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igloo
Je sais !
j'ai remarqué aussi
j'ignore le pourquoi du comment
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Soupe au caillou
Le texte de Narbah m'a fait tilter sur ce conte magnifique:
http://lasoupeauxcailloux.ij-poitou-charentes.org/page.php?id=91&nosso=1
qui inspira d'autres personnes sur une idée tout-à-fait conviviale: voyez !
http://www.livre.alpes-haute-provence.fr/wp-content/uploads/2012/03/Jean-fait-la-soupe1.jpg
http://lasoupeauxcailloux.ij-poitou-charentes.org/page.php?id=91&nosso=1
qui inspira d'autres personnes sur une idée tout-à-fait conviviale: voyez !
http://www.livre.alpes-haute-provence.fr/wp-content/uploads/2012/03/Jean-fait-la-soupe1.jpg
Polixène- Nombre de messages : 3298
Age : 62
Localisation : Dans un pli du temps . (sohaz@mailo.com)
Date d'inscription : 23/02/2010
Double whisky - Message pour Frédéric Prunier
MerciFrédéric Prunier a écrit:la deuxième version ?
- pourquoi pas...
à la lecture, ça me traîne un peu la psycho de l'auteur qui dit: ...je pensais que je ne pensais plus à cause de trop penser que tu me faisais penser... sinon, ça se tient... mais cela perd un petit peu maintenant en poétique ce que cela gagne en cohérence...
arch.. che suis dûr avec toi ....))))
(passe à autre chose, celui-là d'après moi, c'est un très bon poème de travail)
amitié
Mais c'est quoi celons toi un poème de travail?
Re: Discussions autour de nos textes
On demande aux auteurs de bien vouloir répondre ICI s'ils veulent engager un échange avec un commentateur. Cela afin d'éviter que le texte remonte souvent ou reste en haut de page au détriment des textes des autres auteurs.herve.lyne@live.fr a écrit:Merci
Mais c'est quoi celons toi un poème de travail?
Merci d'en tenir compte à l'avenir.
Modération- Nombre de messages : 1362
Age : 18
Date d'inscription : 08/11/2008
.
D'autre part, prière de bien vouloir surveiller votre orthographe, même dans vos réponses aux commentaires...
Car lire "celons" écrit ainsi n'est pas très gratifiant pour notre site.
Relisez-vous, faites-vous relire, utilisez un correcteur d'orthographe ou servez-vous d'un site comme www.bonpatron.com
Merci de votre compréhension.
Modération- Nombre de messages : 1362
Age : 18
Date d'inscription : 08/11/2008
Re: Discussions autour de nos textes
Par contre là c'est un peu abusé, excusez moi. Je crois pas faire du mal à votre site en ne vérifiant pas mon orthographe tout les deux mots. Y en a pour qui écrire correctement n'est pas inné et c'est un peu désagréable d'entendre dire qu'on ternit l'image de votre site en mettant un s à selon. On peut pas toujours être parfait alors essayez de prendre les gens tels qu'ils sont au lieu de les reprendre et de les réprimander tout le temps.
.
On vient de vous demander de ne pas répondre ici.
Message à nouveau déplacé.
Prière de ne pas réitérer : ni les messages derrière votre texte ni vos réactions à nos propres remarques sur le bon français à utiliser ici.
Et "Tout le temps" est de trop...
Merci.
Modération- Nombre de messages : 1362
Age : 18
Date d'inscription : 08/11/2008
Re: Discussions autour de nos textes
laisse faire hervé, quand la modémodèrent, le poètepète... hahaha!!!!herve.lyne@live.fr a écrit:Merci
Mais c'est quoi celons toi un poème de travail?
(à la modération... ceci est juste pour détendre l'atmosphère et ne pas trop nous priver, nous les véliens vieillissant, de sang frais poétique...)
donc mon cher hervé,
un poème de travail, est d'après moi et pour moi,
un poème dont j'accepte l'imperfection, dont je sais qu'il ne sera pas représentatif de la poésie qui me transpire,
ou
un instant de curiosité vers une route dont je n'ai pas forcément envie de transformer en autoroute
ou
une difficulté rencontrée dans l'élaboration d'un texte, que je force un peu en travail, et que je re-cisèle (j'en ai comme cela quelques uns que je retouche au bout de dix ou vingt ans, voir tous les six mois pendant trente ans...
un poème de travail, c'est un poème dont on ressent plus ou moins confusément qu'il n'est pas encore abouti ou achevé... qu'il lui manque quelque chose, ou que sa formulation n'est pas encore la bonne.... etc....
à PCP Exo Les Cailloux
bonsoir Pascal-Claude,
Ce n'est pas l'"Intérieur d'un junky", mais d'UNE junkie ! son copain, ami, compagnon, amant, la trouve morte chez elle ... le "JE" est masculin ... tu as su lire les images et les références, mais tu es passé à côte de pas mal de choses, et je ne vois pas en quoi ce texte "est relativement hors sujet dans le cadre de l'exo" ?
Je ne suis pas d'accord ... j'ai respecté la consigne, le thème est traité, et ce caillou que l'amant glisse dans sa poche, cause de la mort de son amie, deviendra, peut-être, sienne ... à moins qu'il choisisse la vie, ce que je lui conseille.
Ce n'est pas l'"Intérieur d'un junky", mais d'UNE junkie ! son copain, ami, compagnon, amant, la trouve morte chez elle ... le "JE" est masculin ... tu as su lire les images et les références, mais tu es passé à côte de pas mal de choses, et je ne vois pas en quoi ce texte "est relativement hors sujet dans le cadre de l'exo" ?
