17/10/2012
Arguments
@coline : lorsque chaque vers ou fragment de strophe exprime une idée, alors chaque idée est signe de l'autre parce qu'elle la suit comme la fumée est signe du feu, mais ces relations ne suivent pas toujours une logique transparente, celle de la nature ou plutôt, celle de la rime ou de ce qu'exprime le propos. cette logique, c'est une logique d'image. les images se tiennent par la main, vous n'avez pas fini d'en ouvrir une que déjà l'autre présente sa porte. marcher dans un poème est un dédale, les images vous regardent. je convoque mes propres témoins. ce sont des témoins du monde sensible dans le dédale langagier qu'est le poème. les images permettent de ne pas se perdre, elles ont un visage connu. elles sont toutes de la même famille, elles se connaissent toutes, elles portent le même linge, ainsi aucune n'a avec l'autre de raisons de ne la suivre. il y a de l'arbitraire et du hasard dans cette démarche. il faut évoquer le rôle de la mémoire, celui de la sensibilité (une sorte de mémoire sélective à l'instant t = maintenant, la mémoire étant toujours sélective par ailleurs) et enfin celui de la lecture, qui est encore une façon de décliner les deux autres mais dans un médium, cette fois, plus précis, plus étroit. j'espère que vous me comprenez mieux. en effet, tout ceci était une rigoureuse tentative de clarification.
Vladimimi- Nombre de messages : 21
Age : 30
Date d'inscription : 26/09/2012
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