Je ne suis pas d'accord ... j'ai respecté la consigne, le thème est traité, et ce caillou que l'amant glisse dans sa poche, cause de la mort de son amie, deviendra, peut-être, sienne ... à moins qu'il choisisse la vie, ce que je lui conseille.
Pussicat- Nombre de messages : 4846
Age : 57
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
Remerciements Exo Les Cailloux et plus ...
Et puis, tant que j'y suis, je tiens à remercier tous les lecteurs qui ont laissé un message, CROISIC, Legone, Rebecca, Polixène, coline Dé .. PCP, c'est d'jà fait ...
Cela ne fait que six mois que je suis ici mais je mesure le travail réalisé, en grande partie grâce à vous, à vos textes, à vos corrections, soutiens, critiques, et à cet "espace d'écriture" qui m'offre, au travers les exercices par exemple, le moyen de progresser ... je suis fainéante ... alors chapeau à tous ceux qui font vivre cet espace si.. zen.
Cela ne fait que six mois que je suis ici mais je mesure le travail réalisé, en grande partie grâce à vous, à vos textes, à vos corrections, soutiens, critiques, et à cet "espace d'écriture" qui m'offre, au travers les exercices par exemple, le moyen de progresser ... je suis fainéante ... alors chapeau à tous ceux qui font vivre cet espace si.. zen.
Pussicat- Nombre de messages : 4846
Age : 57
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
Re: Discussions autour de nos textes
Toutes mes excuses, chère Madame, Rebecca m'a informé à posteriori que le crack était le caillou, donc tout va bien, sauf pour la défunte.Pussicat a écrit:bonsoir Pascal-Claude,
je ne vois pas en quoi ce texte "est relativement hors sujet dans le cadre de l'exo" ?
Je ne suis pas d'accord ... j'ai respecté la consigne, le thème est traité, et ce caillou que l'amant glisse dans sa poche, cause de la mort de son amie, deviendra, peut-être, sienne ... à moins qu'il choisisse la vie, ce que je lui conseille.
Mes amitiés.
Pascal-Claude Perrault- Nombre de messages : 5422
Age : 64
Localisation : Paris, ah Paris, ses ponts, ses monuments et ses merdes de chiens !
Date d'inscription : 20/02/2012
Re: Discussions autour de nos textes
acceptées...
Pussicat- Nombre de messages : 4846
Age : 57
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
Re: Discussions autour de nos textes
Mes condoléances...
Pascal-Claude Perrault- Nombre de messages : 5422
Age : 64
Localisation : Paris, ah Paris, ses ponts, ses monuments et ses merdes de chiens !
Date d'inscription : 20/02/2012
Re: Discussions autour de nos textes
Ah Marvejols, j'aime beaucoup le cantique de Ruth, que je trouve flauberien n’étant pas disposé à entrer dans la dimension religieuse du texte.
Quand à ma présence sur Ve, je vous suis fidèle dans un silence bienfaiteur qui permet de passer la main pendant que suis très occupé au Pandabistrot de la rivière kwai, http://yycafe-asia.com/october/
Quand à ma présence sur Ve, je vous suis fidèle dans un silence bienfaiteur qui permet de passer la main pendant que suis très occupé au Pandabistrot de la rivière kwai, http://yycafe-asia.com/october/
Invité- Invité
Réponse à Gemüth à propos de Ballets grotesques et quotidiens
Merci d'avoir pris le temps de lire ma prose poético-trouducultesque.
C'est vrai : après des années de déni j'ai lu les deux premiers Céline sans même me choper la migraine. Petite musique comme ils disent.
Bon... Rires. Et merci la prose-poésie est foireuse mais le désespoir lui est very dick ( comme dirait un rocker à banane)
C'est vrai : après des années de déni j'ai lu les deux premiers Céline sans même me choper la migraine. Petite musique comme ils disent.
Bon... Rires. Et merci la prose-poésie est foireuse mais le désespoir lui est very dick ( comme dirait un rocker à banane)
Legone- Nombre de messages : 1121
Age : 51
Date d'inscription : 02/07/2012
Belle charnelle et sexuelle, réponse à igloo
Hum, à dire vrai, je ne sais pas réellement où je voulais en venir, et suis consciente que ma réponse ne fait pas vraiment avancer le schmilblick. C'est vrai, je me sus focalisée un peu trop sur un seul commentaire, tout simplement parce que je ne sais pas trop comment l'interpréter ! Mais c'est le jeu après tout.
Je pense que ce que je souhaitais exprimer à travers ma réponse, c'est simplement que je suis assez satisfaite des retours qui m'ont été faits, même s'ils ne sont pas... comment dire... réellement "critiques". Mais je suis tout à fait consciente qu'un forum n'est pas forcément le bon endroit pour discuter de textes, c'est tellement plus humain et agréable de le faire autour d'un café...
Je pense que ce que je souhaitais exprimer à travers ma réponse, c'est simplement que je suis assez satisfaite des retours qui m'ont été faits, même s'ils ne sont pas... comment dire... réellement "critiques". Mais je suis tout à fait consciente qu'un forum n'est pas forcément le bon endroit pour discuter de textes, c'est tellement plus humain et agréable de le faire autour d'un café...
Hue- Nombre de messages : 51
Age : 36
Date d'inscription : 31/08/2008
Belle charnelle et sexuelle, réponse à igloo
d'accord, là je comprends mieux c'est plus clair ainsi. merci.
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
Moi je vous dis : je n'en sors pas de toutes ces caillasses ! Je redoute Vers Proses et sa caravane de participants.
Pascal-Claude Perrault- Nombre de messages : 5422
Age : 64
Localisation : Paris, ah Paris, ses ponts, ses monuments et ses merdes de chiens !
Date d'inscription : 20/02/2012
PCP : Vers Proses
je zappe, tu n'auras pas à me lire ... quelle est ta crainte, l'avalanche ?
Pussicat- Nombre de messages : 4846
Age : 57
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
Nostalgie - Pour humpf
MERCI avant tout.
c'est pas seulement de la tristesse quand on parle de nostalgie ou plutôt quand j'en parle c'est un peu le regret d'une époque et la peut être que le titre le plus juste pourrait être réveil mais j'ai préféré la nostalgie car je regrette un temps passé...
c'est pas seulement de la tristesse quand on parle de nostalgie ou plutôt quand j'en parle c'est un peu le regret d'une époque et la peut être que le titre le plus juste pourrait être réveil mais j'ai préféré la nostalgie car je regrette un temps passé...
moopha- Nombre de messages : 4
Age : 33
Date d'inscription : 14/05/2011
Re: Discussions autour de nos textes
Un grand merci, Coline, pour ton commentaire sur "Le fantôme de Tragabuches".
Pour ce qui est des "vierges effarouchées", je suis d'accord, c'est une tournure un peu cliché. Par contre, c'est dur d'être "politiquement correct" lorsqu'on décrit un fantasme... Désolé pour le machisme, avec -:) inclus, sur ce coup là.
En tout cas, tu as mérité amplement mérité ton bouquet d'agave, on a beau être machiste, on n'en est pas moins un gentleman.... (rires. Non, sérieux, en fait je pensais au dernier repas de Jacques Brel sur ce passage, tu sais : A mon dernier repas / Je veux voir mon âne / Mes poules et mes oies / Mes vaches et mes femmes // A mon dernier repas /
Je veux voir ces drôlesses / Dont je fus maître et roi / Ou qui furent mes maîtresses)
Pour ce qui est des "vierges effarouchées", je suis d'accord, c'est une tournure un peu cliché. Par contre, c'est dur d'être "politiquement correct" lorsqu'on décrit un fantasme... Désolé pour le machisme, avec -:) inclus, sur ce coup là.
En tout cas, tu as mérité amplement mérité ton bouquet d'agave, on a beau être machiste, on n'en est pas moins un gentleman.... (rires. Non, sérieux, en fait je pensais au dernier repas de Jacques Brel sur ce passage, tu sais : A mon dernier repas / Je veux voir mon âne / Mes poules et mes oies / Mes vaches et mes femmes // A mon dernier repas /
Je veux voir ces drôlesses / Dont je fus maître et roi / Ou qui furent mes maîtresses)
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
Ah lala m'en parle pas !Par contre, c'est dur d'être "politiquement correct" lorsqu'on décrit un fantasme...
Les fantasmes sont une matière hautement fissile et difficile !
Merci pour le bouquet.
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
meuh non ! Vincent, c'est un hidalgo !coline Dé a écrit:C'est vrai : t'es un gentleman !
Invité- Invité
GODMØRKE LINDA
C'est pas de ma faute : Linda dans Valérian t'as vu son décolleté ???humpf a écrit:La nuit les avenues sont trop étroites
Je me prends les pieds dans mon ombre
Mon gosier est un Sahara
Mais les bars ouverts sont des mirages sur la route de la soif
Il y a toujours un chien d’ivrogne qui connaît mon adresse
Chez moi m’attend Linda
La soucoupe dans l’égouttoir
Linda et ses mamelles
voilà un joli tableau orientaliste (la route de la soif est un tableau je crois). le reste me déplaît, je crois que les extra terrestres rebutent beaucoup de poètes
< Merci de bien vouloir réagir ici si vous voulez intervenir systématiquement à chaque commentaire sur vos textes.
La Modération >
.
Legone- Nombre de messages : 1121
Age : 51
Date d'inscription : 02/07/2012
Le corsaire - Legone
Merci pour votre commentaire Legone,
Votre remarque pour le verbe boursoufler est exacte ! Je vous en remercie et corrige mon manuscrit.
Pour ce qui est de la seconde remarque, je l'ai envisagée après vous avoir lu. Réflexion faite, je préfère tout de même garder "en bois" : mettre "de bois" engendrerait une répétition un petit peu fâcheuse avec les "deux flancs" du même vers. De plus, je tiens à ce "en" pour le sens du texte : il s'agit là de la métamorphose d'un homme qui devient navire, et d'un navire qui devient homme. Garder "en bois", c'est peut-être suggérer cette consubstantialité en insistant bien sur la relation qui se noue, au gré des vents, entre la chair et la souche, c'est-à-dire entre la vie et la mort.
Merci encore de votre lecture et de votre attention.
Votre remarque pour le verbe boursoufler est exacte ! Je vous en remercie et corrige mon manuscrit.
Pour ce qui est de la seconde remarque, je l'ai envisagée après vous avoir lu. Réflexion faite, je préfère tout de même garder "en bois" : mettre "de bois" engendrerait une répétition un petit peu fâcheuse avec les "deux flancs" du même vers. De plus, je tiens à ce "en" pour le sens du texte : il s'agit là de la métamorphose d'un homme qui devient navire, et d'un navire qui devient homme. Garder "en bois", c'est peut-être suggérer cette consubstantialité en insistant bien sur la relation qui se noue, au gré des vents, entre la chair et la souche, c'est-à-dire entre la vie et la mort.
Merci encore de votre lecture et de votre attention.
Gemüth- Nombre de messages : 49
Age : 31
Date d'inscription : 24/09/2012
Re: Discussions autour de nos textes
"C'est pas de ma faute : Linda dans Valérian t'as vu son décolleté ???"
ahah pas du tout. pourquoi ce thème ? parait que tu es très bon pourtant !
gemuth : pourquoi un refus en bloc de mon commentaire/critique ?
ahah pas du tout. pourquoi ce thème ? parait que tu es très bon pourtant !
gemuth : pourquoi un refus en bloc de mon commentaire/critique ?
humpf- Nombre de messages : 247
Age : 29
Localisation : gsilva-89@hotmail.fr
Date d'inscription : 25/09/2012
Re: Discussions autour de nos textes
merci Legone pour votre compliment ("Prometteur !!!")
Pour ce qui est du titre, ce n'est pas le titre du poème (qui n'en possède d'ailleurs pas)
pour ce qui est du "Brille là la flamme" je vais le mettre en "Où brille cette flamme"
Pour ce qui est du titre, ce n'est pas le titre du poème (qui n'en possède d'ailleurs pas)
pour ce qui est du "Brille là la flamme" je vais le mettre en "Où brille cette flamme"
humpf- Nombre de messages : 247
Age : 29
Localisation : gsilva-89@hotmail.fr
Date d'inscription : 25/09/2012
Re: Discussions autour de nos textes
Parce que votre réponse n'est ni l'une ni l'autre mais une simple réaction sans intérêt particulier. Par réaction, j'entends une réponse maladroite, une réponse qui ne prend pas le temps de se mettre en forme.. En bref, je vous reproche de ne pas répondre en poète à un sujet qui vous y invitait. Plus exactement, je vous reproche de ne pas m'avoir lu, et même de ne pas avoir la probité nécessaire pour me lire, ce qui supposerait déjà que vous cherchiez le sens des mots qui vous échappent, plutôt que de me reprocher d'utiliser un vocabulaire qui déborde le vôtre...humpf a écrit:gemuth : pourquoi un refus en bloc de mon commentaire/critique ?
Je crois que dans un site comme celui-ci, la poésie excède largement la production des auteurs. N'est-ce pas le lieu privilégié pour enfin comprendre que l'écriture poétique n'est rien d'autre qu'une écriture qui communique sa poésie, c'est-à-dire une écriture qui fait poète et son auteur et son lecteur ?
Gemüth- Nombre de messages : 49
Age : 31
Date d'inscription : 24/09/2012
Ecume
Oups j'ai mal recopié mon texte ... pas fais exprès , hi hi.
C'est résolu.
La Modération
C'est résolu.
La Modération
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
Excusez moi, cher monsieur, d'avoir, par des propos qui se voulait francs et nuancés d'humour, blessé votre amour-propre. Certes, j'aurais dû ouvrir mon dictionnaire, mais cela ne m'empêche pas de dire que vous utilisiez un vocabulaire (hélas !) trop élitiste. Je peux comprendre que vous préférez écouter la critique élogieuse plutôt que la méchante critique négative qui veut tout le mal à tout le monde et surtout la mort de l'auteur.
Je pense que la poésie n'est pas faite pour être lu par des savants...
Ensuite, je pense que ne serais-ce que tirer profit ou du moins faire semblant (par politesse) d'un commentaire ou d'une réaction (si une critique n'est pas une réaction - pas allergique - alors je ne sais pas ce que c'est) et un relatif manque de respect, surtout que je ne voulais que donner mon avis (votre poème est quand même bon) et pas vous descendre. Mais étant la seule mauvaise langue, j'ai était la tâche irritable sur votre couronne de lauriers. Mais j'avoue avoir répondu un peu vite.
De plus vous dites dans votre texte : "Corsaire vengeur à l'âme navrée,
Dans ce vaisseau vert que la mer boursouffle" -> donc il y a une différence entre le narrateur et son bateau, et si ce n'est pas le cas, c'est que vous avez voulu répété deux fois le mots avec des synonymes. Et ensuite : "Je suis un phare pris dans la tourmente", ok, donc soit vous utilisez une image maladroite, soit vous faite une transformation relativement déplaisante (c'est mon point de vue). Deux vers plus bas : "Toi qui viens battre mes deux flancs en bois", vous revoilà bateau, et pourtant : "Et mouiller de relents mon noble trois-
Mâts, je te hais de tout mon cœur ! Fureurs," et tout de suite après vous êtes un narrateur (humain) sur un trois-mât, vous n'êtes donc plus un bateau. Je crois que c'est tout. Mais il y a du rythme et de l'idée.
Voilà, vous l'avez votre critique objective, qui a compris le texte qui a réfléchi avant de parler, qui se veut dénuée d'humour.
Je pense que la poésie n'est pas faite pour être lu par des savants...
Ensuite, je pense que ne serais-ce que tirer profit ou du moins faire semblant (par politesse) d'un commentaire ou d'une réaction (si une critique n'est pas une réaction - pas allergique - alors je ne sais pas ce que c'est) et un relatif manque de respect, surtout que je ne voulais que donner mon avis (votre poème est quand même bon) et pas vous descendre. Mais étant la seule mauvaise langue, j'ai était la tâche irritable sur votre couronne de lauriers. Mais j'avoue avoir répondu un peu vite.
De plus vous dites dans votre texte : "Corsaire vengeur à l'âme navrée,
Dans ce vaisseau vert que la mer boursouffle" -> donc il y a une différence entre le narrateur et son bateau, et si ce n'est pas le cas, c'est que vous avez voulu répété deux fois le mots avec des synonymes. Et ensuite : "Je suis un phare pris dans la tourmente", ok, donc soit vous utilisez une image maladroite, soit vous faite une transformation relativement déplaisante (c'est mon point de vue). Deux vers plus bas : "Toi qui viens battre mes deux flancs en bois", vous revoilà bateau, et pourtant : "Et mouiller de relents mon noble trois-
Mâts, je te hais de tout mon cœur ! Fureurs," et tout de suite après vous êtes un narrateur (humain) sur un trois-mât, vous n'êtes donc plus un bateau. Je crois que c'est tout. Mais il y a du rythme et de l'idée.
Voilà, vous l'avez votre critique objective, qui a compris le texte qui a réfléchi avant de parler, qui se veut dénuée d'humour.
humpf- Nombre de messages : 247
Age : 29
Localisation : gsilva-89@hotmail.fr
Date d'inscription : 25/09/2012
Ecume
Tomy a écrit:Oups j'ai mal recopié mon texte ... pas fais exprès , hi hi.
Merci ...C'est résolu.
La Modération
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
Vous seriez bien aimable de ne pas réduire vos interlocuteurs à vos propres obsessions, rien n'est plus désagréable que d'être confondu avec un autre. L'amour propre ? Voyez-vous, de nous deux, c'est bien vous qui vous piquez qu'on ne vous prête aucune attention, c'est bien vous qui ne supportez pas qu'on ignore votre "critique", critique qui n'en est pas une, comme je vous le disais. "Alors quoi, une de mes interventions, laissée sur le carreau ?!"... Eh bien oui, apprenez qu'on peut facilement se passer de vos petits commentaires, n'y rien voir d'autre que du vent, et passer son chemin les mains dans les poches. La preuve : je le fais sans scrupule, et je persiste et signe : votre "critique", même la seconde, se limite à une simple frustration, il y a quelque chose qui vous échappe, et ce quelque chose vous confronte à vos propres limites. Du reste, je suis convaincu que vous devez vous trouver bien pénétrant pour ne pas supporter l'affront terrible qui est fait à votre intelligence, lancé comme le gant sur la joue.
Mais, vraiment, je me pose la question... Qui donc ici est le plus fier ?... Ne voit-on pas, dans le corps de vos messages, une espèce de jubilation à vous réclamer d'une certaine franchise et de d'une certaine intelligence ? Je laisse votre haute raison faire son calcul.
Pour ce qui est du vocabulaire élitiste, laissez-moi rire. Comme il est vrai que la nèfle est savante... Non, monsieur, pas plus que la carène : excusez-moi d'appeler les choses par le nom qu'on leur donne, mais je tâcherai d'être plus brouillon la prochaine fois. Voyez, j'ai à cœur de vous plaire...
Cependant, je ne vous comprends pas. D'un côté vous revendiquez la "franchise" (je vous cite), quitte, même, à sombrer dans la "méchanceté" (comme si l'un et l'autre étaient en corrélation), mais de l'autre, vous me demandez de faire "semblant", par "politesse", par égard, par délicatesse pour votre petit avis... Mais des égards, en avez-vous, vous, pour moi et pour mon texte, vous qui ne prenez ni la peine de me lire correctement, ni la peine de chercher à me comprendre ? La réponse est négative, car si vous aviez le moindre égard pour mon petit poème, si vous étiez seulement curieux, vous auriez perdu 0,21 secondes de votre vie à chercher sur google la définition du mot nèfle. De même pour la carène, qui est un mot on ne peut plus banal pour qui a déjà passé un dimanche après-midi à flâner dans un port.
Là où vous avez néanmoins raison, c'est sur l'instabilité irritante des images. En effet, le personnage commence par être distinct de son bateau, puis devient bateau lui-même, puis chandelle, puis phare, etc. Seulement, derrière l'incohérence apparente du réseau, avez-vous seulement cherché à comprendre sa nécessité ? Autrement dit, vous êtes-vous interrogé sur le sens de ces métamorphoses, sur l'interprétation qu'on pouvait en tirer, sur la signification de ma tentative ? Je pense que non. Non pas qu'il s'agisse de trouver le sens génial souterrain à mon entreprise : il n'y en a absolument aucun. La question n'est pas là. Mon texte voulait simplement ouvrir une réflexion, créer un espace où le sens prendrait prétexte de la matière pour naitre. Il s'agissait de créer les conditions nécessaires à l'éclosion d'une pensée. Pas grand chose, mais juste un souffle, peut-être une minute de consternation ou de perplexité, une minute qui pose problème, le problème du sens, tout à la fois esthétique et intellectuel. Alors oui, vous aviez doublement raison quelque part, il fallait jouer avec mon texte. Vous me reprochez mon sérieux, à moi de vous renvoyer la balle : c'est bien vous qui avez refusé de jouer avec moi, de rentrer dans le défi, dans l'expérience que je vous proposais. A partir de ce moment là, vous ne pouviez pas attendre que je considère votre intervention.
Et je le redis pour que les choses soient claires : je n'ai rien contre les critiques, même lorsqu'elles ont le goût du citron. Simplement, j'exige qu'elles aient tout de même compris quelque chose de ce que je proposais. C'est à partir du moment qu'on comprend le projet, qu'on a sa visée en tête, qu'on peut se permettre de remettre en question les moyens esthétiques ou techniques mis en place pour le réaliser. (Et une fois encore, mon poème n'en est pas exempt, j'ai, comme je le disais, moi-même repéré deux erreurs de métrique qui sont corrigées dans ma nouvelle version, et je suis convaincu qu'il en reste encore).
Mais, vraiment, je me pose la question... Qui donc ici est le plus fier ?... Ne voit-on pas, dans le corps de vos messages, une espèce de jubilation à vous réclamer d'une certaine franchise et de d'une certaine intelligence ? Je laisse votre haute raison faire son calcul.
Pour ce qui est du vocabulaire élitiste, laissez-moi rire. Comme il est vrai que la nèfle est savante... Non, monsieur, pas plus que la carène : excusez-moi d'appeler les choses par le nom qu'on leur donne, mais je tâcherai d'être plus brouillon la prochaine fois. Voyez, j'ai à cœur de vous plaire...
Cependant, je ne vous comprends pas. D'un côté vous revendiquez la "franchise" (je vous cite), quitte, même, à sombrer dans la "méchanceté" (comme si l'un et l'autre étaient en corrélation), mais de l'autre, vous me demandez de faire "semblant", par "politesse", par égard, par délicatesse pour votre petit avis... Mais des égards, en avez-vous, vous, pour moi et pour mon texte, vous qui ne prenez ni la peine de me lire correctement, ni la peine de chercher à me comprendre ? La réponse est négative, car si vous aviez le moindre égard pour mon petit poème, si vous étiez seulement curieux, vous auriez perdu 0,21 secondes de votre vie à chercher sur google la définition du mot nèfle. De même pour la carène, qui est un mot on ne peut plus banal pour qui a déjà passé un dimanche après-midi à flâner dans un port.
Là où vous avez néanmoins raison, c'est sur l'instabilité irritante des images. En effet, le personnage commence par être distinct de son bateau, puis devient bateau lui-même, puis chandelle, puis phare, etc. Seulement, derrière l'incohérence apparente du réseau, avez-vous seulement cherché à comprendre sa nécessité ? Autrement dit, vous êtes-vous interrogé sur le sens de ces métamorphoses, sur l'interprétation qu'on pouvait en tirer, sur la signification de ma tentative ? Je pense que non. Non pas qu'il s'agisse de trouver le sens génial souterrain à mon entreprise : il n'y en a absolument aucun. La question n'est pas là. Mon texte voulait simplement ouvrir une réflexion, créer un espace où le sens prendrait prétexte de la matière pour naitre. Il s'agissait de créer les conditions nécessaires à l'éclosion d'une pensée. Pas grand chose, mais juste un souffle, peut-être une minute de consternation ou de perplexité, une minute qui pose problème, le problème du sens, tout à la fois esthétique et intellectuel. Alors oui, vous aviez doublement raison quelque part, il fallait jouer avec mon texte. Vous me reprochez mon sérieux, à moi de vous renvoyer la balle : c'est bien vous qui avez refusé de jouer avec moi, de rentrer dans le défi, dans l'expérience que je vous proposais. A partir de ce moment là, vous ne pouviez pas attendre que je considère votre intervention.
Et je le redis pour que les choses soient claires : je n'ai rien contre les critiques, même lorsqu'elles ont le goût du citron. Simplement, j'exige qu'elles aient tout de même compris quelque chose de ce que je proposais. C'est à partir du moment qu'on comprend le projet, qu'on a sa visée en tête, qu'on peut se permettre de remettre en question les moyens esthétiques ou techniques mis en place pour le réaliser. (Et une fois encore, mon poème n'en est pas exempt, j'ai, comme je le disais, moi-même repéré deux erreurs de métrique qui sont corrigées dans ma nouvelle version, et je suis convaincu qu'il en reste encore).
Gemüth- Nombre de messages : 49
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Re: Discussions autour de nos textes
T'es chiant Gemüth. Après peut-être que l'empreinte qu'a laissé sur toi Valéry n'était pas celle de sa poésie (ce n'est pas plus mal) mais le terrible ennui qui le consacre poète le plus chiant du XXème siècle (deuxième de l'Histoire derrière Boileau).
Quand on passe son chemin, on essaye de le faire sans maugréer en rond. Voilà tu n'es pas content (Tous les jours moi je ne suis pas content et je le dis, et le disant, je me moque de moi, et je n'apporte cette précision non pour parler de moi mais pour m'éviter les insupportables bavardages "gnagnagna toi tu le fais aussi"), et puis après. Crie si tu veux, mais ne le fais pas avec ce faux-col amidonné, tous ces gestes étroits, cette grandiloquence liquide comme une pourriture. Voilà une syntaxe oubliée il y a longtemps dans nos nerfs, on la ressort pour l'occasion puante et suffocante...Ce n'est pas très gentil.
Querelles de salon, querelles inoffensives. Fleuret moucheté, et fleuret même invisible. Comme tu tires bien dans le vide, belle amplitude de ton poignet mutilé.
Une fois ça va, tu as soutenu ta parole, et ça s'entend. C'est enfantin, et tout ce qui a un rire de premier jour c'est joli. Mais deux fois ça a déjà vieilli. Ca se répète moins joli qu'un refrain, laid, laid, laid, comme un écho raté.
"Pour ce qui est du vocabulaire élitiste, laissez-moi rire."
Ah, j'espère que tu as bien ri. Parce que d'ici, cette phrase aérophage rote sans discontinuer.
"qui est un mot on ne peut plus banal pour qui a déjà passé un dimanche après-midi à flâner dans un port. "
Etrange rapport au réel. Je suis passé par des bien des jardins, j'ai vu mille fleurs, senti autant d'odeur et je ne puis pourtant nommer un bouquet sans me tromper. Je veux bien sauver la carène du naufrage, mais d'abord pour ce vers d'Aragon
"
Regardez les jeunes gens avec ce qu'ils traînent
La superstition qui s'attache à leurs pas
Comme une branche morte et comme à la carène
D'un bateau démâté le chant de la sirène
Contre quoi rien ne sert boussole ni compas"
Enfin, je te fais la leçon, mais parce que ça m'amuse, et que j'ai vingt ans, et que c'est la première fois, alors moi je suis tout le temps à la jeunesse de ma voix. Si la modération n'est pas contente, je lui tire la langue, j'ai le droit aussi, c'est inscrit dans mes vingt ans.
Tout ce qui est sérieux est pénible.
Quand on passe son chemin, on essaye de le faire sans maugréer en rond. Voilà tu n'es pas content (Tous les jours moi je ne suis pas content et je le dis, et le disant, je me moque de moi, et je n'apporte cette précision non pour parler de moi mais pour m'éviter les insupportables bavardages "gnagnagna toi tu le fais aussi"), et puis après. Crie si tu veux, mais ne le fais pas avec ce faux-col amidonné, tous ces gestes étroits, cette grandiloquence liquide comme une pourriture. Voilà une syntaxe oubliée il y a longtemps dans nos nerfs, on la ressort pour l'occasion puante et suffocante...Ce n'est pas très gentil.
Querelles de salon, querelles inoffensives. Fleuret moucheté, et fleuret même invisible. Comme tu tires bien dans le vide, belle amplitude de ton poignet mutilé.
Une fois ça va, tu as soutenu ta parole, et ça s'entend. C'est enfantin, et tout ce qui a un rire de premier jour c'est joli. Mais deux fois ça a déjà vieilli. Ca se répète moins joli qu'un refrain, laid, laid, laid, comme un écho raté.
"Pour ce qui est du vocabulaire élitiste, laissez-moi rire."
Ah, j'espère que tu as bien ri. Parce que d'ici, cette phrase aérophage rote sans discontinuer.
"qui est un mot on ne peut plus banal pour qui a déjà passé un dimanche après-midi à flâner dans un port. "
Etrange rapport au réel. Je suis passé par des bien des jardins, j'ai vu mille fleurs, senti autant d'odeur et je ne puis pourtant nommer un bouquet sans me tromper. Je veux bien sauver la carène du naufrage, mais d'abord pour ce vers d'Aragon
"
Regardez les jeunes gens avec ce qu'ils traînent
La superstition qui s'attache à leurs pas
Comme une branche morte et comme à la carène
D'un bateau démâté le chant de la sirène
Contre quoi rien ne sert boussole ni compas"
Enfin, je te fais la leçon, mais parce que ça m'amuse, et que j'ai vingt ans, et que c'est la première fois, alors moi je suis tout le temps à la jeunesse de ma voix. Si la modération n'est pas contente, je lui tire la langue, j'ai le droit aussi, c'est inscrit dans mes vingt ans.
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Re: Discussions autour de nos textes
je m'arrête là donc... de toute façon je ne sais pas quoi ajouter
c'est vrai j'ai voulu être fier de moi en apportant une critique juste, et non pas surévaluée
Vanité, vanité, tout est vanité ! Amour-propre, fierté, et peut-être que vouloir corriger les autres en est aussi...
c'est vrai j'ai voulu être fier de moi en apportant une critique juste, et non pas surévaluée
Vanité, vanité, tout est vanité ! Amour-propre, fierté, et peut-être que vouloir corriger les autres en est aussi...
humpf- Nombre de messages : 247
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Re: Discussions autour de nos textes
D'où tirez-vous cette affirmation ? Si c'est seulement la vôtre, je prends pitié de vous et vous invite à relire Charmes, je suis sûr qu'un peu d'esprit ne vous fera aucun mal. Si c'est celle d'un sondage, c'est autre chose qu'il faudra sauver du naufrage...boudi a écrit:T'es chiant Gemüth. Après peut-être que l'empreinte qu'a laissé sur toi Valéry n'était pas celle de sa poésie (ce n'est pas plus mal) mais le terrible ennui qui le consacre poète le plus chiant du XXème siècle (deuxième de l'Histoire derrière Boileau).
Du reste, vous essayez, bien maladroitement, de me faire une réponse salée. Le seul ennui, c'est que vous êtes mal indiqué pour me faire des reproches stylistiques. Ne perdez pas de temps à vous défendre, vos phrases parlent pour vous et ce sont leurs faiblesses qui vous accusent :
Je ne vais pas vous faire l'affront de procéder à un commentaire en règle de ce passage, mais vous conviendrez que la comparaison est douteuse... C'est la tentative d'hypallage, en fait, que je ne comprends pas, et c'est pour cela que je vous mets au défi de me l'expliquer : qu'est-ce que vous vouliez entendre avec cette histoire de "grandiloquence liquide comme une pourriture" ? Cela veut dire quoi, être "liquide comme une pourriture" ?... Est-ce une espèce de variation scatologique ? Parce que si c'est cela, laissez-moi vous dire que vous tombez bien bas pour les besoins de votre petite entreprise... Ne savez-vous donc pas être agressif sans barboter dans la merde ? Êtes-vous à ce point impuissant ?... Vous vous trompez sur un point : vous ne faites la leçon à personne. La seule démonstration que je vois ici, c'est celle de votre vulgarité, et du plaisir profond que vous prenez à tremper dedans. Vous savez, tout le monde n'est pas Céline, et il vous faudra encore salir bien des feuilles avant de pouvoir mêler le sublime et la bassesse, l'émotion et la vulgarité. Alors bon, restez bien dans vos rots et vos pourritures, ils n'intimident que vous. J'ai même envie de dire qu'ils n'ont de force que pour vous... là est le problème. Du reste, ce qui ressemble de loin, de dos et par une nuit sans lune au début du quart d'un commencement de verve, je l'attends ailleurs que dans ces "querelles de salon" : pourquoi ne pas mettre votre "humour" au service d'une noble tâche ? Critiquez donc mon texte, je serai sincèrement ravi de lire votre avis dessus, même s'il est vulgaire. Je prends tout, pour peu qu'on rentre dans la danse.boudi a écrit:Crie si tu veux, mais ne le fais pas avec ce faux-col amidonné, tous ces gestes étroits, cette grandiloquence liquide comme une pourriture. Voilà une syntaxe oubliée il y a longtemps dans nos nerfs, on la ressort pour l'occasion puante et suffocante...Ce n'est pas très gentil.
Gemüth- Nombre de messages : 49
Age : 31
Date d'inscription : 24/09/2012
Re: Discussions autour de nos textes
C'est fascinant.
En une expiration :
Valéry : "lire entre choses le dernier tome du journal de Cocteau ou le degré zéro de l'écriture de Barthes ou Aragon"
"Pourriture humide ; décomposition " avec ça tu devrais comprendre le très limpide "liquide comme une pourriture"
"T'es chiant bis ; maintenant je m'en vais. Tu peux dire tout ce que tu veux, et mal de préférence, je n'en saurai rien"
Bisous
En une expiration :
Valéry : "lire entre choses le dernier tome du journal de Cocteau ou le degré zéro de l'écriture de Barthes ou Aragon"
"Pourriture humide ; décomposition " avec ça tu devrais comprendre le très limpide "liquide comme une pourriture"
"T'es chiant bis ; maintenant je m'en vais. Tu peux dire tout ce que tu veux, et mal de préférence, je n'en saurai rien"
Bisous
Re: Discussions autour de nos textes
Bien, partez donc, mais votre fuite ne sera pas l'occasion d'un silence : je m'en voudrais que votre large ignorance passe pour de l'érudition, et c'est pourquoi je me dois de dire aux autres internautes, s'ils ne le savent pas déjà, que vous ne savez strictement rien de correct sur la relation de Barthes à Valéry.
Il me semble que la chose est évidente pour qui a lu le Degré zéro, la tête à l'endroit et surtout, pour qui ne s'est pas limité à celui-ci mais s'est aventuré dans le reste de l’œuvre, je pense notamment aux célèbres Mythologies. Entre Valéry et Barthes, il y a une relation claire, nette et indiscutable, une filiation théorique. La filiation esthétique, que je pense réelle, est peut-être plus problématique, je l'accorde volontiers, mais je serais bien heureux d'en débattre avec quelqu'un d'avis différent. Pour ma défense, j'indique simplement que, dans les confidences du jeune Roland sur son adolescence, on apprend que Valéry a longtemps été et son maitre et son modèle en matière de poésie.
Cocteau, oui, est bien placé pour nous parler d'ennui. Quant à Aragon, je crois qu'il faut se souvenir de ce qu'il pensait de Rimbaud et du Bateau ivre pour juger de sa pertinence et de son objectivité. C'est peut-être, lui, finalement, qui avait le plus de problèmes avec son amour propre.
Il me semble que la chose est évidente pour qui a lu le Degré zéro, la tête à l'endroit et surtout, pour qui ne s'est pas limité à celui-ci mais s'est aventuré dans le reste de l’œuvre, je pense notamment aux célèbres Mythologies. Entre Valéry et Barthes, il y a une relation claire, nette et indiscutable, une filiation théorique. La filiation esthétique, que je pense réelle, est peut-être plus problématique, je l'accorde volontiers, mais je serais bien heureux d'en débattre avec quelqu'un d'avis différent. Pour ma défense, j'indique simplement que, dans les confidences du jeune Roland sur son adolescence, on apprend que Valéry a longtemps été et son maitre et son modèle en matière de poésie.
Cocteau, oui, est bien placé pour nous parler d'ennui. Quant à Aragon, je crois qu'il faut se souvenir de ce qu'il pensait de Rimbaud et du Bateau ivre pour juger de sa pertinence et de son objectivité. C'est peut-être, lui, finalement, qui avait le plus de problèmes avec son amour propre.
Gemüth- Nombre de messages : 49
Age : 31
Date d'inscription : 24/09/2012
Re: Discussions autour de nos textes
Pffff !
On res----pire ! ;-)))
Mais j'ai entendu Boudi, et ça, c'est rare !
On res----pire ! ;-)))
Mais j'ai entendu Boudi, et ça, c'est rare !
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
Bref, il n'empêche que j'ai hâte de vous relire Gemuth, parce que vous avez un joli style.
Toute cette histoire fait partit du passé, et je vous invite à être aussi franc avec mes propres textes.
Oh et moi j'aime Valéry (que j'ai découvert il y a peu), par contre Céline me rebute.
Toute cette histoire fait partit du passé, et je vous invite à être aussi franc avec mes propres textes.
Oh et moi j'aime Valéry (que j'ai découvert il y a peu), par contre Céline me rebute.
humpf- Nombre de messages : 247
Age : 29
Localisation : gsilva-89@hotmail.fr
Date d'inscription : 25/09/2012
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